Stands Éditeurs manga et animé
Éditeurs manga
Japan Expo est toujours l'occasion pour les éditeurs et le public de se croiser et de se rencontrer. Cette année, on notait toutefois l'absence des éditions Komikku qui avaient tout donné l'année précédente, ou encore de Casterman et Ankama. A contrario, l'édition 2016 marquait le retour d'un stand pour Panini, ainsi que l'arrivée d'un petit nouveau plein d'ambition : Kotoji.
Akata
Une nouvelle fois présentes avec envie, les éditions Akata présentaient un stand à plusieurs faces, celles-ci mettant en avant les différentes séries du catalogue de l'éditeur, par le biais de posters offerts, d'extraits gratuits, de pancartes et d'exposition des livres et des goodies tels les mugs. Sans oublier, bien sûr, les poupées Magical girl of the end, devenues incontournables !
Vif, coloré et intelligemment agencé, le petit stand attirait l’œil, d'autant plus avec une petite équipe toujours aussi passionnée pour présenter ses œuvres déjà sorties depuis un moment comme Orange ou Dans l'intimité de Marie, ses plus récentes nouveautés comme Ugly Princess ou Bloody Delinquent Girl Chainsaw, et ses publications à venir dont Rouge Eclipse ou Perfect World.
La bonne surprise pour les passants pouvait venir de la gratuité des posters (là où d'autres éditeurs en proposent pour l'achat de plusieurs mangas), et des autres goodies proposés pour certains achats. En tête, les géniales couvertures façon Martine de Fullmetal Knights Chevalion, et les mugs offerts pour une quarantaine d'euros d'achat.
Trois questions à Dominique Véret, responsable éditorial d'Akata:
Bonjour Monsieur Véret ! Pouvez-vous nous dire comment se passe cette Japan Expo, qui en est à son dernier jour ? Êtes-vous satisfait des ventes du stand Akata ?
Initialement, notre stand aurait du être situé au même endroit que l’an passé mais suite à un loupé d’un commercial de Japan Expo nous nous sommes retrouvés à une place différente, ce qui, je pense, pénalise un peu notre visibilité. Je constate également que les festivaliers sont canalisés par la culture marketing, et qu'ils ont tendance à aller vers les gros blockbusters commerciaux qui ont bénéficié d'une forte promotion et qui sont vendus à grand renfort de produits dérivés. Pourtant pour un éditeur comme Akata, qui construit un catalogue moins "mainstream", nous n'avons rien a envier par rapport à ce fonctionnement car à notre échelle nous proposons des goodies tout aussi attrayants si ce n’est plus. Nos lecteurs nous l’ont fait remarquer et nous ont félicité pour cela !
Je pense également que le prix d'entrée très élevé lors de certaines journées, et notamment le samedi (prix à 22€ en prévente et 25€ sur place, ndlr) grève un peu la capacité d'achat d'une partie des festivaliers. Cela finit par pénaliser le chiffre d’affaire des exposants. Je pense que le système mercantile mis en place par Japan Expo arrive à ses limites, et que cette façon de faire va finir par nuire à la manifestation. Tout cela va favoriser l'essor de certains salons provinciaux, qui commencent à émerger partout en France. Cela ne fera pas disparaitre le leadership de Japan Expo, mais en tout cas, pour les petits éditeurs comme Akata, qui peuvent se déplacer facilement, ces salons en province, où il règne une ambiance très conviviale, deviennent de plus en plus attractifs.
Voilà, c'est mon avis, et je le dis sans aucune animosité à l'encontre des organisateurs du salon !
Vous critiquez l'aspect un peu mercantile du salon et de certains de vos concurrents, et notamment les produits dérivés, tout en proposant vous-même sur votre stand des goodies : magnets, posters, mugs... N'est-ce pas contradictoire ? Par ailleurs, est-ce que les goodies boostent significativement vos ventes ?
Vous n'avez pas tort !! (rires) Bon il faut savoir que je n'appartiens pas à la "culture goodies", je suis plutôt "culture contenu". Pour moi le livre, c'est un message qui passe d'un endroit à un autre, et surtout une réflexion proposée au lecteur. Ce n’est pas bon pour la culture quand le produit dérivé prend la place du contenu lui-même.
Quelles sont les séries qui ont rencontré le plus de succès sur votre stand lors de cette Japan Expo ?
Les trois nouveaux titres de la collection WTF?!, à savoir Chevalion, Bloody Deliquent Girl Chainsaw et Desperate housecat & co se vendent plutôt bien, tout comme certains de nos shôjô, et notamment Orange. Nous sommes vraiment heureux des retours de certains festivaliers pendant le salon. Beaucoup ont salué le caractère atypique et les qualités de notre catalogue, ce qui nous fait très plaisir.
Magical girl of the end et Magical girl site sont là encore en tête de nos ventes. Les deux nouveautés de la rentrée que nous avons beaucoup mis en avant à travers une communication adaptée à Japan Expo, Le mari de mon frère et Perfect world, ont bénéficié d'un très bon accueil. Nous avons maintenant la confirmation qu’ils vont être nos bestsellers de la rentrée.
Propos recueillis par shinob.
Boy's Love
Un peu excentré par rapport aux autres stands d'éditeur, Boy's Love se retrouvait à l'entrée du Hall 6 pour promouvoir et vendre ses nombreux titres, notamment ceux de la Hana collection.
Avec ses posters muraux en fond, le stand était difficile à louper une fois qu'on passait devant, et l'on y trouvait quelques goodies : posters, et ex libris de Doukyusei et Canis.
Delcourt/Tonkam/Soleil
L'habituel stand commun était une nouvelle fois de la partie et attirait facilement l’œil, que ce soit grâce à sa proximité de l'allée principale, ou via ses imposantes images mettant en avant bon nombre de séries du catalogue, comme Food Wars chez Delcourt/Tonkam ou Teach me love chez Soleil.
Un stand à quatre faces très fonctionnel autour duquel il était facile de circuler, que ce soit pour acheter ses mangas classés selon différentes catégories (mention spéciale au « village shôjo » tape-à-l’œil), pour participer aux dédicaces des auteurs francophones présents, ou pour tâter un peu les bornes dédié au nouveau jeu Jojo's Bizarre Adventure.
Ici aussi, entre eco-cups, posters ou encore badges, les petits goodies étaient assez nombreux, même si certains demandaient des conditions d'obtention un brin abusée, et que l'on nous a signalé à quelques reprises que certains vendeurs oubliaient de donner les goodies.
Doki-Doki
Le stand habituel de Doki-Doki, celui-là même qui a accueilli Boichi avec succès l'année précédente, était de nouveau de la partie, affichant toujours fièrement ses dédicaces d'auteurs ou ses prix, tout en sachant se renouveler pour mettre en avant les nouvelles séries du catalogue (The rising of the shield hero, Evolution Six...) ou les succès déjà bien établis (Servamp, Sun-Ken Rock...).
Ici aussi, quelques goodies étaient proposés, ainsi que les habituels concours de l'éditeur permettant de remporter sur le salon des goodies made in Japan.
Le stand de Doki-Doki est toujours un endroit où il est plaisant de se rendre, de par le fait qu'il reste à taille humaine et qu'il est très facile d'y aborder le responsable éditorial et les traducteurs de la maison d'édition.
Glénat
Glénat affichait son habituel stand assez imposant, entouré de murs publicitaires aux couleurs de nombreuses séries et au sein desquels on retrouvait à nouveau cette sorte de mini-librairie où étaient vendues nombres d'oeuvres.
Après une édition 2015 pauvre en goodies, l'éditeur revint avec de plus jolies ambitions : ex-libris de Lapicyan, One piece ou Ayakashi, sacs en tissu d'Ajin et Tokyo Ghoul, photocalls de plusieurs séries, borne de jeu pour tester One Piece Burning Blood... sans oublier, en dehors du stand, les goodies Chi mis à disposition dans l'espace kids, et l'impressionnant espace-exposition dédié à Tokyo Ghoul !
Enfin, on retrouvait dans l'espace dédicaces du stand des noms français déjà connus comme VanRah et Camille Moulin-Dupré, mais également l'artiste nippone Linco venue porter la publication de son premier manga Chroniques de Lapicyan.
Imho
C'est sur un recoin du stand Popcorn que l'on retrouvait Imho. Un stand simple, se contentant de présenter plusieurs séries du catalogue de l'éditeur.
Isan Manga
Une nouvelle fois, Isan Manga était de la partie via un stand certes petit, mais suffisant pour bien mettre en avant les différentes séries du catalogue de l'éditeur, d'autant que les murs du stand étaient aux couleurs des différentes publications comme Cutie Honey ou le Disciple de Doraku, et qu'on pouvait compter sur les dédicaces de Yôko Hanabusa et Harumo Sanazaki pour animer un peu plus le petit espace.
A proximité de trouvait l'appréciable exposition dédiée à Gwendoline et mise en place par l'éditeur lui-même.
Kana
Avec son habituel Naruto géant, mais cette fois sans sa tête de Koro-sensei flottant en dessous du plafond, le stand de Kana reste un incontournable point de repère. Mais comme chaque année, l'éditeur s'est montré très capable dans l'art de renouveler ses animations. Cette année, on retient surtout l'idée du saut dans le vide, idée originale ayant servir à promouvoir l'une des nouveautés de l'éditeur, Sky-High Survival.
En dehors de cette activité-phare qui attira beaucoup de monde, le stand lui-même restait sur les bases des années précédentes dans la gestion des ventes et dans la présentation des livres. Évidemment, différents goodies étaient proposés selon les achats : masque Sky-High Survival, balle anti-stress Assassination Classroom, set de limes à ongles Love, be loved leave, be left...
Enfin, l'éditeur pouvait compter sur les séances de dédicaces de ses auteurs français : les créateurs de la future nouveauté Booksterz, ainsi qu'une Elsa Brants de plus en plus sollicitée !
Kazé Manga
Idéalement situé juste sur la gauche de l'entrée, le stand de Kazé Manga affichait les ambitions de l'éditeur avec une forte mise en avant de titres phares : Platinum End, Bestiarius, Blue Exorcist ou encore Takane & Hana via des pubs imposantes et différents goodies, sans oublier la présence en avant-première du tome 1 de Black Clover, nouveau gros morceau shônen sur lequel l'éditeur semble beaucoup compter. On pouvait également dénicher des livrets de preview du manga Yo-kai Watch.
Efficacement agencé et attirant l’œil, ce stand assez imposant s'avérait souvent animé, que ce soit par ses vendeurs bien rodés ou par les lecteurs allant y faire un tour.
Ki-oon
Cette année, pas d'exposition folle sur le stand des éditions Ki-oon, mais une belle activité dédiée au nouveau shonen-phare de l'éditeur, My Hero Academia. Ainsi, dans cette activité, il était possible de prendre la place d'Izuku et de rencontrer All Might pour combattre les super-vilains, au fil d'une vidéo retransmise en direct sur grand écran de 4 m et avec laquelle on pouvait repartir grâce à une clé USB exclusive aux couleurs de la série. Grand luxe : cette clé USB était offerte gratuitement ! Un joli coup de comm' qui fit plaisir à de nombreux fans, et qui témoigna à nouveau des tours de force et des budgets promo dont est capable l'éditeur.
Mais le stand de Ki-oon ne se limitait évidemment pas à cela : on y retrouvait l'habituel espace vente avec les avant-premières de Golden Kamui et Prophecy The Copycat, quelques goodies qui sont devenus habituels (comme les sacs géants), sans oublier l'espace réservé aux deux auteurs en dédicace : le japonais Hitori Renda venu promouvoir Awaken, et Shonen, l'auteur d'Outlaw Players qui est la toute première série française de l'éditeur.
Kotoji
Pour sa première participation à Japan Expo, Kotoji affichait de très belles ambitions et pouvait se targuer d'être l'éditeur amenant le plus d'invités asiatiques avec les présences de Pocket Chocolate, Little Cloud et Josev ! A ces trois-là, il fallait ajouter les auteurs français de L'équipe Z.
D'apparence simple, le stand se voulait à taille humaine et très convivial, et il y était très facile d'échanger avec les membres de l'équipe et avec les différents auteurs. Au-delà des livres, il était également possible d'acheter des posters aux couleurs des œuvres de Pocket Chocolate, et de récupérer ses contributions pour celles et ceux ayant participé au projet ulule d'Une nuit calme et paisible.
L'éditeur avoue cependant avoir peut-être sous-estimé tout ce que représentait la gestion du stand (ce qui s'est un peu ressenti le premier jour), et il a pu regretter de ne pas avoir eu le succès escompté malgré la présence de nombreux invités et une bonne volonté évidente. Manque de succès que l'on pourrait notamment expliquer par l'emplacement du stand, malheureusement un peu à l'écart des autres éditeurs.
Kurokawa
Le stand de Kurokawa, cette année, était essentiellement aux couleurs de One-Punch Man et de Saint Seiya ! Avec son photocall dédié à l’œuvre de One et Yûsuke Murata et son mur aux couleurs de Lost Canvas et Saintia Sho, le lieu faisait facilement office de rendez-vous incontournable. D'autant qu'il fallait ajouter à cela les quelques offres habituelles de goodies, tels des stickers Magi et Silver Spoon ou des badges OPM.
Pourtant, il y a, d'année en année, quelque chose qui tend à décevoir à chaque fois un peu plus au niveau du stand de Kurokawa : au-delà d'activités qui paraissent finalement un peu cheap par rapport à ce que d'autres gros éditeurs proposent, l'espace-vente peine à se renouveler, et il reste difficile d'y circuler et d'y dénicher ce qu'on cherche dès qu'il y a un peu de monde.
Panini
L'éditeur faisait son grand retour sur son propre stand. Celui-ci était d'apparence plutôt simple, mais suffisant pour présenter les différentes séries ainsi que les quelques goodies offerts à l'achat.
A l'arrière s'affichaient deux jolies publicités pour les deux nouveaux seinen de l'éditeur, l'excellent Soul Keeper, et Mako l'ange de la mort.
Pika
Avec la venue de Hiro Mashima en tant qu'invité d'honneur manga du salon et la présence de Reno Lemaire pour fêter comme il se doit les dix ans de Dreamland, le stand de Pika était sans doute l'un des rendez-vous incontournable de cette édition 2016. Et il faut bien le dire, l'éditeur a mis les bouchées doubles pour marquer ce double-événement : en plus de l'espace Fairy Tail dont nous vous avons déjà parlé, on trouvait sur le stand de l'éditeur un autre espace dédié à Dreamland. Décors soigné, exposition, présence de la Dreamlandshop... le lieu était un fort beau rendez-vous pour les fans du plus populaires des mangas « à la française ».
On sentait toutefois que l'éditeur avait tout mis dans ses hommages à Fairy Tail et Dreamland, puisqu'à côté de ça les goodies offerts sur le stand restaient plutôt pauvre.
A part ça, le stand restait fonctionnel, décoré aux couleurs de différentes séries du catalogue, et il fallait aussi y noter la présence d'un coin dédié à l'éditeur jeunesse nobi nobi!, qui autrefois avait son propre stand mais fait désormais partie de Pika.
Taifu/Ototo/Ofelbe
Comme toujours, le stand du triple-éditeur était idéalement situé juste sur la droite de l'entrée du salon, et la société y proposait une nouvelle fois des offres de posters, de sacs en tissu, d'artbooks en version originale et d'avant-premières qui ont su attirer la foule. Jugez vous-même : dès le 1er jour, le stand menaçait d'être en rupture d'artbooks et de certaines séries, et les tables s'avéraient vides le dimanche en fin de journée ! On sait que Taifu/Ototo/Ofelbe compte toujours beaucoup sur sa présence en salons, et cette édition 2016 de Japan Expo semble leur avoir donné amplement raison.
Il faut aussi dire qu'avec ses carrés de pub géants au dessus du stand, ses recoins dédiés à des œuvres comme Re:Monster ou Gate, ou la proximité de son équipe, l'éditeur a su attirer l’œil.
Omaké Books
Situé à proximité du salon, le stand Omaké Books a largement profité de la venue du joueur du grenier et de Sébastien qui étaient en dédicace presque tous les jours.
Pix'n Love
Ce stand était le lieu de rendez-vous incontournable pour tous les assoiffés de connaissance autour de l'histoire du Jeu-Vidéo. L'espace était logiquement situé dans le hall 6, dans la zone commerciale non loin du stand Nintendo.
Éditeurs animations
Il faut bien avouer que du côté des éditeurs d'animation, on ressentait un petit manque, ce qui pouvait notamment provenir de l'absence cette année de Dybex. Malgré tout, quelques éditeurs, physique ou simulcast, étaient de la partie.
@Anime/Wakanim
@Anime et Wakanim étaient présents sur un stand commun, l'un pour proposer ses DVD, Blu-ray et produits dérivés avec des promos, l'autre pour présenter ses services et notamment promouvoir son tout nouveau système de cartes.
L'alliance s'avéra sans doute bénéfique dans le cadre de la conférence Sword Art Online, qui fut riche de quelques annonces et permit aux sociétés de promouvoir l’œuvre, notamment en affichant le dernier jour sur le stand des silhouettes d'Asuna et Kirito dans un look de français clichés.
Crunchyroll
Crunchyroll était une nouvelle fois présent, sur un stand qui ne payait pas forcément de mine, mais qui proposait des petits goodies sympathiques (comme des cartes postales) ainsi qu'un certain nombre d'animations, et qui savait mettre en avant ses nombreux simulcasts à commencer par Orange ou Berserk.
Chose appréciable, le côté simple du stand permet d'échanger très facilement avec l'équipe.
Kana Home Vidéo
L'espace dédié à Kana Home Vidéo se limitait à une face du stand Kana, où étaient proposés les différents animes du catalogue ainsi que quelques goodies tels des mugs.
Pour s'animer un peu, le lieu a pu compter sur une séance de dédicace de Hiro Mashima le jeudi, ainsi que sur un certain nombre de promotions (-50% sur les volumes un, et pour trois coffrets achetés le moins cher offert)
Kazé/ADN
Pour Kazé Anime, c'était la même recette que chez Kana Home Vidéo : une face du stand Kazé dédiée aux différentes sorties, dont quelques avant-première comme Shimoseka, et quelques offre promotionnelles.
© Manga-News 2016
De Keima, le 25 Juillet 2016 à 17h28
Merci pour ce dossier que je lis en détail chaque année.
Je confirme que les tarifs des billets sont de plus en plus abusés quand on voit que le festival se repose sur ses lauriers.
Sur les stands éditeurs, je suis assez déçu par le fait que les goodies soient de plus en plus souvent réservés pour ceux qui achètent les nouveautés. Quand comme moi, on cherche à compléter les séries en cours depuis quelques années, on se retrouve souvent avec peu de choses. En même temps c'est pas trop grave car il faut dire que les éditeurs ne se foulent pas trop non plus : les mini posters et les dessins façon arty ça va 5mn mais bon... A une époque pas si lointaine, j'ai pu récupérer des stylos, des porte-clés ou même un casque! Un petit effort svp!
De ivan isaak, le 15 Juillet 2016 à 16h38
Donc ce sera en effet très complet ! Il y a tellement de choses différentes sur une JE que réussir à parler de tout, c'est très compliqué, notamment parce qu'il faut d'abord s'intéresser un peu à tout et savoir de quoi on parle. Ce qui est parfois compliqué. Du coup, réussir à le faire comme vous le faites, c'est costaud et c'est à signaler. Beau boulot, je lirai la suite avec attention ! ;)
De shinob [127 Pts], le 15 Juillet 2016 à 16h26
Merci ivan isaak. Cette année, j'ai repris la main sur le dossier avec pour but de garder le schéma habituel tout en essayant de faire des choses nouvelles : un peu plus de photos (ça se ressentira surtout dans la seconde partie, notamment pour les expositions), et aussi le lancement de mini-interviews. Pour cette partie je l'ai fait avec des détenteurs de billets Zen et Dominique Véret. La semaine prochaine je donnerai la parole à un fanzine et un stand créateur qui faisait du pixel art.
De ivan isaak, le 15 Juillet 2016 à 15h49
Dossier très complet, c'est impressionnant ! La petite interview de Dominique Véret est un petit plaisir sympa, parfaitement dans la veine du personnage... ^^