Le Prince des Ténèbres - Actualité manga
Dossier manga - Le Prince des Ténèbres
Lecteurs
18.50/20

Présentation

 
Résumé
Nekota. Cette ville japonaise aux airs tranquilles ne laisse pas paraître le fait qu'elle est intérieurement rongée par un profond sentiment de révolte. Violences, criminalités, urbanisation à outrance... tant de facteurs qui pourraient faire sauter les soupapes d'une vie paisible. C'est alors qu'apparait l'élu, le futur leader de la révolution : Inukai. Leader né, son charisme incroyable lui suffit à s'attirer des sympathies dans toutes les classes sociales, ainsi que des alliés de poids dans un combat qui ne se fera pas sans dégâts. Tandis que son mouvement prend de l'ampleur de jour en jour, nous découvrons Andô. Ce jeune lycéen dispose depuis toujours d'un étrange pouvoir, lui permettant de faire dire aux autres ce qu'il veut. Néanmoins, pour ne pas se faire remarquer et être considéré comme différent, Andô a toujours caché son don. Mais un jour, alors qu'il enquête pour le journal de son établissement, il découvre avec effroi le véritable visage d'Inukai et de son groupe de défense : les Grasshoppers. Andô pourra-t-il rester muet face à de telles méthodes ? Devra-t-il rompre sa promesse et passer à l'action ? Mettra-t-il un pied dans ce conflit, ces révoltes, ce monde de ténèbres ?



Fiche Signalétique
A l'origine, Maô - 魔王 (que l'on peut traduire par "Satan" ou "le Diable") est un roman de Kôtarô Isaka, grand auteur de thrillers. Publié dans un premier temps en deux parties au sein du magazine littéraire Mr. Children, en décembre 2004 puis en juillet 2005, l'œuvre fut ensuite disponible en roman dès le 20 octobre 2005 aux éditions Kodansha. Ce n'est que deux ans plus tard que naquit l'idée d'une adaptation en manga. L'éditeur Shogakukan organisa un concours pour déterminer le futur dessinateur de la série, et c'est Megumi Ôsuga, auteure jusque là méconnue du grand public, qui le remporta. C'est ainsi que naquit Maô : Juvenile Remix qui, comme son nom l'indique, constitue une version "rajeunie" de l'original, pour s'orienter vers le genre shônen. Le salaryman Andô et quelques autres personnages furent donc transformés en lycéens, afin que les lecteurs puissent s'y identifier plus aisément. Quant à Kôtaro Isaka, il fut appelé en tant que superviseur de la série pour donner ses précieux conseils à la mangaka, mais l'écrivain s'écarta une fois les deux premiers volumes parus, une fois assuré de la réussite de cette adaptation.

La série fut publiée dans le célèbre Shonen Sunday entre 2007 et 2009 et connut rapidement une publication en dix volumes reliés. Le succès de la série fut tel qu'une suite fut rapidement envisagée, du moins un spin-off centré sur le personnage de La Cigale. Waltz, c'est son nom, débuta à la fin de l'année 2009 dans le Gessan Magazine, pendant du Shonen Sunday (et où sont publiés deux titres de Mitsuru Adachi). Cette série, inédite par rapport aux romans d'Isaka, se termina en février 2012 en version magazine et en mai dans sa version reliée, au bout de six volumes. 

En France, la série fut lancée par l'éditeur Kurokawa sous le titre Le Prince des Ténèbres. Sorti le 2 juillet 2009, le premier volume du manga put bénéficier de l'effervescence de la dixième Japan Expo ! En suivant le rythme bimestriel, le dixième tome de la série parût le 10 février 2011, clôturant ainsi la saga d'Andô et des habitants de Nekota. Huit mois plus tard, Kurokawa ravit les fans de la série en annonçant l'acquisition de Waltz, qui débuta dans sa version francophone en février 2012.

 
 
Les auteurs

Kôtarô Isaka



Né le 25 mai 1971 à Matsudo (préfecture de Chiba), Kôtarô Isaka (伊坂 幸太郎) est un des auteurs japonais de thrillers les plus réputés de ces dernières années. Ayant étudié le droit à l'université de Tohoku, il se tourna dans un premier temps vers une carrière d'ingénieur, tout en s'adonnant à l'écriture. Son premier récit, Akuto-tachi ga meni shimiru ("Les voleurs pénètrent vos yeux"), paru en 1996, a remporté le treizième Suntory Grand Prize of Mystery. En 2000, il remporte le cinquième prix Ushio Shin Mystery Club avec La prière d'Audubon (disponible en français chez l'éditeur Philippe Picquier), qui lance définitivement sa carrière de romancier professionnel. Il s'ensuivra une très longue carrière qu'il serait bien exhaustif de détailler ici, comprenant une vingtaine de romans et encore d'avantage de publications en magazine ou en recueils.



A l'instar du Prince des Ténèbres, nombreuses furent ses œuvres qui bénéficièrent d'une adaptation, soit au cinéma (Ahiru to kamo no coin locker,"Un canard et un canard sauvage dans la même armoire", Accuracy of Death Sweet Rain,...), en téléfilm (Chidren), en série télé (Potechi "Pommes chips"), en feuilleton radio... et bien sûr en manga ! On retrouve notamment Audubon no Inori adapté par le mangaka Tetsuya Kimura, ou encore Grasshopper par Hiroto IDA, publié en 3 volumes chez Kadokawa Shoten.

Considéré comme un auteur de polar, Kôtarô Isaka a souvent prouvé qu'il ne se limitait pas au genre, et pouvait même aller dans la comédie ou dans le sentimental, tout en posant ses intrigues autour des réflexions humaines. En outre, il ne cache pas son respect pour des auteurs comme Osamu Tezuka ou Shimada Shiyôzi, mais aussi, plus étonnant, du réalisateur français Jean-Luc Godard ! Ses œuvres s'ancrant généralement dans une société contemporaine, Isaka sait en saisir les codes et les références, attirant ainsi un lectorat assez jeune et dynamique. Aujourd'hui, il mène une vie paisible avec son épouse à Sendaï, dans la préfecture de Miyagi.


Megumi Ôsuga



Originaire de Chiba, Megumi Ôsuga (大須賀めぐみ) est née le 21 décembre 1976. Après être sortie de l'école des Beaux-Arts, elle cumula quelques petits travaux de design et d'illustrations. En 1998, elle reçoit le prix d'honneur de la section mineurs de la quarante-deuxième représentation des Shogakukan Manga Awards. Sa carrière de mangaka professionnelle débute en 2002 avec une première histoire courte, Tompachi, publiée dans un hors-série du Shonen Sunday, et sera suivi en 2004 par Honoo no ana no Yomi. Néanmoins, il aura fallu attendre 2007 et  Le Prince des Ténèbres pour que l'auteure sorte enfin de l'ombre et possède une série régulière sur le long terme.

Megumi Ôsuga travailla ensuite sur Waltz, que nous avons évoqué précédemment. Dès la fin de cette dernière série, elle annonça un nouveau titre, qui débuta en août 2012 avec un premier chapitre de 58 pages. Vanilla Fiction, c'est son nom, eut même l'honneur de la couverture du Gessan Magazine et de pages couleurs.
   
  
 
   
Enfin, notons également en mai 2012 la sortie du premier artbook de la mangaka ! Souhaitons-lui encore une longue carrière, les femmes étant encore bien trop rares dans le registre du shonen !
     
       
Personnages:

Andô



"Il suffirait de fermer les yeux pour continuer à vivre normalement... Pourtant..."

Elève en classe de première au sein du lycée de Nékota, Andô est en apparence un garçon comme les autres. En réalité, il dispose d'un talent plus qu'original : à la manière d'un ventriloque, il peut, dans un rayon de trente mètres, manipuler une personne pour lui faire dire ce qu'il veut ! Cependant, Andô a toujours voulu tenir ce don secret : plus jeune, alors qu'il découvrit son pouvoir, il désira en parler à ses camarades, qui ne le prirent pas au sérieux et se moquèrent de lui. Ne voulant plus subir une telle exclusion, le jeune homme choisit de ne plus l'utiliser, au point de l'oublier, et de se fondre dans la masse, avec son allure de jeune japonais moyen. Il vécut ainsi jusqu'à sa rencontre avec Inukai, dont la force de volonté fit vaciller ses convictions, d'autant qu'Andô fut témoin des manières peu orthodoxes des Grasshoppers. Dès lors, il rentrera peu à peu dans le côté sombre d'un monde qui le dépasse, et dans lequel il devra se confronter à de nombreux dangers.
Que veut vraiment Andô ? Est-il réellement satisfait de son anonymat ou se destine-t-il à de plus grandes choses, lorsqu'il est le seul à voir certains aspects de la société ? Depuis qu'il a perdu ses parents dans un accident de voiture, il a développé un sentiment de protection très fort envers son frère Junya, et finit par agir malgré lui sous la même impulsion lorsque sa ville est en péril. Profondément humain dans la description de ses tourments et de ses hésitations, Andô n'est pas le parfait héros de shonen mais juste un garçon un peu perdu, doté d'un don qu'il n'a jamais désiré mais dont il voudra finalement être digne. Est-il libre de ses choix une fois prix dans l'engrenage, alors que sa propre vie est constamment mise en jeu, lorsqu'il est surveillé de près, et lorsque ses propres limites se révèlent ? Peu de personnages n'auront une si belle évolution sans perdre leur caractère attachant.


Junya



"Frangin... s'il te plait... me quitte pas d'un coup."

Âgé d'un an de moins qu'Andö, Junya possède un caractère un peu plus exubérant que son frère aîné. Le contraste se fait d'abord par son allure : cheveux décolorés munis de barrettes, vêtements décontractés... Junya se sent bien mieux dans sa peau que son frère et possède même un certain charme puisqu'il sort avec la tout aussi guillerette Shiori. La chance sourit souvent à ce jeune homme audacieux, au point même d'en devenir assez troublant : les jeux de hasards n'ont aucun secret pour lui ! Il représente également tout ce que veut protéger son frère, et commencera à se douter des problèmes de ce dernier en le voyant revenir terrorisé ou couvert de blessures... En effet, sous son apparence insouciante, Junya a plus que jamais besoin d'Andô, la seule famille qui lui reste, et lui apporte en retour tout son soutien, même si son frère ne veut pas s'offrir à la confession.
Junya passe ainsi, au fil de l'histoire, d'un rôle de simple figurant à celui de premier rôle, en devenant un vrai appui pour son frère, une présence pour lui rappeler pourquoi il se bat, le ramenant à son humanité lorsqu'il se laisse déborder par son pouvoir. L'importance du cadet augmente aussi lorsqu'on comprend que son talent anecdotique pour les jeux pourrait cacher un don aussi intriguant que celui de son aîné... Au final, sa personnalité se révèle aussi riche et complexe que celle d'Andô, comme s'ils n'étaient que les deux profils d'un même visage.


Junji Inukai



"Ce soir, j'ai une question cruciale à vous poser : Qu'est-ce que le bonheur ?"

De son prénom Junji, Inukai est une personne véritablement intrigante, sur laquelle on ne sait pas grand-chose, sinon qu'il est le fondateur des Grasshoppers, groupe d'auto-défense de plus en plus populaire au sein de la ville de Nekota, en nettoyant la cité de la racaille qui l'a envahie. Sous l'influence du mouvement, le nombre de petits délits et d'agressions a certes diminué de moitié en une année, entrainant ainsi une certaine sympathie pour cette action, cachant en réalité des manipulations bien moins remarquables. Inukai dispose à la fois d'une force armée importante, mais également d'un réseau de communication des plus actifs, permettant d'obtenir rapidement des renseignements sur une personne, développer une propagande virtuelle ou de contrôler les médias. Le leader sait également s'entourer de personnes redoutables qui ne lésinent pas sur les moyens pour faire disparaitre les gêneurs. Evidemment, Inukai ne se fixe pas pour but d'être un simple redresseur de torts, et s'imagine déjà une destinée beaucoup plus importante. Il s'autoproclame comme l'élu qui changera le monde par sa seule volonté, et ne recule devant rien pour faire entendre sa voix et entretenir le culte de sa personnalité. Toujours dans une vision de destinée, il voit en Andô celui qui est envoyé pour s'opposer à lui, et lui servir de garde-fou. Futur leader du monde nouveau, ou véritable imposteur ? Rien ne semble pouvoir arrêter son avancée et sa confiance, tandis que toute la ville semble se rallier à sa cause.


Le patron du Duce
 


"Ne compte pas sur moi pour te laisser jouer à ta guise !"

Une mine patibulaire cachée derrière des lunettes rondes, et une carrure imposante à qui ne sied pas vraiment le tablier : voici ce à quoi ressemble le tenancier de Duce, un café réputé de Nekota souvent recommandé pour ses pâtisseries succulentes. Le lieu n'attire pourtant que peu de  monde, même si l'on peut aussi parfois y croiser Inukai... et pour cause : le patron de l'établissement est en réalité son bras droit le plus fidèle. Homme de l'ombre, il s'assure de la sécurité du leader des Grasshoppers lorsqu'il se met au milieu du danger. Plus pragmatique de son maitre et néanmoins ami, ce barman fait preuve de bien moins d'indulgence devant les sources de problèmes. En outre, il est le premier à se rendre compte du don d'Andô et de la gêne potentielle que ce jeune lycéen incarne. Sans doute est-ce du au fait qu'il est comme lui un porteur de pouvoir : le patron du Duce possède en effet un don proche de la télékinésie, consistant à manipuler l'air pour déplacer des objets. Désobéissant à Inukai, il n'hésite pas à poursuivre notre pauvre héros, devenant ainsi son principal obstacle, son Némésis. Son absence d'émotion couplée à son allure colossale font de ce personnage l'une des figures les plus redoutables de l'histoire.


La Cigale



"Peut-être que ça n'a pas de sens et que c'est perdu d'avance... mais moi, je finis toujours mon boulot!!"

De longs cheveux décolorés tombant dans une queue de cheval désordonnée, un collier serré rappelant celui d'un chien, un pantalon à rayures et de multiples couteaux cachés sous son gilet : voici l'allure d'un des meilleurs tueurs à gages de Nekota, connu sous le pseudonyme de La Cigale ! Travaillant sous les ordres d'un certain Iwanishi, ce jeune assassin remplit les contrats de meurtre sans jamais faillir à sa tâche, et ce même s'il ignore qui en sont les commanditaires. Il est du moins ainsi jusqu'à ce qu'il soit envoyé pour abattre Andô, qui n'a pourtant rien d'un mafieux ou d'un politicien véreux. Néanmoins, alors que ce contrat sera finalement annulé, La Cigale finira par trouver de certaines affinités avec le jeune homme. Personnage énigmatique, ce tueur à gages n'est pas purement un psychopathe pour autant. S'il n'accorde que peu de valeur à la vie de ses ennemis, il ne se laisse jamais corrompre et met un point d'honneur à toujours aller au bout de ses engagements, quoiqu'il puisse lui en couter. En apparence élevé depuis toujours dans ce milieu de mort, il voue une certaine fidélité à son intermédiaire, même s'il râle souvent contre lui. Parmi les nombreux meurtriers de la série, La Cigale est sans doute le plus humain d'entre eux, malgré son tempérament colérique et sa grande gueule. Né pour tuer, il semble pourtant chercher autre chose, une raison, un but à son existence.


Anderson Jr



"Les paroles disent plein de choses sur le caractère des peuples. Les mots relèvent l'esprit des gens..."

Né à Los Angeles et ayant passé la majeure partie de son enfance aux Etats-Unis, Anderson Jr finit par emménager sur la terre natale de sa mère le jour où père, qui n'est autre que le président de la société Anderson, décide de s'implanter dans la ville de Nekota. D'un caractère enjoué, ce lycéen est très enthousiaste pour découvrir la culture japonaise, et rêve même de devenir un samouraï ! D'un naturel très observateur, il étudie les expressions récurrentes des discussions japonaises, même si lui-même a encore quelques difficultés avec cette langue. De part son allure de bel éphèbe blond, il s'attire rapidement la sympathie de ses nouveaux camarades, mais qui se rétracteront bien vite quand ils apprendront l'identité de son paternel. En effet, Anderson senior est considéré comme l'ennemi principal d'Inukai, et donc de ses partisans, avec son projet de centre commercial censé moderniser la cité de force. Dès lors, l'étranger sera isolé et subira de nombreuses brimades, attirant ainsi toute l'empathie d'Andô qui s'est retrouvé dans la même situation. Malgré le poids de son nom et cette exclusion, Anderson essaye toujours de relativiser et de ne pas oublier ses rêves. Convaincu que la société peut changer, il ne comprend pas le comportement des japonais aveugles face à la montée extrémiste d'Inukai. Il deviendra également bien vite un ami d'Andô dans l'adversité, et pourra se révéler très utile quand il aura la possibilité de suivre les réseaux de son père. Néanmoins, Anderson garde souvent une position détachée, en tant qu'observateur d'une société qui s'entre-déchire.
   
    
        

  

MAOU JUVENILE REMIX by Kotaro ISAKA, Megumi OSUGA © 2007 by Kotaro ISAKA, Megumi OSUGA / Shogakukan Inc.

Commentaires

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erotaku

De erotaku, le 09 Octobre 2013 à 23h42

un très bon manga pour ma part

manga666

De manga666 [1710 Pts], le 28 Mars 2012 à 16h56

19/20

ce manga n est pas à manquer :)

jojo81

De jojo81 [7209 Pts], le 12 Février 2011 à 12h37

Mince, il fait envie ce dossier. Je place l'intégrale de ce manga dans les priorités de ma liste d'achat.

 

(vous ne voulez pas faire un dossier par mois plutôt qu'un par semaine, parce que ça commence à faire cher ! >_<)

Squalex

De Squalex [3831 Pts], le 11 Février 2011 à 18h12

18/20

Merci Tianjun pour cet excellent dossier qui comme le dit Atobe1 me donnerais énormément envie d'acheter la série si je ne l'avais pas déjà.

J'ai même appris des choses que je ne soupconnais pas, en tout cas lancez vous cette série mérite un énorme succès!

Arsenic

De Arsenic [2097 Pts], le 11 Février 2011 à 11h52

18/20

Excellent dossier. Pour ma part, il me manque les trois derniers tomes (que ma librairire met beaucoup de temps à commander >.>) mais jusque là j'adore ce manga. J'y ai trouvé des entités humaines si patentes que j'aurais pu les croiser dans la rue. Et c'est ce qui donne à Le Prince des Ténèbres toute sa personnalité : unique. En revanche, je n'ai pas tant que cela trouvé quelque ressemblance avec Death Note. Les deux sont bien différenciés et je n'ai jamais pensé à les associer.

PS : préférence pour la Cigale :p

Atobe1

De Atobe1 [1440 Pts], le 11 Février 2011 à 11h42

*Gomen pour les fautes, j'ai tendance à me relire une fois le commentaire posté, n'importe quoi è__é*

Atobe1

De Atobe1 [1440 Pts], le 11 Février 2011 à 11h41

18/20

J'ai vraiment apprécié ce dossier, c'est clair, complet et très bien écrit! Bravo Tianjun pour toutes ces explications.
Si je n'avais pas déjà commencé et terminé la série, ce dossier m'aurait incité à acheter au plus vite les tomes.

 

J'ai commencé par hasard, en achetant les quatre premiers volumes en occasion, attirée en premier lieu par la couverture puis ensuite par la synopsis. Impossible de m'arrêter en cours de route!

L'histoire, les dessins, les décors, j'ai tout aimé. Quand aux personnages, soit on les aime, soit on les déteste, dans mon cas il y en a un ou deux que j'ai eu envie de balancer dans un volcan!

 

Ce manga est un souffle d'air frais dans le monde du shonen, je ne regrette pas de l'avoir commencé!

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