Yuu Watase - Première partie - Actualité manga
Dossier manga - Yuu Watase - Première partie
Lecteurs
20/20

Bibliographie:

  
1989 est la date clé, qui marque le début de la carrière de Yuu Watase. Elle publie alors Pajama de Ojama, une nouvelle parue dans Sho-Comi, bien que ça ne soit que la troisième œuvre de l’auteur, c’est la première à avoir été acceptée par Shogakukan. Mais la carrière de la mangaka est non seulement très riche en séries, que l’on connait pour la plupart en France, mais également de one shot ou nouvelles florissantes. Un vrai casse tête !

Les séries:


Fushigi Yugi (ふしぎ遊戯)



C'est la première véritable série de l’auteur. Prépubliée par Sho-Comi puis éditée par Shogakukan, les 18 tomes de cette série complète s’étalent au Japon de 1992 à 1996. En France, Tonkam lance la parution mai 2003 pour la terminer en juillet 2004. Il existe une réédition du tome 1 lors des quinze ans de la série, en juin 2008, et un coffret des trois premiers tomes, offre découverte datant de novembre 2005. L’histoire de Miaka passionne rapidement, et c’est elle qui lance Watase en France. La jeune fille se présente comme une adolescente comme les autres, attendant le grand amour, travaillant dur pour satisfaire sa mère et rattraper sa meilleur amie Yui. Mais un jour, les deux compagnes se retrouvent aspirées par un livre trouvé à la bibliothèque. Un livre qui les emmène dans un autre monde, où Miaka est une prêtresse et doit chercher sept étoiles pour sauver une contrée appauvrie et sans défenses. Les voilà donc propulsées au rand d’héroïnes, pour une fabuleuse aventure qui ne fait que commencer …
  
  
Contes d’adolescence (思春期未満お断り - Shishunki Miman Okotowari
   

   
Cette série se compose de six tomes, également répartis en deux « cycles ». Le premier voit le jour en 1991, le deuxième de 1993 à 1994. Comme tous les autres titres de l’auteur, Contes d’adolescence est édité par Shogakukan, mais est ici disponible dans le magazine Betsucomi. C’est également un petit changement en France, étant donné que c’est Glénat qui se charge de la parution du titre, de septembre 2006 à aout 2007, bien après le succès de la mangaka dans nos contrées, via Tonkam. L’histoire est celle d’Asuka Higuchi qui, après avoir perdu sa mère, quitte sa contrée pour aller à Tokyo chercher son père … mais elle tombe sur Manato et Kazusa Sudi, qui sont apparemment du même sang qu’elle, sans que l’on sache où se cache ce père volage … Une histoire de famille qui s’épice quand la principale décision d’Azusa n’est plus de rencontrer son père mais de ne pas tomber amoureuse de son charmant demi-frère …
    
   
Epotoransu! Mai (エポトランス!舞)
  

  
Le titre n’est pas disponible en France, mais la série en est bien une puisqu’elle compte deux tomes, qui sont réunis en un pour la parution japonaise. Prépublié entre juin 1994 et aout 1995, la série sort réellement en 1995. Son écriture se fait en parallèle de Fushigi Yugi, aussi l’histoire est-elle radicalement différente, beaucoup plus légère. Mai est une jeune fille un peu cruche, amoureuse de Nimura en secret, et avec beaucoup de discrétion puisque le principal intéressé ne semble pas le remarquer. Lors de son anniversaire, Mai reçoit un agenda électronique et s’en sert pour toutes sortes de choses … Y compris faire sortir de l’écran un jeune homme nommé Takuma ! Takuma offre un vœu à la jeune fille, qui décide de pouvoir se transformer en la personne de son choix … Ce qu’elle utilise pour se rapprocher de Nimura, en souhaitant à tout prix pouvoir un jour le faire sous sa véritable apparence.
  
   
Ayashi no Ceres (妖しのセレス)
  

  
Ayashi no Ceres est une autre grande série de Watase, puisque ShoComi fait découvrir aux lecteurs nippons 14 tomes entre 1996 et 2000. De notre côté, la série est terminée chez Tonkam depuis mai 2002, un peu moins de deux ans après le début de la parution. L’auteur plonge dans le Japon traditionnel et le monde actuel en faisant d’Aya et Aki Mikagé des héros d’un conte de nymphe céleste et de mari jaloux, alors que les deux jeunes gens sont jumeaux … Aya va alors se voir détestée de sa famille, descendants de l’homme qui a fait souffrir la nymphe, avant que celle-ci ne se venge … L’adolescente va alors devoir chercher réconfort ailleurs pour chercher la robe de plume d’une nymphe qui aimerait rentrer chez elle. Mais tout se complique lorsqu’elle rencontre et tombe sous le charme d’un mystérieux amnésique nommé Toya, qui se révèle être au service des Mikagé …
   
   
Appare Jipangu! (天晴じぱんぐ!)
     

     
C'est une petite parenthèse dans les grandes épopées de l’auteur, puisque ces trois tomes édités de 1998 à 2003 n’est pas la priorité de l’auteur, et ne fait que réaliser son envie de féodalisme japonais. Yusura est une pourfendeuse de regrets, c'est-à-dire qu’elle est capable de ressentir la tristesse des gens grâce à son bâton magique, afin de la retourner contre celui ou celle qui est la cause de cette même tristesse. En somme, elle guérit les cœurs meurtris qu’elle rencontre, et très accessoirement le sien. C’est encore Tonkam qui propose la série dans nos contrées, d’aout 2003 à avril 2004.
  
   
Imadoki (イマドキ!)
     

  
Imadoki, dont les cinq volumes sortent entre 2000 et 2001, retrace l’épopée quotidienne de Tampopo, une jeune fille très enjouée, avec ses petits bonheurs, déceptions et autres sentiments plus intenses. Cette campagnarde apprendra aux gens de la ville qu’une vie doit être partagée, que les amis sont le bien le plus précieux qui soit, et que l’optimisme n’est pas une faiblesse mais une force. La naïveté d’un cœur convaincu contre les préjugés et la rigidité du monde. Cette petite œuvre qui a l’air de rien rafraichit un peu à côté d’Ayashi no Cérès, d’aout 2002 à avril 2003 pour les lecteurs franaçais, encore une fois grâce à Tonkam.
  
   
Alice 19th (ありす 19th)
  

      
C'est la deuxième série de Watase à voir le jour chez Glénat, de mai 2003 à janvier 2005, alors qu’au Japon c’est toujours le même éditeur et le même magazine qui s’en occupe, entre 2001 et 2003. L’histoire est celle d’Alice Séno, une adolescente particulièrement réservée et timide, refoulant ses sentiments et ses pensées, contrairement à sa sœur Mayura, qui se rapproche du gaçon qu’Alice aime dans le plus grand secret. Néanmoins, l’amour n’est pas un sentiment à négliger et la relation entre Kyo Wakamiya et Mayura fera exploser Alice, qui découvrira le pouvoir de ses mots. Elle est ce qu’on appelle une lotis master, et doit apprivoiser les lotis, ou mots dotés de pouvoir, pour retrouver les lost words qui sauveront le monde d’une grande menace, toujours plus grandissante.
 
 
Lui ou rien! (絶対彼氏 - Zettai Kareshi)
     

     
Souvent connu sous le titre japonais Zettai kareshi, Lui ou rien! voi tle jour chez un troisième éditeur francophone : Kana, qui publie les six titres de décembre 2005 à juillet 2006 tandis que les japonais ont pu profiter des mésaventures de Riiko entre 2003 et 2005. L’héroïne est une adolescente tout ce qu’il y a de plus normale : complexée sans raison, à la recherche d’un copain et collectionnant pourtant les échecs amoureux. Par un heureux hasard, Riiko vient à commander un petit ami robotisé qui lui est dévoué. Seulement, la période d’essai étant dépassée, Riiko doit faire un pacte avec la société Kronos Heaven pour garder Night auprès d’elle. Après tout, qui ne rêverait pas d’un petit ami parfait en tous points ? Et ne vaut-il pas encore mieux l’imperfection, le naturel et surtout l’atteignable ?
 
 
Fushigi Yugi - La Légende de Gembu (ふしぎ遊戯 玄武開伝 - Fushigi Yugi Gembu Kaiden)
  

  
Ce titre n’est pas la suite de Fushigi Yugi, mais plutôt son prélude. L’histoire se passe bien avant la naissance de Miaka, et Takiko se rend la première au pays des étoiles célestes, pour devenir la prêtresse non pas de Suzaku mais de Gembu. Là encore, il s’agit de sauver la contrée dans laquelle la jeune fille atterrit, en réunissant les sept étoiles qui l’épauleront dans sa quête. Mais comme son prédécesseur, Takiko a des problèmes à accepter la cruauté du monde réel, et cette histoire n’est au début qu’une fuite, avant de devenir plus importante encore que tout le reste.  Depuis sa prépublication en avril 2003 et sa première sortie en octobre de la même année, la série a du mal à avancer, avec un rythme d'un tome par an sur la fin. Ainsi, le douzième et dernier volume de la série est annoncé au Japon pour juin 2013. Tonkam est fidèle à l’auteur et propose, depuis septembre 2004, ce complément à la série phare de l’auteur, mais subit indirectement ce ralentissement de parution...
      
       
Sakura Gari (櫻狩り)
   
 
    
Sakura Gari est le premier yaoi de l’auteur. Titre atypique et complètement différent de tout ce qu’elle a fait auparavant, Sakura gari présente la relation entre Tagami et le jeune maître de la famille Soma, le premier étant entré au service du deuxième pour financer ses études, sans se douter que son maître était fasciné par la beauté des corps, mais pas ceux des femmes. Et que la pureté de son corps et de son âme le hantent au point de le rendre désireux de souiller l’un et l’autre de sa main. Le premier aperçu de la série se fait par le magazine Rinka de Shôgakukan en juin 2007, jusqu’en janvier 2010 où le troisième opus sort, tandis que la série voit le jour en relié d’avril 2008 à mars 2010. En France, le premier tome s’est dévoilé en septembre 2009 tandis que le troisième et dernier volume sortit un an plus tard.
  
    
Arata (ラタカンガタリ - Arata Kangatari)



Dernière série de l'auteur en cours au Japon, Arata Kanagtari est un shonen et non un shojo, puisqu’elle est prépubliée dans le Weekly Shonen Sunday. Le désir de l’auteur d’un jour se lancer dans ce genre a donc enfin été concrétisé, à partir d’octobre 2008 en magazine et de janvier 2009 en relié. La série a franchi la barre des quinze tomes au Japon, présentant l’histoire d’Arata, qui est le seul enfant de la famille Hime. Or, cette lignée a pour habitude de choisir, tous les trente ans, une nouvelle princesse pour servir les Hayagami. Arata étant un jeune homme, il va remplacer la candidate idéale en se déguisant, sans penser que cette situation va vite dégénérer… En France, c'est encore un nouvel éditeur, à savoir Kurokawa, qui décroche le titre. Publiée sous le nom simplifié d'Arata, la série débute en septembre 2010 et parait à un rythme bimestriel.
   
  
The Best Selection (渡瀬悠宇 The Best Selection)
     
  
     
C'est un recueil de nouvelles déjà publiées, réunissant ainsi toutes les petites publications de l’auteur, dans plusieurs tomes. Le premier opus est sorti au Japon en mars 2008 et a suivi en France, chez Tonkam, en juillet 2009. Il contient les nouvelles suivantes : Sunde ni touch (2000), Couple (2000), Hatsuki Triangle (1993), Houkago Genso (1995) et 700 Nichi no blue (1993). Sunde ni touch est cependant déjà disponible sous le titre de « Toucher c’est voler » dans le 5ème tome d’Imadoki, disponible depuis 2001 et 2003 respectivement au Japon et en France. Il s’agit de l’amusante histoire d’une maniaque de la propreté, incapable de même toucher un garçon, quand bien même elle en serait amoureuse … Le deuxième tome, paru en juin 2009 au Japon et en décembre 2010 chez nous, contient les nouvelles Perfect Lovers (1997), Otome no Jijo (1991), Genseika (1993), Mint de kiss me (1994), Pajama de Ojama (1989) et Pajama de Labyrinth (1989).
  
 
 

One-shot et nouvelles:


Gomen Asobase (ごめん遊ばせ!)
  

   
C'est un recueil édité en janvier 1990 de quatre nouvelles, toutes écrites en 1989 : Gomen Asobase, Pajama de Ojama, Pajama de Labyrinth et Kôri Musume wa Otoshigoro.
    
   
Magical Nan (マジカル・ナン)
    

     
Magical Nan est un autre recueil, paru en juin 1990, comportant quatre histoires : Magical Nan, Yamato Nadeshiko Romanesque, Half Boy ni Goyoujin et Indo da yo Henjin Shuugou! La dernière histoire n’en est pas vraiment une, et s’attarde seulement sur le voyage de Yuu Watase en Inde.
   
    
Otenami Haiken! (おてなみ拝見!)
  

    
Cette histoire courte est associé à Heart ni Jewel pour former un volume éponyme paru en janvier 1991.
 
  
Affaires de Jeune FilleOtome no Jijo
   

   
C'est le titre japonais pour Affaires de jeune fille. On peut trouver cette histoire dans le troisième volume de Contes d’adolescences cycle 1 paru en novembre 1991 au Japon. Pour les connaisseurs, Hinata est la fille adoptive d’un couple très riche qui souhaite lui trouver un petit ami en organisant un concours et une récompense à la clé. Mais Hinata n’en veut qu’un, qui n’est pas spécialement intéressé par cette demoiselle de bonne famille.
   
   
Suna no Tiara (砂の王冠)
   

     
Suna no Tiara sort en septembre 1993 et contient trois nouvelles: Suna no Tiara, Hatsuki Triangle et 700 Nichi no Blue (les deux dernières sont disponibles dans The best Selection). Hatsuki Triangle est l’histoire d’Hatsuki Hodaka, tout juste transférée dans une nouvelle école. Lorsqu’elle y entre, un garçon se promène près d’elle avec un sabre de kendo, et Hatsuki se met tout à coup à devenir dingue, pour se calmer tout aussi rapidement, laissant une certaine angoisse chez ses nouveaux camarades. Il semblerait que la jeune fille soit hantée par un très bon kendoka, proche de la jeune fille, récemment décédé. Il la protège alors des autres garçons en se manifestant par le kendo … 700 Nichi no blue est la poétique nouvelle de Masumi, amoureuse de son senpai au club de peinture, créateur d’un bleu unique dans une de ses œuvres. Masumi cherche à reproduire ce bleu, à le sentir, à comprendre sa création.
 
  
Mint de Kiss me (ミントで Kiss me)
  

   
Il s'agit d'un autre recueil de la mangaka, paru en décembre 1994 et réunissant cinq histoires: Mint de Kiss me, Genseika, Genseika Bangaihen Hana no Shirube, Furimuke Romance! et Nakago Shikkari Shinasai! part 1
   
     
Musubiya Nanako (結び屋 NANAKO)
   

  
Ce titre parait en juillet 1997 et rassemble les quatre nouvelles suivantes: Musibiya Nanako, Perfect Lovers, Memoir Girl et Nakago Shikkari Shinasai! part 2.
 
 
Oishii Study (おいしい STUDY)
  

  
Oishii Study est prépublié dans ShoComi en 1996 et sort en relié en janvier de l’année suivante.
  
  
Illusions mortellesHoukagô Gensô
  

      
Cette nouvelle voit le jour en 1995, dans le magazine Cheese avant d’être intégré dans le tome 1 d’Appare Jipangu! paru en janvier 1998 au Japon et en septembre 2003 en France, pour ensuite être intégré au recueil the best selection. Le titre français est Illusions mortelles, et l’histoire est celle de Rei, très belle et attirante jeune femme, qui a un caractère insupportable et, de plus, passe son temps avec une cigarette entre les lèvres. Recevant des messages d’admiration dont elle n’a que faire, Rei est plus préoccupée par les pensées qu’elle capte, les visions qu’elle a de l’homme sale et dégradant. Surtout que depuis peu, elle en vient à se demander si ses propres pensées ne commandent pas le comportement de son entourage.
 
 
Couple


  
Couple est une nouvelle prépubliée dans ShoComi en 1999, Couple est l’histoire d’Inaho qui, jalouse de tous les couples, décide d’en former un avec Takumi, un camarade plutôt connu dans le milieu de la musique en amateur. C’est alors chose faite, mais l’existence du mythe de Benten, la déesse jalouse du lac où les deux jeunes gens se sont retrouvés pour une promenade, qui ferait se séparer les couples. Pour conjurer le sort, Inaho doit retrouver le luth de la déesse avant son 17ème anniversaire qui arrive à grands pas …
   
Pajama de Ojama (パジャマでおじゃま)
  
   
Reprenant le titre de la toute première nouvelle de l'auteur, ce recueil parait en février 2001 et fut réédité en 2012. Il contient six nouvelles, apparues dans d'autres recueils : Pajama de Ojama, Pajama de Labyrinth, Gomen Asobase!, Magical Nan, Otenami Haiken! et Furimuke Romance!.
    
    
Devenir une FemmeOtome no Hajime
    

     
Otome no Hajime alias Devenir une femme est l’histoire bonus d'Alice 19th publiée dans le 3ème volume d'Appare Jipangu! après sa prépublication dans ChuChu en aout 2001. Avant que les deux sœurs ne se déchirent, Mayura et Alise s’allient pour qu’Alice connaisse le plaisir de grandir et d’aimer pour la première fois. L’union de deux sœurs contre les complexes et la délicate insertion dans la vie de femme...
 
 
Dessinez le manga avec Yuu Watase - Manga Yuki
   

  
Ce one shot est édité au Japon en novembre 2005 et arrive chez Tonkam en décembre 2006. Il s'agit d'une petite histoire qui cache un tutoriel de manga. Le scénatio d’Eiri, jeune fille rêvant de devenir une mangaka célèbre, n’est que le prétexte ludique à ce petit guide pour les curieux.
  
    
Ohoshisama Ni Sasemasen


(visuel américain)
   
Ohoshisama Ni Sasemasen est traduit en Tu ne deviendras pas une étoile!, et cette nouvelle est publiée dans le 6ème volume de Lui ou rien ! (2005). On y rencontre Chima, jeune fille pouvant voir les fantômes et venant ainsi en aide à trois fantômes d’une école, morts dans un accident mais refusant de se rendre dans l’au-delà. Quelle n’est pas sa surprise quand elle découvre que le garçon qu’elle admire dans le train tous les matins fait partie de ces fantômes … qu’elle doit de plus aider à satisfaire leurs envies avant de reposer en paix !
   
     
Shonen Aromatic
  

(visuel américain)
  
Cette nouvelle est également disponible dans le 6ème tome de Lui ou rien, sous le titre Un garçon qui a du nez. Kabuki a un don particulier, celui d’avoir un si bon odorat que sentir les gens lui suffit pour savoir avec qui ils peuvent s’accorder. Il utilise ce pouvoir pour un peu d’argent, mais celui-ci va lui permettre de trouver lui aussi le bonheur, en sauvant une jeune femme qui n’a pas d’odeur … Et qui pourtant lui demande de trouver quelqu’un pour elle.
 
 
Fukugaeru
  

  
C'est une histoire courte prépubliée dans Big Comics, en octobre 2006, sans publication en volume relié.
  
    
Pandora Cube
  

  
Pandora Cube est un shonen, d’abord publié dans Weekly Shonen Sunday en janvier 2008. Ce one shot est le tout premier shonen de l’auteur, avant même Arata Kantagari.
    
    

© by Yuu WATASE / Shogakukan Inc.

Commentaires

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anna29

De anna29, le 24 Novembre 2014 à 14h18

20/20

trop bien aimer ces mangas. J'ai envie de savoir si fushigi yugi byakko va t-il sortir? ça nous replonge dans différents univers ,vivement la suite j'espère qu'elle en fera une ou plusieurs histoire ^^.

NiDNiM

De NiDNiM [912 Pts], le 29 Avril 2010 à 21h37

De rien ça me fait plaisir de débattre là dessus.

Et je te rassure, quand j'ai acheté le manga l'histoire mièvre est passée sans aucun problème (j'ai tout gobé avec des étoiles dans les yeux en prime), mais avec le recul il y a pas mal de ridicule dans tout ça. Ce qui signifie simplement que si on m'avait donné à lire du Fushigi yugi à mon âge, là maintenant sans rien connaitre de l'auteur ... J'aurais vite passé mon tour :D

Et puis des promesses de gosses, oui. Mais Miaka et Tamahomé ne font pas des promesses en l'air, c'est officiel, ils cohabitent et si l'on a pas le droit au mariage, on en est pas loin ... Enfin, toujours est il que je ne me reconnais pas là dedans, que je n'aperçois pas ma réalité et ma conception de l'amour. De nos jours, qui, à 17 ans, passe la bague au doigt d'un homme à peine plus âgé en emménageant direct et en parlant mariage et enfants (dans Ayashi no Cérès) ? Il y a un décalage entre la maturité des personnages et les histoires d'amour de contes de fée que Watase leur fait vivre ...

Glacia

De Glacia, le 29 Avril 2010 à 15h42

C'est vrai que ça peut paraître ridicule :-D et quand je vois ça aujourd'hui je me marre, mais seulement pour la réalité.

Ici ce sont deux fictions et je me suis dit à l'époque pourquoi pas? Si l'éditeur de Watase le lui a demandé à l'époque qu'est ce qu'on y peut (vu qu'à la base il n'y avait aucune histoire d'amour au programme (heu je parle de Fushigi Yugi):-D

Mais quand je l'ai lu faut croire que j'étais encore une jeune innocente rêveuse qui croyait en cet amour (ben oui complètement "mièvre" mais au final tellement pur et désintéressé) et ça m'avais pas marqué plus que ça que ça se passait en à peine 2 mois.... ;-)

Tchô c'est vrai qu'ils perdent po de temps dans les manga XD mais dans la réalité aussi il y a des tas de cas comme ça... (ptet pas mariage mais des projets du même acabit).

Mais si t'as été jeune NIDNIM ;-) t'as jamais eu un petit amoureux à qui t'as promit d'être son épouse et de fonder une famille? Je suis sûre que oui...c'est des paroles de gosses quoi, ça réfléchit pas plus loin...ça doit être de la "mièvrerie" LOL

C'est très aimable d'avoir répondu à mon commentaire NIDNIM, je vois que tu es à "l'écoute" de tes lecteurs. A bientôt ^_^

NiDNiM

De NiDNiM [912 Pts], le 28 Avril 2010 à 20h41

Glacia > Cette histoire de destin, justement, j'en parle beaucoup.

Et peut être que tu n'as pas eu ce ressenti mais pour en avoir beaucoup parlé autour de moi et pour avoir parcouru beaucoup d'avis sur internet, tu es un cas rare XD A part les rêves d'amour des jeunes filles (et toi, maintenant, peut être), je ne vois pas qui pourrait s'identifier à l'histoire de Miaka et Tamahomé par exemple. Ils se rencontrent, elle a 16 ans, et deux mois plus tard ils parlent mariage, sont destinés l'un à l'autre et ont rencontré le grand amour, passent leur temps à se courir après sous prétexte qu'ils ne sont pas faits l'un pour l'autre ... Perso, ça me gonfle :D Et objectivement, C'EST mièvre. Irréaliste, dégoulinant de bons sentiments et totalement cliché. Mais il y a bien d'autres qualités dans ce manga :D Idem pour Aya et Toya, je trouve ça juste ridicule de se promettre l'éternité à cet âge, sans passer par des étapes plus saines, plus "normales". On ne rencontre pas ça "en vrai" ^^'

 

Hiroto > Rien à dire à part merci :D J'espère que la suite t'aura autant plu ^^'

Glacia

De Glacia, le 28 Avril 2010 à 19h44

J'ai appris énormément sur l'auteure, à la lecture de ce dossier, et sur ces oeuvres non parues en France.

J'apprécie les oeuvres de Watase en général car je trouve qu'elle mêle habilement aventures et sentiments ce qui donne un espèce de "shojonen" (hybride shojo/shonen) qui plais aussi à un lectorat masculin.

Je ne trouve pas que l'histoire d'amour de Miaka et Tamahomé (Fushigi yugi) soit tombée du ciel "pouf!" mais était préparée et prévisible même ^^et je ne l'ai pas du tout trouvée "mièvre" (alors que je ne supporte pas les shojo sentimentaux en général, car cette "mièvrerie" m'énerve, justement ;-))

De même que dans Ayashi no Céres, l'histoire sentimentale de Aya et Toya est poignante et fantastique, "elle me prend aux tripes"! (sens figuré bien sur ;-)) Et elle ne me saoûle pas du tout, il y a un aspect très profond là dessous, comme guidé par le destin... ^^

A part cette remarque sur la "mièvrerie" (que je n'ai pas ressentie en lisant les manga de Watase) j'ai bien aimé les critiques de ses oeuvres.

Hiroto

De Hiroto [591 Pts], le 20 Avril 2010 à 20h47

Bravo!! TRès bon dossier, vraiment hâte de lire la suite!! Je ne connais pas vraiment l'auteur, n'ayant lu que lui ou rien (auquel je n'ai pas DU TOUT accroché ^^") donc je vais surement lire le reste de ses oeuvres, tu m'a donné envie!

Encore merci & au plaisir de te lire =)

NiDNiM

De NiDNiM [912 Pts], le 19 Avril 2010 à 15h46

kazamanga : En te lisant j'ai trouvé de nombreux points communs avec ma propre vision de l'auteur (avoir été fan il fut un temps et porter à présent un regard plus nostalgique en m'y remettant comme ça, pour redécouvrir tout ce que j'ai manqué ...). Mon premier manga a aussi été un Watase (Alice 19th, pour ceux que ça intéresse ;D Puis Fushigi Yugi) et c'est Gembu qui a relancé mon intérêt pour mes lectures de jeune fille. Et maintenant, sakura gari ^^' Attention à cette dernière lecture, par contre. Remarquable, mais pas évidente évidente pour les anciennes fans qui n'ont pas, entre temps, plongé dans le yaoi ^^'

Et vive Yuhi :D

kazamanga

De kazamanga [367 Pts], le 16 Avril 2010 à 19h18

20/20

Un excellent dossier!

Tu résumes avec une grande justesse mon avis sur l'oeuvre de Watase. Une mangaka que j'affectionne particulièrement car Ayashi no Ceres est mon premier manga (et d'ailleurs l'oeuvre que je préfère de l'auteure, sûrement pour sa maturité).

Comme tu le décris bien, on note une faiblesses certaine par rapport aux romances, on retrouve toujours le même schéma. J'ai lu la plupart de ses séries quand j'étais au collège, j'étais totalement fan et gaga de ses histoires mais en grandissant (et avec la répétition qu'on retrouve, notamment avec "l'élu" qu'on reconnait au premier coup d'oeil avec de l'habitude), je me suis un peu lassée.

J'ai beaucoup aimé la partie sur Fushigi Yugi, très juste, j'ai aussi été très déçue par les derniers tomes (comment ne pas l'être?). Pour Ayashi no Cérès, rien à redire non plus, j'ai toujours été pour Yuhi au passage XD.

Bref, je me suis un peu détournée de Watase avec le temps (bien que Fushigi Yugi la légende de Gembu ait un peu ravivé mon intérêt pour l'auteure) ton dossier m'a donné envie de me replonger dans son oeuvre, en particulier Sakura gari ^^. J'attends la suite avec impatience :p.

NiDNiM

De NiDNiM [912 Pts], le 16 Avril 2010 à 16h24

Merci :D

Et si ça peut inciter certains à aller découvrir l'auteur, c'est encore mieux :) Yuu Watase a beau avoir des défauts, elle est incontournable ^^'

Et je vous dis à la semaine prochaine pour la suite !

Leslie

De Leslie [308 Pts], le 16 Avril 2010 à 15h47

20/20

En voilà un beau dossier! =D

Encore bravo! Voilà qui nous permets d'en apprendre plus sur Yuu Watase, une mangaka que j'aime beaucoup! =p

Koiwai

De Koiwai [12693 Pts], le 16 Avril 2010 à 15h28

Sacré dossier !

Je n'ai pas encore tout lu, mais en ai déjà appris beaucoup sur cette mangaka que je ne connais que très peu (je n'ai lu qu'un seul de ses titres, et loin d'être le plus emblématique, Imadoki).

GakuanAlice

De GakuanAlice [1600 Pts], le 16 Avril 2010 à 13h15

20/20

Dossier vraiment très complet et interressants ^^

Cainael

De Cainael [1153 Pts], le 16 Avril 2010 à 11h53

20/20

Chapeau !

que du bonheur de se replonger dans son univers.

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