Skip Beat ! - Actualité manga
Dossier manga - Skip Beat !
Lecteurs
19.50/20

Au-delà des sentiments, un univers sans pitié : le showbiz

 
 
Une fois que l’on se préoccupe de Skip Beat !, impossible de passer à côté d’un de ses thèmes phares, à savoir le Showbiz dans sa généralité. Tout le monde a une fois dans sa vie entendu parler d’un tel organisme, mais bien souvent, ils ne savent pas concrètement à quoi ils ont réellement affaire. Pour éclaircir cette problématique, on va essayer dans un premier temps de saisir en quoi consiste ce Show business aussi grand que mystérieux pour finir par s’intéresser à l’évolution même des personnages dans un tel milieu.


Promenade en terrain miné


Dire qu'évoluer dans le milieu du showbiz est tout sauf un filon, ce n'est bien évidemment une surprise pour personne. Et Skip Beat mettra cela en avant d'excellente manière et la plupart du temps au travers de Kyoko, mais aussi parfois via d'autres personnages pour un résultat qui n'en sera pas moins intéressant pour autant. Mais, avant tout, il serait bon de remettre quelque peu les choses en place et de rappeler quelques spécificités propres à ce milieu au Japon. La première chose qui nous vient à l'esprit est le principe des "idols", autrement dit de jeunes femmes ou hommes hyper-médiatisés et officiant aussi bien en tant que chanteur qu'acteur en passant par modèle. Sous contrat pendant quelques mois ou quelques années, les "idols" sont donc dans la très grande majorité des cas particulièrement éphémères et leur survie dépend presque exclusivement du succès, surtout d'un point de vue physique, qu'elles ont auprès du public. Si elles ne parviennent pas à se faire aimer, s'en est fini de leur carrière. Bien entendu, si au Japon ce constat est évident, celui-ci s'applique bien au-delà des frontières du pays du Soleil Levant et, ce n'est plus à démontrer, la popularité d'un artiste prime régulièrement sur son réel talent pour le domaine dans lequel il officie. Concrètement, une star ne peut vivre que si elle est désirée du public. Sa carrière dépend entièrement de l’amour que ce dernier lui porte.

Dans Skip Beat, on peut très facilement faire un parallèle entre ce qu'il vient d'être dit et la fameuse section "Love Me" dont le nom se veut d'ailleurs particulièrement explicite. Une fois dedans, il nous est demandé de réaliser diverses tâches allant de la plus ennuyeuse à la plus farfelue afin de récolter des bons points et de se faire aimer par ses pairs. Tout un programme ! L’entrée dans l’agence LME est d'ailleurs soumise à un test. Ce test permet d’établir si une personne dispose de talents qui méritent que l’agence mise dessus. Lors du test, les candidats doivent impérativement taper dans l’œil du président sinon ils n’intègrent jamais l’agence. En outre, l'agence dispose aussi d'un centre de formation sous la forme d'un organisme mis en place par LME productions pour le développement des jeunes talents. La section acteurs de LME peut alors par exemple faire appel à ceux qui y obtiennent d’excellents résultats. Ces derniers rejoignent alors l’écurie de LME. Programme : entraînement vocal, danse traditionnelle, ballet, danse moderne, escrime, etc. Pour pouvoir y entrer, il faut toutefois passer un examen d’entrée et payer une certaine somme. Au-delà de ça, on pourra également constater l'importance accordée à l'opinion du public lorsque celui-ci réclame à corps et à cris le retour de Bô, la mascotte incarnée par Kyoko malgré et ce, malgré ses déboires qui auraient dû lui valoir les foudres de son employeur. Voilà qui ne manquera en tout cas pas de nous arracher l'un ou l'autre fou rire tout à fait savoureux. Et donc, s'il apparaît clairement que Yoshiki Nakamura traite la chose avec humour et légèreté, ce n'est pas pour autant qu'il n'y a rien à en tirer et elle ouvre ainsi la porte à davantage de réflexion de notre part sur le sujet.

Mis à part l'importance du regard et de l'opinion du public, il est aussi indispensable d'évoquer combien le milieu peut se révéler gangrené de l'intérieur. Les coups bas entre les artistes sont fréquents pour peu que l'un d'eux ait quelque chose à y gagner, et c'est encore mieux s'il peut soulager son égo dans l'aventure. Rukiko, que Kyoko rencontrera sur l'un de ses tournages et dont on reparlera plus en détail par la suite, est un bon exemple de cet état de fait. En outre, il ne faut pas non plus négliger l'importance de l'argent et des relations afin de s'approprier l'un ou l'autre rôle pour lequel on n'était pas forcément prédestinés. Cet état de fait sera illustré dans la série quand Mlle c’est-un-scandale sera confrontée au retour d’une des personnes qu’elle redoute au plus au point, une rivale qui n’a eu de cesse de l’écarter des premiers rôles grâce à l’un de ses plus gros talents : l’argent. Cela démontre bel et bien le pouvoir désastreux que peut avoir l’argent dans le Showbiz…
Cependant, malgré les nombreux obstacles qui se dressent sur leur chemin, que ce soit Kyoko ("Je suis bien décidée à être tellement demandée que même les producteurs aussi influents ne pourront plus m'ignorer!") ou Kanaé ("Selon toi, ton talent ne peut vraiment pas surpasser l'argent ? On aura beau brûler de le posséder, le talent ne s'achète pas !"), chacune parviendra au final, à force de volonté et bien aidées par leur talent inné, à s'imposer et progresser sur ce terrain miné qui ne fait aucun cadeau.
 
 



Rendez-vous avec le destin


« L’arme dont tous les êtres humains sans distinction disposent dès la naissance, c’est l’aura ! »

Voici que débarque Kyoko sous ses grands airs vengeurs pensant dans ses fantasmes arriver à ses grandes heures de gloire telle une célébrité riche, talentueuse et au-dessus des autres. Mais une fois qu'elle redépose pieds sur terre, il lui faut malgré tout constater que le milieu dans lequel elle est à deux doigts d'entrer n'est pas un univers aussi clément et gentil qu'elle le pensait au départ. D'entrée de jeu elle se confrontera au scepticisme de "la" star de LME Productions, Ren Tsuruga. Homme qui voit déjà la carrière de Kyoko morte dans l'oeuf. Mais c'est sans compter sur sa détermination de fer accompagnée de son armada de Kyoko-spectrales qui sont prêtes à faire des malheurs dans l'univers des acteurs. Comme nous l'avons déjà mentionné auparavant, notre héroïne arrivera à "convaincre" Takenori Sawara, responsable de la section variétés. Toute fière de sa réussite, elle déchantera cependant rapidement lors de l'examen d'entrée de LME. Après avoir échouée au test, Lory lui laissera toutefois une chance en intégrant la section « Love me », section qui aura pour but de lui redonner ce sentiment appelé amour qu’elle a perdu.
 
Si Kyoko se réjouit de la nouvelle chance qui lui est donnée, elle devra en contrepartie faire avec les obligations qui en découlent. Les membres de cette section sont là pour se faire « aimer ». Pour cela, ils doivent accomplir toutes les tâches qui leur seront données par autrui et récolteront en retour des points. Ceux qui obtiendront d’excellents résultats bénéficieront par la suite d’un début fracassant dans le showbiz entièrement orchestré par l’agence. Ainsi, Kyoko a le grand honneur de devenir le premier membre incontesté de cette illustre section, hum… Mais s’arrêter là dans les privilèges serait un outrage, elle reçoit donc en prime un carnet à tampons (pour récolter les points) et une magnifique combinaison rose flashy accompagnée d’un honorable blason  « Love Me » sur le cœur ainsi qu’un superbe écusson « Love Me » dans le dos. Quel insigne honneur ! Et pour inaugurer cette entrée royale en fanfare, fêtons tout cela à coups de nettoyage de chewing-gums incrustés sur le sol. Comme on peut le pressentir, notre héroïne n’en sera que plus heureuse…
 
Entrer c'est une chose, mais notre héroïne devra cette fois se confronter et se maintenir dans un monde qui lui est encore totalement inconnu. Sans vraiment se poser de questions, d'instinct, notre nouvelle recrue va s'orienter vers le domaine des comédiens. Évidemment, comme toute débutante, Kyoko va démarrer sa carrière par des jobs assez ingrats et primaires. D'un côté, elle doit subir des emplois banals et peu engageants (travailler dans une station-service) pour pouvoir subvenir à ses besoins et se maintenir dès à présent dans le showbiz. Et de l'autre côté, elle commence sa carrière d'actrice par de petits rôles ne la mettant a priori pas du tout en valeur telle que son job de mascotte de volatile enrobé qui s'appelle Bô. Cela a cependant pour avantage de marquer définitivement son début dans le showbiz. Une fois le rôle de Bô entamé, il lui sera confié une nouvelle mission qui a pour but d'aider Rukiko, une chanteuse en vogue, qui est sur le point de jouer dans un film mettant en place une sorte de récit de Cendrillon revisité pour coller au cadre de la fin du XIXème siècle japonais. Loin d'être un ange envoyé par Dieu, Rukiko, sous ses faux-semblants de princesse (aux yeux de Kyoko, tout du moins), s'avère être une vraie peste doublée d'une capricieuse. Touchée temporairement par la cause de cette embêtante chanteuse, cela coûtera une jambe à notre héroïne ainsi qu’une haine inexpliquée à son encontre pour que celle-ci se rende enfin  compte de la véritable nature de la sorcière qu'elle sert. Ainsi, c’est au contact de Rukiko que Kyoko s’éveillera à l’adversité du showbiz et au jeu d’acteur. Voilà donc les premières bases mises en place et sans spoiler l'oeuvre, Kyoko évoluera petit à petit par les divers rôles prenant chacun la forme d'une nouvelle épreuve pour notre héroïne. Que ce soit dans la peau d'un bel ange vengeur dans un clip musical ou en tant que personnage de Mio dans la série télévisée Darkmoon, Kyoko va petit à petit trouver la méthode qui lui convient le mieux pour s'imprégner de ses différents rôles. Bien que cette méthode lui permette de construire une personnalité à part entière, cette interprétation ira de prime abord souvent en contradiction avec l'image initiale que s'était fait le réalisateur du personnage en question. Ce procédé consiste à créer de manière concrète un personnage aussi bien psychologiquement que physiquement pour pouvoir par la suite s'identifier de façon effrayante et réaliste au protagoniste qu'elle a pour mission d'incarner. Cette identification est poussée tellement loin qu'on a l'impression d'être confronté à un personnage en chair et en os. Et, au-delà de ça, Kyoko a aussi tendance à tellement s’imprégner des personnages qu’elle joue qu’elle se retrouve parfois dans leur peau même en dehors des moments de tournages. Cette manière de transformer complètement sa personnalité lorsqu’elle entre dans un rôle n’est pas sans rappeler la manière de procéder de certains acteurs bien réels (Daniel Day-Lewis, par exemple). 
 
En marge de son énorme potentiel, Kyoko est encore loin d'atteindre le summum en matière de jeu d'acteur comme c’est le cas de certains comédiens tel que Ren. Bien que talentueux, on ne peut pas toujours observer les prédispositions artistiques de ce dernier, car il ne joue sérieusement (ce qui n’arrive pas toujours) qu'auprès de personnes passionnées par leur métier. Et quand celui-ci joue sérieusement, son jeu d’acteur atteint un tel niveau qu’il peut manipuler son partenaire de jeu là où il veut, peu importe l’acharnement de son camarade pour lui tenir tête. « Si la personne qui lui donne la réplique est supposée tomber amoureuse de lui, il la fait réellement tomber amoureuse de lui. Si elle est supposée avoir peur, il lui fait réellement peur. Le jeu d’acteur de quiconque donnant la réplique à Ren cesse d’être un jeu et devient la réalité ». Ce constat ne plaira évidemment pas à notre héroïne, surtout en l’expérimentant directement auprès du principal intéressé. Elle jugera cela comme une manipulation à distance de la part du beau gosse, sentiment qui renforcera dès lors un peu plus son désir de pouvoir jouer avec lui et avec un talent égal au sien. Ren est donc devenu officiellement son rival !
 
Kanaé n'est pas en reste non plus, mais avant d'aborder toute l'étendue de son talent, petit retour historique. Mlle c'est-un-scandale a eu l’infini « privilège » de devenir le deuxième membre incontesté de la section « Love Me ». Après avoir passé brillamment les deux premières phases de l’audition des nouveaux talents, elle n’a pu cacher lors de la troisième étape que l’amour (élément indispensable) lui faisait à elle aussi défaut. Elle a également fortement aimé le nom de « Love Me » ainsi que son beau costume rose en signe de bienvenue… De son côté, Kyoko sera (réellement pour une fois) contente d’avoir un nouveau camarade pour partager sa malédict…bénédiction, je veux dire… Revenons à présent à nos moutons, Kanaé a le don de simuler en un temps record toutes sortes d'émotions (notamment la scène des larmes) et peut retenir un script en peu de temps.
  
 
  
  
  

Shojo atypique par rapport à ses consœurs ?

 

Tous les sujets abordés jusqu’ici nous ont prouvés que Skip Beat ! était un shojo des plus atypiques, mais est-ce formellement et totalement le cas ? Pour pouvoir y répondre, il est temps de s’intéresser quelque peu au style de Yoshiki Nakamura, celui qui permet à la série de nous dévoiler énormément de qualité, mais aussi, et c’est bien légitime, l’une ou l’autre faiblesse qui, rassurez-vous dès maintenant, n’abaisse que de très faible manière le niveau global de la série.

Dès le départ, l’auteure opte pour un rythme constant qui ne souffre d’aucun véritable temps mort. Cela ne veut pas dire pour autant qu’elle précipite les choses et qu’elle nous perd en cours de route. Quand c’est nécessaire, elle est tout à fait capable de ralentir la cadence. Le premier tome de la série représente cela à merveille en prenant le temps de nous présenter en détail Kyoko sous son apparence d’alors avant de la transformer radicalement, là où certains auraient pu se contenter d’une présentation sommaire et finalement aussi peu intéressante qu’instructive. Cet atout va, au final, lui permettre de garder le lecteur en haleine de manière continue et d’offrir une intrigue profitant d’un intérêt constant de notre part. Et cela est clairement renforcé par le fait que l’auteure semble parfaitement bien savoir où elle va et comment orienté son intrigue. Qui plus est, en évitant de s’embourber dans un univers totalement réaliste, elle allège son récit de thématiques qui auraient sûrement pû se montrer intéressantes à traiter (la déscolarisation de Kyoko notamment), mais qui, dans le cas présent, ne se prête pas vraiment au style de l’œuvre dans la mesure où on est ici face à un shojo et non pas un josei. Bien entendu, on pourra toujours considérer cela comme une simple facilité scénaristiques parmi d’autres, témoignant d’une paresse de Nakamura. Ici, chacun sera libre d’en faire sa propre interprétation, toujours est-il que la première solution émise semble la plus probable. Autre point positif de ce choix de ne pas coller totalement à la réalité : la possibilité pour l’auteure d’intégrer des éléments qui n’auraient autrement pas lieu d’être (les Kyoko spectracles notamment), mais qui servent totalement la série en ajoutant une touche d’humour non négligeable.

A côté de ça, on notera également que si Yoshiki Nakamura impose un passé, voire même un présent, relativement lourd à bon nombre de ses personnages, elle parvient tout de même à éviter de tomber dans un abus de pathos infini où chacun se lamente sur son sort jusqu’à ce que mort s’en suive. A contrario, les protagonistes qu’elle met en place ont tendance à prendre le taureau par les cornes et à réagir (jusqu'à devenir eux-mêmes le taureau en question), quelle que soit la situation donnée. C’est en grande partie cela qui nous évite à Skip Beat! de tomber dans les mêmes travers que bon nombre de shojos à tendance larmoyante non pas de par la qualité de leur histoire, mais du fait de l’apathie contagieuse de leurs personnages. Par contre, là où la série rejoint d’autres œuvres mièvres et sans saveur, c’est au niveau de la vitesse à laquelle se développe la relation amoureuse entre les différents intervenants. En l’occurrence, cela peut plus ou moins se justifier de par le caractère assez particulier de Kyoko, mais, malgré tout, voir les choses avancer un peu plus vite ne serait pas de refus !

Enfin, une fois plus avancé dans la série, on pourra aussi constater que Nakamura a un peu de mal à renouveler complètement les différentes situations face auxquelles Kyoko se retrouve confronté. En effet, si le décor change forcément à chaque fois, on se retrouve cela dit presque systématiquement avec une Kyoko d’abord en difficulté, ensuite en phase de recherche afin de comprendre le prochain rôle qu’elle doit jouer, et, pour terminer, mise en avant grâce à la qualité de son interprétation, avec tout ce que cela implique sur ses pairs. Toutefois, l’auteure ne tombe jamais pour autant dans de la redondance pure et dure ou tout simplement dans le ridicule et parvient à nous faire oublier ces quelques défauts grâce à un mélange parfaitement équilibré entre délire et sérieux.
   
   

SKIP BEAT! © 2002 by Yoshiki Nakamura / HAKUSENSHA, INC.

Commentaires

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Nara

De Nara [0 Pts], le 21 Janvier 2015 à 23h13

J'ai découverte l'anime de Skip beat il y à 2 ans ci je ne me trompe pas .... J'ai été très surprise de constater que cette anime me plaisient bien , je me suis vite plonger dedans et j'ai adoré ,j'ai été très déçue de constater que il n'y avais pas de suite à l'anime ..... Et comme je ne suis pas fane des livre manga , je n'ai pas trop chercher à savoir si l'histoire continuai . Bien évidemment j'ai un peu chercher pour savoir si une saison deux ou une suite de l'épisode 25 ,allais arrivé ou une date de sortie probable ... comme je ne trouvais rien . J'ai arreter de chercher! Et voila qu'il y à une semaine  en allant chercher une bd pour un amis ,je suis tomber par hazard sur S-b ,et pas curiosité j'ai demander conseil à la vendeuse qui ma vendu le tome qui suis l'anime , à mon grand éttonement j'en suis devenue fane .... J'ai continuer ma lecture en enchainent assez vite les tome ,je les ai bien lue deux fois en ligne !Hier j'ai été acheter tout les tome et depuis hier je relis tout depuis le début ...... J'aodre ,j'aime ,j'en suis gaga ...! Merci pour ce dossier ,j'aime beaucoup ,bien que je le trouve un peu incomplet concernant la complexité des sentiment de Kyoko :) .

erotaku

De erotaku, le 23 Septembre 2013 à 20h14

que dire de cette serie a part que je me suis bien marai sur certain truc j'adore tout simplement

xmidorix

De xmidorix [399 Pts], le 09 Juin 2013 à 21h33

un trés bon manga, découvert grace a un ami qui lis aussi des shojo et celui là est vraiment le pilier de sa collection.

Ikramz

De Ikramz [252 Pts], le 19 Mai 2013 à 19h00

Merci ^^!

l'histoire est sympas...

CÔME Hélène

De CÔME Hélène, le 16 Avril 2013 à 17h06

20/20

Parmi toutes les séries de manga que j'ai (et j'en ais beaucoup ^^ ), c'est bien Skip Beat ma préférée <3

Ce dossier est très complet merci !

Shaedhen

De Shaedhen [777 Pts], le 09 Avril 2013 à 17h57

Merci à vous !

amu

De amu [226 Pts], le 09 Avril 2013 à 08h34

merci pour le super dossier en plus j'adore la série.

Kuris

De Kuris [972 Pts], le 08 Avril 2013 à 22h08

20/20

Merci pour ce superbe dossier! J'ai les 22 premiers tomes de skip beat (si ce n'est plus!) sous mon lit et je voulais justement les ressortir pour les relire depuis la récente reprise de la suite de cette série en france! Grâce à ce dossier j'ai pu me replonger dans l'histoire et me rappeler la raison pour laquelle je dépensais mes sous pour cette série! Grâce à vous je vais continuer et oui c'est une super série c'est vrai! Alors merci d'avoir trimé autant pour nous!

je n'ai peut-être pas à me mêler de ce qui ne me regarde pas mais mon grand-père m'a toujours dit qu'il ne fallait pas se laisser démonter par qq remarques désobligeantes surtout lorsqu'elles concernaient un acte de générosité que  fait envers d'autres personnes... Il me semble que c'est ici le cas...Et que pas mal d'entre nous en sommes reconnaissantes! Alors merci encore XD!

Chamine

De Chamine [1437 Pts], le 08 Avril 2013 à 18h32

Et je comprends parfaitement le problème des spoilers hors on peut aussi faire des analyses sans pour autant spoiler je ne vois pas vraiment le problème. 

Ensuite je trouve ça facile de se défendre en argumentant écrire pour faire découvrir la série. La plupart des commentaires que je vois ici semblent déjà avoir lu la série et l'apprécier alors pourquoi ne pas avoir essayé d'aller plus loin? Ce n'est pas parce que des lecteurs pourraient de pas avoir lu la série qu'ils n'en seraient pas intéressés si le sujet avait été plus profond. C'est tout aussi insultant de penser que des lecteurs n'ayant pas lu la série ne seraient pas capables de comprendre une analyse poussée et je trouve ça bien dommage.

Et c'est là ou je me demande si on a lu la même série à vrai dire, on voit clairement dans les attitudes, pensées, réactions de Kyoko que jamais elle ne se pose comme une rivale potentielle de Ren et ce même si une fois elle l'a pensé.

Ca m'embête de revenir sur les idols mais je ne trouve pas que vous l'ayez évoqué quand vous avez fait un paragraphe entier dessus c'est tout. 

titali: Je trouve ça dommage que tu considères cela comme un litige, pour moi ça ne l'est pas. J'ai été acerbe, je le reconnais. Mais ce n'est pas pour autant que je penserais que c'était un bon dossier. Je ne dis pas non plus que vos dossiers précédents sont mauvais, car je ne les ai pas lu. Je parle uniquement de celui là et si mon interprétation n'est clairement pas une vérité universelle malgré le ton que je pouvais en donner, je pense tout de même avoir posé le doigt sur des problèmes qui auraient pu améliorer la qualité du dossier. 

titali

De titali [2269 Pts], le 08 Avril 2013 à 18h03

Je rejoins totalement l'avis de Shaedhen. La seule chose qui te déplaît véritablement dans ce dossier, c'est l'angle de vue que l'on a pris par rapport à la série. On allait pas rentrer dans une analyse poussée pour le seul plaisir des fans déjà accomplis de l'oeuvre et laisser des lecteurs potentiels bêtes comme des singes car ne comprenant pas notre analyse profonde...

De plus, tous les thèmes qui sont abordés par nous se voulaient comme un tour d'horizon de ce qui composaient globalement le titre, sans pour autant rentrer dans les spoils de toute l'oeuvre.

Donc désolée de ne pas avoir fait un dossier fondé sur tes fantasmes et tes interprétations... Désolée aussi de me montrer acerbe mais quand on en vient à traiter tout un travail de longue haleine de bon à jeter pour les ortilles, cela passe quelque peu mal. Surtout si en plus le travail a été mis en place par deux personnes qui ont déjà à leurs actifs bien des dossiers et donc de l'expérience (et jusqu'ici aucun reproche)! Sur ce, ce sera ma dernière réponse à ce litige!;)

Shaedhen

De Shaedhen [777 Pts], le 08 Avril 2013 à 14h02

Lors de la mise en place du dossier, il y avait une volonté de notre part de présenter la série avec un minimum de spoil. Du coup, forcément, il n'y a pas eu l'analyse à laquelle tu pouvais t'attendre. Est-ce que pour autant la présentation qui a été faite de la série est fade ? Je ne pense pas, surtout dans notre optique de la faire découvrir à des personnes qui la connaisse peu ou pas. 

 

Mis à part ça, ce qui t'as visiblement choqué et qu'on retrouve un peu partout dans ton commentaire, c'est le fait que l'on considère que Kyoko considère Ren comme son rival. Bon, je n'ai pas la série sous la main, je ne peux pas affirmer que ça a été dit dans la série, mais dans mon esprit c'était quand même une évidence depuis le départ. Après, chacun est libre d'interpréter ça comme il veut (mais bon, affirmer qu'il n'est pas son rival n'est pas mieux je pense et ne démonte en tout cas pas d'une grande ouverture d'esprit). 


Concernant les 2 fautes que tu cites, ok, erreur de notre part, enfin c'est rien de bien méchant non plus. Surtout pour les elfes, que l'on peut très logiquement assimiler aux fées.


Mais je ne vois pas l’intérêt de la partie « Jeunesse perdue ».

Vu le passé des différents personnages, j'ai un peu de mal à comprendre en quoi ce n'est pas intéressant, surtout pour toi qui veut de l'analyse véritable.


Le showbiz est important, c’est le thème central, c’est autour de quoi la vie des personnages gravite, c’est un fait. Mais je suis resté complètement bête devant le paragraphe sur les idols parce que… Je n’ai vraiment mais vraiment pas comprit ce qu’il faisait là.

Parce que c'est un des éléments importants du monde du showbiz au Japon, tout simplement. Et on l'a évoqué de manière brève, c'est pas comme si tout le dossier reposait là dessus.


A part pour faire des mots pour des mots je ne vois pas. Encore moins le rapport avec la section Love Me, qui soit dit en passant n’est expliqué que de façon très légère.

J'aime pousser à la réflexion, sans avoir à faire de grands dessins quand c'est pas nécessaire.

 

que quelques lignes une fois de fois en surface sur le sujet

What ? Comme quoi, les fautes de frappes arrivent à tout le monde ! =)


 Elle a besoin d’aide et ne peut pas tout faire toute seule.  De plus j’ai l’impression que ton « analyse » n’avance que jusqu’à la fin de l’arc Dark Moon. 

Car le principe reste le même par après, même si les rôles qu'endossent Kyoko changent, c'est d'ailleurs ce qui est évoqué plus loin au niveau du côté répétitif du titre.


Tu as fait long mais j’ai l’impression que tu n’arrives pas à toucher les thèmes et les choses qu’il aurait fallu être dite et tu préfères des passages qui au final ne reflètent pas vraiment ce qu’est le manga.

Ils ne reflètent peut-être pas ce qu'est le manga de ton point de vue. Libre à chacun d'avoir un avis différent là dessus.


Quant aux critiques…

L'argumentation que tu fais là est purement subjective.


Je ne vais pas mettre de note car ça n’aurait pas de sens de mettre un 0 un 5 ou un 10, je n’ai pas la prétention de noter ce dossier

Pourtant c'est ce que tu fais déjà en considérant une notation entre 0 et 10.


Je suis sûre aurait pu gagner en qualité si les thèmes avaient été mieux choisis et mieux traités sans chercher à tout prix à vouloir faire long. 

On a pas voulu faire long pour faire long, ce qui a été écrit est venu spontanément et c'es tout.


La quantité ne signifie clairement pas qualité.

Ben écoute, quand je vois ton pavé, hein.


Enfin voila, beaucoup de frustration pour pas grand chose je trouve. Donner son avis c'est bien, le considérer comme vérité universelle c'est autre chose.

Chamine

De Chamine [1437 Pts], le 08 Avril 2013 à 07h27

Quand j’ai vu un dossier Skip Beat j’avoue avoir été très enthousiaste ! C’est également une de mes séries préférées, un shojo atypique comme il faudrait y en avoir plus et du coup je me suis attelée à la lecture du dossier. Et malheureusement j’ai été très déçue et même parfois assez choquée de constater une telle différence d’interprétation entre nous. Ma critique n’est pas gratuite et j’ai bien l’intention d’expliquer pourquoi je trouve que ce dossier certes long, ne rend pas hommage à cette série comme il le faudrait. La quantité ne signifie clairement pas qualité.

 

La première chose qui m’a fait plus que tiquer, c’est la présentation du personnage de Ren. Rival et mentor. Et déjà avec cette affirmation nous ne sommes pas d’accord. Kyoko n’a jamais à aucun moment considéré Ren comme si rival. Ren est totalement inatteignable pour elle, il lui fait peur et elle s’écrase véritablement devant lui. Elle sait qu’ils ne jouent pas dans la même cours et n’imagine pas un seul instant lui arriver à la cheville. Même quand Ren est exécrable et que Kyoko en est folle (de colère) elle ne se pose jamais comme une rivale dans leur métier.  Quant au statut de mentor, c’est vraiment plus que discutable, ce n’est pas parce que Ren se propose de l’aider à travailler ses rôles qu’il en devient son mentor attitré. Ren est surtout attiré de plus en plus par Kyoko alors que Kyoko se trouve toujours paralysée de trouille dès qu’elle s’approche de Ren, du moins dans une bonne partie des « premiers » tomes. Elle ne le considère pas comme un mentor non plus, leur relation est bien plus complexe et je me verrais mal la résumer à ces deux mots.

Quant à la description de Sho, j’y reviendrais plus tard car je trouve également que c’est assez léger, même si je sais que la présentation des personnages n’est pas fait pour s’étendre, il y a toujours des explications que l’on peut donner sans cantonner le personnage à « Ennemi Juré »

 

Le premier paragraphe ne partait pas trop mal en soi, c’est une présentation du début de la série, ce qui s’est passé. Néanmoins quelques fautes m’ont encore dérangées, et même si c’est de l’inattention tu as quand même dit que la pierre « Corn » appartenait au prince des Elfes. Des Elfes ? C’est le prince des fées et son souvenir tourne tout autour de ces fées lui parlant quand elle était petit et je trouve ça dommage que dès le début du dossier un faute comme celle-ci se soit glissée.

 

Le titre de la deuxième partie pouvait m’interpeler, c’est un shojo alors c’est évident qu’à un moment ou un autre il faudra parler de sentiments. Je ne m’attendais pas à découvrir ça sous ce titre néanmoins. Pour commencer un nouvelle faute qui en plus d’être mise en majuscule porte sur un des personnages important à savoir Shotaro et non Shoraro ce qui est déjà dommage et fait encore tiquer quand on connait bien la série mais passons. Je n’ai pas grand-chose à redire sur le premier paragraphe hormis une fois de plus ce qui est à mon sens un vrai problème de compréhension sur la relation Ren Kyoko. Même en voyant Ren agir de la sorte vis-à-vis d’elle, il n’est ni son ennemi, ni son rival, jamais et je trouve ça vraiment dommage une fois de plus de réduire cette relation qui est une des plus intéressantes de la série à un simple rapport de rivalité. Du moins au début de ce dossier.

Mais je ne vois pas l’intérêt de la partie « Jeunesse perdue » Surtout avec le paragraphe sur Maria qui n’est pas vraiment représentatif de la série car cette situation se passe dans le volume 4 ou 5 si je me souviens bien et se règle également dans le même volume. Les passés un peu tortueux ayant déjà été évoqué plus haut je ne vois pas l’intérêt d’en rajouter ainsi sur une partie qui au final n’est pas un thème principal car comme je l’ai déjà dit, tout cela se règle en un volume. Si la série faisait 5 volumes ça aurait été pertinent, sur une série qui en fait 30, ça l’est un peu moins.

Quant au dernier paragraphe, une fois de plus, je le trouve léger et pas vraiment fouillé, la relation de Kyoko avec Miss c’est un scandale c’est pas vraiment aussi facile que ça et c’est aussi ça qui est des plus intéressants. Skip Beat a indéniablement des moments comiques mais le paragraphe n’explique pas vraiment en quoi et pourquoi et je trouve ça dommage.

 

Aussi avec un titre de partie sur les sentiments, je m’attendais à autre chose qu’une simple explication sur les passés sombres des personnages et ensuite contrebalancé plus ou moins habilement par un paragraphe sur le rire.

 

Le showbiz est important, c’est le thème central, c’est autour de quoi la vie des personnages gravite, c’est un fait. Mais je suis resté complètement bête devant le paragraphe sur les idols parce que… Je n’ai vraiment mais vraiment pas comprit ce qu’il faisait là. Autant les autres paragraphes s’expliquent car ils parlent plus ou moins d’aspects de la série mais les idols… Non vraiment je ne vois pas. A part pour faire des mots pour des mots je ne vois pas. Encore moins le rapport avec la section Love Me, qui soit dit en passant n’est expliqué que de façon très légère. Vient ensuite des lignes et encore des lignes sur comment la LME fonctionne, ce qui n’est pas pertinent à expliquer car le manga n’a pas ça pour thème principale. Même le paragraphe sur le showbiz gangrené de l’intérieur n’est pas travaillé, pas poussé, on ne parle même pas du groupe ennemi de Sho qui lui aussi illustre très bien cette tendance, ni même des déboires que Kyoko aura face aux actrices plus douées qu’elles et parfois plus bien plus borné dans ses différents tournages. Rien n’est expliqué et rien ne va au bout des choses, on reste en surface dans l’analyse et on dirait que ce dossier fait plus un état des lieux qu’un vrai analyse pertinente du manga ce qui me désole vraiment compte tenu de l’amour que je porte à la série.

Ainsi se termine cette partie sur le showbiz, qui à mon sens n’explique rien et ne reflète absolument pas ce qui se passe dans la série, car un des majeurs thèmes est évidemment le jeu d’actrice de Kyoko, dont tu n’as pour le moment pas une seule fois mentionnée et je pense sincèrement que la partie showbiz était clairement l’endroit pour le faire.

 

Rendez vous avec le destin. Voilà un titre mystérieux et regardons ce qu’il en est.

Ainsi la section Love me est cette fois mise en avant. Mais la question est, pourquoi ne pas l’avoir fait plus tôt alors que tu as écrit un paragraphe sur les idols juste pour amener la section Love me. Pourquoi ne pas avoir tout simplement continué sur ta lancée à ce moment là au lieu de choisir d’en reparler plus loin ? Mais le contraire est vrai aussi. Pourquoi l’avoir cité plutôt alors que tu aurais pu juste en parler à cet endroit ? Même si je ne comprends une fois de plus pas ce que le sujet vient faire là, comme s’il tombait au milieu de la soupe.

 

Et c’est là que par miracle enfin le sujet de Kyoko et de son jeu d’actrice est enfin évoqué. Et je ne pourrais pas changer ce jeu là, car même sans faire de spoiler majeur, je pense sincèrement que ce thème aurait mérité autre chose que quelques lignes une fois de fois en surface sur le sujet. Le travail sur le personnage, le fait qu’elle se trompe, qu’elle cherche, qu’elle recommence, qu’elle doive s’adapter pour finalement arriver à une interprétation majeure, mais qui pourtant mériterait d’être encore amélioré, car si elle est douée, elle n’est pas une surdouée. Elle a besoin d’aide et ne peut pas tout faire toute seule.  De plus j’ai l’impression que ton « analyse » n’avance que jusqu’à la fin de l’arc Dark Moon. Pourtant des tonnes de choses arrivent après qui auraient pu être cité et expliqué à nouveau, les autres rôles qu’elle joue, comme ce tome magnifique ou elle joue le fils de cette acteur célèbre. Encore une fois j’ai une sensation de vide et d’inachevé en lisant ce dossier. Et j’ai vraiment été « facepalm » en lisant que Ren est devenu officiellement son rival. Je ne sais pas  comment dire autrement que c’est faux. C’est tout simplement faux, ce n’est même pas une erreur de lecture c’est faux Ren n’est pas et ne sera jamais le rival de Kyoko.

Kanaé apparait à nouveau dans le dossier pour se voir attribuer deux phrases montrant ce qu’elle sait faire. Et c’est tout. Et ça me désole car même si elle n’est pas un personnage principal, elle est devenu un des piliers de Kyoko et à aucun moment tu ne parles de leur amitié tordu mais pourtant assez touchante. Tu as fait long mais j’ai l’impression que tu n’arrives pas à toucher les thèmes et les choses qu’il aurait fallu être dite et tu préfères des passages qui au final ne reflètent pas vraiment ce qu’est le manga.

 

La partie shojo atypique me plait de titre, car c’était évidemment un thème à aborder. Dommage qu’une fois de plus c’est traité de façon maladroite. La première partie est relativement ok à mes yeux, mais je ne saisis pas le reproche de l’évolution des sentiments. Même si ça peut paraitre frustrant, c’est également pour ça que c’est un shojo atypique, car Kyoko ne se demande pas pendant trois tomes si elle doit prendre la main de son chéri ou pas, non. Elle avance et ne croit pas en l’amour et ça c’est une marque de fabrique originale c’est pour ça que c’est aussi si bon à lire. Quant aux critiques… Si tu as voulu faire thèse antithèse synthèse soit, c’est ton choix, mais je ne pense pas que cantonner les critiques à un manque de renouvellement soit suffisant car Kyoko a eu pour le moment deux rôles phares avec évidemment un processus plus ou moins similaires, mais toutes ses autres aventures ne sont pas les mêmes et feront avancer le scénario à chaque fois. Idem pour la partie « beaux gosses ». Pour cette fois on est bien dans un shojo et il est bien rare de trouver un shojo sans hommes sexy c’est aussi ça qui fait l’âme d’un shojo et en ce qui concerne Skip Beat je ne vais pas m’en plaindre car pour une fois, ce n’est pas l’adolescent parfait ou tortueux ou pervers du collège/lycée mais bien un homme adulte ce qui change radicalement la donne.

 

Ainsi ce termine ce dossier qui m’a réellement déçu. Tu ne parles même pas de Sho qui se révèle au fil des derniers tomes loin d’être uniquement l’ennemi juré, et qui a aussi une vraie psychologie au lieu d’être juste totalement le personnage détestable. Idem pour Ren que tu cantonnes au rival ou à l’acteur excellent torturé. Quand à Kyoko, il manque une vraie analyse sur sa façon de jouer. Alors qu’à côté de ça tu remplis les lignes en parlant de sujets qu’on peut trouver facilement en lisant. Je m’attendais à une analyse complète et intéressante et je me retrouve avec des pavés fades, contenant des fautes et jamais rien qui ne va vraiment en profondeur.

Je ne vais pas mettre de note car ça n’aurait pas de sens de mettre un 0 un 5 ou un 10, je n’ai pas la prétention de noter ce dossier car je ne l’ai pas du tout apprécié. Je n’ai pas décortiqué ce dossier pour être blessante mais bel et bien pour donner un avis exprimant mon désarrois face un dossier qui je suis sûre aurait pu gagner en qualité si les thèmes avaient été mieux choisis et mieux traités sans chercher à tout prix à vouloir faire long. 

Yuminekoi

De Yuminekoi [2120 Pts], le 07 Avril 2013 à 00h08

19/20

Très bon dossier, même si j'ai arrêté la série. C'est un manga intéressant, qui vaut le coup d'oeil, surtout pour l'héroine avec ces esprits(extremement dangereux), et qui évolue, sauf avec ces sentiments (complément à côté de la plaque, mais cela ce justif dès le 1er volume).

  Sans oublier le directeur, personnage que j'adore.

mangashojo

De mangashojo [2563 Pts], le 06 Avril 2013 à 16h26

20/20

merci pour ce dossier j'adore skip beat  enfin le dossier sur manganews .

nekochi

De nekochi [3580 Pts], le 06 Avril 2013 à 14h48

19/20

Merci beaucoup pour ce dossier =)

Skip Beat est et restera pour longtemps un incontournable en matière de shojo ♥

kyllie

De kyllie [176 Pts], le 06 Avril 2013 à 12h33

20/20

Ah quelle idiote j'ai oubliée de noter >< ! 

Super le dossier ! :D

kyllie

De kyllie [176 Pts], le 06 Avril 2013 à 12h32

Merci pour ce dossier fantastique ! :D Bien que je connaissais la mangaka depuis que j'ai connu skip beat ! ça à été un coup de foudre ce manga ! Je ne m'en lasserais pas Haha

Merci :)

Linoa

De Linoa [153 Pts], le 06 Avril 2013 à 00h22

20/20

Dossier très intéressant bien que je dois avouer avoir connu l'auteur NAKAMURA Yoshiki bien avant de connaître Skip Beat! :D 

Tokyo Crazy Paradise est une excellente histoire et c'est cette oeuvre-là qui m'a poussé à commencer Skip Beat! à sa sortie en France ;) Et bien entendu, je n'ai pu qu'adorer ce travail :)

Skip Beat! est mon Shojo préféré et d'avoir réussi à lire le 32ème tome ne me pousse qu'à en vouloir plus :D 

Elle a réussi à tirer le meilleur de ses oeuvres précédentes et à les mixer dans cette superbe série ;)

Je suis une fan de tout son travail et espère en voir beaucoup d'autres encore :D  

Merci encore pour ce très bon dossier, ce fut un plaisir de le lire ;)

Crocomo

De Crocomo [677 Pts], le 05 Avril 2013 à 22h07

20/20

J'arrive comme un cheveu sur la soupe au potiron avec quelques croûtons, pour mettre une note (bonne bien sûr) à ce très joli dossier ! (j'ai déjà commencé à relire cette oeuvre, et je viens de me rendre compte que j'étais à côté de la plaque à l'époque ... Dire que j'avais arrêté la série juste à cause de ces visages de mec en triangle, c'était vraiment puéril -_-)

Angelus

De Angelus [1305 Pts], le 05 Avril 2013 à 21h59

20/20

Moi j,'adore trop l'histoire et je suis toujours impatiente de savoir la suite ^^ Kyoko me fait trop rire et Ren me fait trop craquer quand à Sho, mais qu'elle imbécile franchement, j'ai envie de l'étriper. Mais bon après autant de tomes parus je ne me lace pas de cette serie que j'adore depuis que je l'ai commencé.

Kyoko

De Kyoko [556 Pts], le 05 Avril 2013 à 20h29

19/20

Merci pour ce dossier!!

Décidément je ne sais pas ce que je ferais sans cette magnifique série. Elle est pour moi bien plus qu'un simple coup de coeur.

Lasdy

De Lasdy [1097 Pts], le 05 Avril 2013 à 20h09

19/20

Merci beaucoup pour ce dossier!

Moi qui avait mis l'anime en parenthèses, je vais le finir puis m'attaquer ensuite au manga dès que possible!^^

akiko

De akiko [5480 Pts], le 05 Avril 2013 à 16h30

Un tres gros dossier pour cette magnifique série!

C'est sur plus on en a plus on en veut!!! Toujours pas lassé non plus, d'ailleurs c'est assez rare =) 

Mais quand même j'aimerai bien etre une petite sourie pour savoir si l'auteure a dans sa tete une (potentiel) fin?!

Museumanga

De Museumanga [5964 Pts], le 05 Avril 2013 à 13h17

18/20

Voilà le dossier sur Skip Beat! <

Axe77

De Axe77, le 05 Avril 2013 à 11h40

Skip Beat! est de loin l'une de mes séries préférées. Il faut reconnaître que l'auteur a un sacré talent, car au bout de 26 tomes, je ne suis toujours pas lassée, au contraire, j'en redemande encore et toujours!

Une bonne dose d'humour et une histoire d'amour (dont seule l'héroine n'est pas au courant) je dis OUIIIIII

Azu

De Azu, le 05 Avril 2013 à 11h33

Merci pour ce magnifique dossier.

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