Skip Beat ! - Actualité manga
Dossier manga - Skip Beat !
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19.50/20

Et ainsi s'ouvrit la boîte...

 
 
« Cette boîte, créée par Dieu il y a très longtemps, est bardée de serrures, toutes fermées à double tour de sorte que son possesseur ne puisse jamais l’ouvrir. Dieu la confie ainsi scellée à chaque enfant à naître. Jusqu’au jour où elle s’ouvrira. »

Dès le départ, l'auteure nous prévient que le personnage principal n’est ni une héroïne justicière ni du genre petite fille douce. Ce côté doux peut apparaître comme étant un trait de caractère indispensable à toute héroïne de manga pour filles, mais, pour un personnage principal, Yoshiki Nakamura trouvait ça plutôt banal, en fait. De plus, elle se sentait obligée de créer une héroïne qui soit un genre de bête curieuse, car si elle était restée dans un schéma trop classique, cela se serait rapidement essoufflé et ça n'aurait finalement pas plu aux lecteurs. C’est en tout cas son opinion et, à la vue de sa création, on peut difficilement lui donner tort !

Tout commence par la rencontre d'une jeune fille, fortement naïve, ayant suivi ce qu'elle pensait être le prince charmant. Pourtant, un jour, elle a dû se confronter à la dure réalité.Ce qu'elle prenait pour son prince n'était autre qu'une personne qui n'avait cessé d'abuser de sa gentillesse et de sa naïveté pour parvenir à ses fins, à savoir atteindre le sommet du showbiz. On aurait pu penser que cette malheureuse fille qui vient de se faire avoir allait fondre en larmes, mais c'est très mal connaître la boîte fermée à double tour au fin fond de l'inconscient de Kyoko. En effet, c'en est trop pour les serrures de cette dernière, ouvertes de force par un petit diablotin dénommé Sho. Et ainsi s'ouvrit la boîte...
L'aura maléfique qu’elle contient est emplie de haine et les mini-kyoko spectrales qui la composent sont libérées de leur carcan et sont prêtes à déferler sur le monde et à se venger implacablement de ceux qui oseraient encore briser le cœur de leur maîtresse. De son côté, leur propriétaire s'occupera d'entrer dans le showbiz pour voler la vedette à son désormais ennemi juré. Paradoxalement, la haine de Kyoko est extériorisée de manière tellement fougueuse et particulière que la plupart des gens pensent de prime abord que Kyoko est une fan folle et obsessionnelle de Sho et de Ren comme lorsqu'elle construit ses figurines faites main de nos deux apollons qui sont en réalité des poupées vaudou (ceci afin de mieux leur jeter diverses malédictions). Malgré cette mauvaise interprétation des gens à son égard, son aura peut lui servir entre autres d'arme pour intimider les personnes qui lui font obstacle et de lui donner une énergie supplémentaire décuplant ainsi son obstination et sa détermination. Pour citer un exemple concret, M. Takenori Sawara, responsable de la section variétés de l’agence LME production, 44 ans, et depuis quelque temps harcelé et hanté jour et nuit par une Kyoko accompagnée de ses alliés les spectres et bien décidé à faire son entrée dans le show business !

On pourrait croire après cette transformation radicale que Kyoko a tout perdu de sa gentillesse et de sa naïveté, mais ce serait encore une fois mal la connaître. En effet, elle n'a pu malgré tout se détacher de sa passion invétérée pour les contes féeriques et de princesses. Comme elle le dit si bien : « De toutes, c’est celle que j’ai toujours préférée. De toutes, c’est celle qui m’a toujours fait le plus envie. Celle d’une jeune fille misérable, vêtue de haillons, qui ne pouvait que contempler de loin les bals fabuleux. Mais un jour, la marraine-fée apparaissait et la rendait si belle qu’elle éblouissait tout le monde sur son passage. L’histoire de Cendrillon. Tant de fois j’ai voulu être à sa place. Tant de fois j’en ai rêvé ». En somme, elle rêve toujours de devenir une sorte de Cendrillon un jour (complètement frappée la fille...). Elle ne peut non plus s'empêcher encore et toujours de se pavaner de désir devant les magasins vendant des produits de beauté hors de prix. Elle possède aussi une pierre aux reflets bleus et violets qu'elle nomme "Corn" et qui aspire son chagrin et sa langueur quand elle ne peut plus les porter toute seule, et ce, depuis son enfance. Une pierre offerte par l'éminent prince des elfes (en tout cas c'est ce qu'elle pense dur comme fer, fidèle à elle-même...).
       
 
 
 
 

Au-delà de la comédie, des sentiments bien réels

 
 
Skip Beat accompagnée de son héroïne forment un tout extrêmement dépotant et hilarant, mais ce serait oublier l'un des fondements de l'œuvre qui réside dans le vécu malheureux et conséquent des différents personnages qui peuplent l'univers du showbiz, et notamment certains protagonistes principaux. Dans en premier temps, nous nous occuperons d'explorer le tempérament tragique de la série d'abord par rapport aux événements du présent et ensuite par l'intermédiaire du passé de chacun. Sans oublier pour autant l'aspect positif que dégage le titre, ce que l'on verra par la suite.


Le chagrin au creux des mains


La première chose que ferait Kyoko si elle était présente serait de s'écrier : "Le garçon que depuis mon enfance j’aimais sans qu’il m’aime en retour m’a jetée comme on jette un mouchoir usagé. SHORAROOOOO… JE NE TE LE PARDONNERAI JAMAIS !!! Patience… Le jour viendra où tu te prosterneras devant moi en pleurant toutes les larmes de ton corps". On pourrait dès lors en déduire que Skip Beat! s'avère être un manga ayant pour thème la vengeance. Pourtant, ce serait oublier que si cette thématique fait partie intégrante de l'œuvre c'est de prime abord à cause d'un vécu douloureux de certains personnages.  Un chagrin tout simplement au creux de leurs mains, des mains qui essaient pourtant de se refermer pour éviter qu'autrui ne découvre leurs plaies béantes.  Plaies qui peuvent les fragiliser à tout moment de leur existence. Sans vouloir l'admettre, Kyoko est l'un des premiers protagonistes sur la liste. Malgré son chagrin, elle a su se remettre sur pied et se battre contre un destin qui ne l'a jusqu'ici pas gâté, mais si elle a pu se relever c'est aussi et surtout par le biais d'une volonté de vengeance tenace et bouillonnante à l'encontre de Sho. Le problème étant qu'une telle motivation risque en définitive de ne pas la mener bien loin. Ren le lui fait d'ailleurs remarquer de manière claire: "La soif de vengeance… Combien de temps cette motivation te permettra-t-elle de survivre ?". Qui plus est, en se focalisant presque exclusivement là-dessus, Kyoko a tendance à passer à côté de ce qui est peut-être l'essentiel, à savoir le fait de réapprendre à se faire aimer et, surtout, à aimer en retour. Cependant notre héroïne en est bien consciente malgré le fait qu’elle rechigne à admettre l'évidence. Toute personne ne peut se passer d'une manière ou d'une autre d'un peu d'amour dans son existence. Cette carence se répercutera d’ailleurs sur le début de sa carrière en tant qu'actrice à LME.
Même le président de LME lui fera remarquer que pour pouvoir percer dans le milieu du showbiz, toute célébrité digne de ce nom se doit de posséder la chose la plus indispensable qui soit : l'amour, tout simplement. Toutefois, si vous demandez au personnage principal ce qui lui vient à l'esprit quand elle entend ce mot, il répondrait spontanément que c'est un prélude à la chute et à la mort! Un banal constat qui ne peut promettre qu'un échec cuisant vis-à-vis de sa carrière. Mais seul l'avenir pourra nous le dire...

Au début, le fait que la vengeance soit la seule motivation de Kyoko de rentrer dans le show business fera en sorte que Ren n’appréciera pas trop notre héroïne. Effectivement, le premier contact entre Kyoko et le mec le plus populaire de l'agence LME ne sera pas dès plus plaisants, car Ren estime qu'une personne qui n'est pas le moins du monde passionnée par son travail ne mérite pas sa place dans le milieu des acteurs. De son côté, Kyoko,en sentant une telle hostilité de la part de quelqu'un qu'elle ne connaît pas, ne lui sera guère des plus agréables. C'est à partir de ce moment-là qu'elle sera amenée à considérer le beau gosse comme un ennemi et plus tard un rival. Bien plus tard, Ren s'apercevra malgré tout que derrière cette carapace remplie de rancœur se cache une jeune fille meurtrie, mais qui n'en reste pas moins humaine et gentille. Pourtant notre chère célébrité n'est pas non plus épargnée par un vécu mystérieux, certes, mais qu'on devine tout aussi torturé et triste. En entamant sa carrière d'acteur sur le sol japonais, celui-ci a décidé de faire table rase du passé et de rester hermétique à tout contact avec autrui. Un renfermement sur lui-même qui pourra parfois se traduire par quelques situations cocasses, mais qui ne peut que confirmer l'hypothèse mise en avant. Cette promesse de distance par rapport aux autres sera d'autant plus difficile à tenir à l'égard de Kyoko dans la mesure où elle ne semble pas lui être totalement étrangère...

De son côté, sous son aspect infect et méprisable, Sho, qui est toujours détestable, n'aura aucun remords à jeter notre héroïne tel un mouchoir usagé comme cette dernière le dit si bien. Toujours confiant, le chanteur désormais célèbre n'aura aucune peine de poursuivre sans crainte son chemin vers la gloire. Avec une Kyoko tapie dans l'ombre, Sho ne se rend pas compte des conséquences à venir qui lui tomberont dessus sans crier gare ; un véritable fauve est prêt à renaître de ses cendres pour lui faire comprendre qu'il a fait la plus grande bêtise de sa vie. Et le jour où il sera confronté à notre héroïne transformée et implacable, celui-ci s'apercevra pour la première fois de sa vie qu'il a fait naître une réelle menace sous la forme d'une femme fatale. Femme qui, ironiquement, ne se rendra pas compte du terrifiant pouvoir d'attraction qu'elle exercera sur la gent masculine. Et ce sont, en outre, les hommes les plus inaccessibles qui tomberont de manière inattendue dans sa toile.
 
 

Jeunesse perdue

 
Comme on l’a susmentionné brièvement, la désillusion en ce qui concerne Sho est la goutte d'eau qui a fait déborder un vase déjà bien rempli. Vase qui reflète le passé peu reluisant de notre héroïne. Un passé que notre fille aux spectres aimeraient ne plus jamais avoir à mentionner, surtout lorsqu'il s'agit de revenir sur l'affaire de sa mère ; une mère froide qui ne daignait considérer l'existence de sa fille que si elle réussissait toutes ses interrogations scolaires à la perfection jusqu'à ce que celle-ci ne considère plus l'existence de la chair de sa chair en l'abandonnant définitivement. L'indifférence maternelle transformée en définitive en abandon pur et simple sera la première blessure conséquente dans le cœur de Kyoko. Une blessure qui sera la première d'une longue liste. Et les dernières en date, nous les connaissons déjà sous la forme d'un diablotin dénommé Sho. Le passé est donc la clé de la mutation et de la croissance de tout un chacun, que ce soit Ren et son passé mystérieux, Mademoiselle c'est-un-scandale ou encore la petite Maria.
Maria qui n'est autre que la petite fille du président de LME et qui, même pour son jeune âge, a déjà un beau vécu. Fille de parents qui doivent énormément voyager pour leur travail, Maria ne s'est pourtant jamais plainte et agit encore moins en tant que gamine capricieuse en appelant après ses géniteurs. Au contraire, cette dernière n'a jamais fait un seul caprice. Pourtant elle reste une petite fille qui a besoin de ressentir une fois dans sa vie la présence de ses parents le jour de son anniversaire, mais alors qu'elle fait cette demande égoïste pour la première fois de sa vie survient le drame... Tous les adultes lui répéteront qu'elle n'est en rien fautive de la mort accidentelle de sa mère, mais face à la douleur et à la distance de son père, Maria finira par croire le contraire et ira jusqu'à ne plus croire ce que lui disent les adultes. Il n'y a donc pas d'âge pour souffrir des aléas parfois terribles de la vie et de perdre par la même occasion une partie de cette jeunesse innocente. Car devant ces événements, il faut grandir prématurément et déjà se forger un caractère adulte. On se retrouve donc à un âge plus avancé qu'on ne le devrait avec les contraintes qui vont de pair, mais sans pour autant forcément bénéficier des avantages qu'il devrait procurer dans un monde d'adultes qui se veut bien souvent cruel. Même pour Ren, comme on l’a déjà dit, on suppose que par son attitude réservée vis-à-vis de son passé, il laisse malgré tout transparaître une jeunesse tout aussi tumultueuse.
 
 

Un zeste d'humour et d'amour


Après tout ce charabia tragicomique, il ne faut pas oublier que Skip Beat, comme le dit si bien son nom, se veut une œuvre avant tout pêchue et non dénuée d'une pointe d'humour. Kyoko en elle-même et de par ses réactions souvent excessives par rapport à des situations données fera mourir de rire le lecteur. Sans spoiler la série, l'un des premiers exemples, que l'on a brièvement évoqué auparavant, est harcèlement de Takenori Sawara par les Kyoko spectrales dans le but de faire rentrer leur maîtresse dans la section variété de LME. A côté de l'originalité de notre héroïne nationale, son rapport avec Ren est tout aussi explosif que drôle. On se souviendra notamment que dans la rage de Kyoko, provoquée par les sarcasmes envahissants du populaire gentleman, celle-ci ne pourra répondre à son interlocuteur que par un doigt d'honneur bien placé en fin de discussion. On sait que par après notre personnage principal paiera, comme d'habitude, son audace à l'encontre de Ren Tsuruga. Un dernier exemple est l'entrée de Mlle c'est-un-scandale dans la section Love Me et le fait qu'elle doive subir la malédiction de la combinaison rose, ce qui se fera au grand bonheur de Kyoko qui ne se privera pas de la taquiner à ce sujet. Mais, ce que l'on retiendra surtout de ce titre, c'est qu'au-delà des malheurs toute personne peut trouver du réconfort ou un soutien auprès d'individus proches. En effet, notre malheureuse Kyoko trouvera un appui auprès de Ren ou encore du président Takarada et une première amitié forte avec Mlle c'est-un-scandale. La vie n'est donc pas faite que de tristes événements. Au contraire, elle est faite de joies, de peines, de moments intenses et uniques qui ne manquent jamais de faire s’affoler les battements de notre cœur !
  
  

SKIP BEAT! © 2002 by Yoshiki Nakamura / HAKUSENSHA, INC.

Commentaires

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Nara

De Nara [0 Pts], le 21 Janvier 2015 à 23h13

J'ai découverte l'anime de Skip beat il y à 2 ans ci je ne me trompe pas .... J'ai été très surprise de constater que cette anime me plaisient bien , je me suis vite plonger dedans et j'ai adoré ,j'ai été très déçue de constater que il n'y avais pas de suite à l'anime ..... Et comme je ne suis pas fane des livre manga , je n'ai pas trop chercher à savoir si l'histoire continuai . Bien évidemment j'ai un peu chercher pour savoir si une saison deux ou une suite de l'épisode 25 ,allais arrivé ou une date de sortie probable ... comme je ne trouvais rien . J'ai arreter de chercher! Et voila qu'il y à une semaine  en allant chercher une bd pour un amis ,je suis tomber par hazard sur S-b ,et pas curiosité j'ai demander conseil à la vendeuse qui ma vendu le tome qui suis l'anime , à mon grand éttonement j'en suis devenue fane .... J'ai continuer ma lecture en enchainent assez vite les tome ,je les ai bien lue deux fois en ligne !Hier j'ai été acheter tout les tome et depuis hier je relis tout depuis le début ...... J'aodre ,j'aime ,j'en suis gaga ...! Merci pour ce dossier ,j'aime beaucoup ,bien que je le trouve un peu incomplet concernant la complexité des sentiment de Kyoko :) .

erotaku

De erotaku, le 23 Septembre 2013 à 20h14

que dire de cette serie a part que je me suis bien marai sur certain truc j'adore tout simplement

xmidorix

De xmidorix [399 Pts], le 09 Juin 2013 à 21h33

un trés bon manga, découvert grace a un ami qui lis aussi des shojo et celui là est vraiment le pilier de sa collection.

Ikramz

De Ikramz [252 Pts], le 19 Mai 2013 à 19h00

Merci ^^!

l'histoire est sympas...

CÔME Hélène

De CÔME Hélène, le 16 Avril 2013 à 17h06

20/20

Parmi toutes les séries de manga que j'ai (et j'en ais beaucoup ^^ ), c'est bien Skip Beat ma préférée <3

Ce dossier est très complet merci !

Shaedhen

De Shaedhen [777 Pts], le 09 Avril 2013 à 17h57

Merci à vous !

amu

De amu [226 Pts], le 09 Avril 2013 à 08h34

merci pour le super dossier en plus j'adore la série.

Kuris

De Kuris [972 Pts], le 08 Avril 2013 à 22h08

20/20

Merci pour ce superbe dossier! J'ai les 22 premiers tomes de skip beat (si ce n'est plus!) sous mon lit et je voulais justement les ressortir pour les relire depuis la récente reprise de la suite de cette série en france! Grâce à ce dossier j'ai pu me replonger dans l'histoire et me rappeler la raison pour laquelle je dépensais mes sous pour cette série! Grâce à vous je vais continuer et oui c'est une super série c'est vrai! Alors merci d'avoir trimé autant pour nous!

je n'ai peut-être pas à me mêler de ce qui ne me regarde pas mais mon grand-père m'a toujours dit qu'il ne fallait pas se laisser démonter par qq remarques désobligeantes surtout lorsqu'elles concernaient un acte de générosité que  fait envers d'autres personnes... Il me semble que c'est ici le cas...Et que pas mal d'entre nous en sommes reconnaissantes! Alors merci encore XD!

Chamine

De Chamine [1437 Pts], le 08 Avril 2013 à 18h32

Et je comprends parfaitement le problème des spoilers hors on peut aussi faire des analyses sans pour autant spoiler je ne vois pas vraiment le problème. 

Ensuite je trouve ça facile de se défendre en argumentant écrire pour faire découvrir la série. La plupart des commentaires que je vois ici semblent déjà avoir lu la série et l'apprécier alors pourquoi ne pas avoir essayé d'aller plus loin? Ce n'est pas parce que des lecteurs pourraient de pas avoir lu la série qu'ils n'en seraient pas intéressés si le sujet avait été plus profond. C'est tout aussi insultant de penser que des lecteurs n'ayant pas lu la série ne seraient pas capables de comprendre une analyse poussée et je trouve ça bien dommage.

Et c'est là ou je me demande si on a lu la même série à vrai dire, on voit clairement dans les attitudes, pensées, réactions de Kyoko que jamais elle ne se pose comme une rivale potentielle de Ren et ce même si une fois elle l'a pensé.

Ca m'embête de revenir sur les idols mais je ne trouve pas que vous l'ayez évoqué quand vous avez fait un paragraphe entier dessus c'est tout. 

titali: Je trouve ça dommage que tu considères cela comme un litige, pour moi ça ne l'est pas. J'ai été acerbe, je le reconnais. Mais ce n'est pas pour autant que je penserais que c'était un bon dossier. Je ne dis pas non plus que vos dossiers précédents sont mauvais, car je ne les ai pas lu. Je parle uniquement de celui là et si mon interprétation n'est clairement pas une vérité universelle malgré le ton que je pouvais en donner, je pense tout de même avoir posé le doigt sur des problèmes qui auraient pu améliorer la qualité du dossier. 

titali

De titali [2269 Pts], le 08 Avril 2013 à 18h03

Je rejoins totalement l'avis de Shaedhen. La seule chose qui te déplaît véritablement dans ce dossier, c'est l'angle de vue que l'on a pris par rapport à la série. On allait pas rentrer dans une analyse poussée pour le seul plaisir des fans déjà accomplis de l'oeuvre et laisser des lecteurs potentiels bêtes comme des singes car ne comprenant pas notre analyse profonde...

De plus, tous les thèmes qui sont abordés par nous se voulaient comme un tour d'horizon de ce qui composaient globalement le titre, sans pour autant rentrer dans les spoils de toute l'oeuvre.

Donc désolée de ne pas avoir fait un dossier fondé sur tes fantasmes et tes interprétations... Désolée aussi de me montrer acerbe mais quand on en vient à traiter tout un travail de longue haleine de bon à jeter pour les ortilles, cela passe quelque peu mal. Surtout si en plus le travail a été mis en place par deux personnes qui ont déjà à leurs actifs bien des dossiers et donc de l'expérience (et jusqu'ici aucun reproche)! Sur ce, ce sera ma dernière réponse à ce litige!;)

Shaedhen

De Shaedhen [777 Pts], le 08 Avril 2013 à 14h02

Lors de la mise en place du dossier, il y avait une volonté de notre part de présenter la série avec un minimum de spoil. Du coup, forcément, il n'y a pas eu l'analyse à laquelle tu pouvais t'attendre. Est-ce que pour autant la présentation qui a été faite de la série est fade ? Je ne pense pas, surtout dans notre optique de la faire découvrir à des personnes qui la connaisse peu ou pas. 

 

Mis à part ça, ce qui t'as visiblement choqué et qu'on retrouve un peu partout dans ton commentaire, c'est le fait que l'on considère que Kyoko considère Ren comme son rival. Bon, je n'ai pas la série sous la main, je ne peux pas affirmer que ça a été dit dans la série, mais dans mon esprit c'était quand même une évidence depuis le départ. Après, chacun est libre d'interpréter ça comme il veut (mais bon, affirmer qu'il n'est pas son rival n'est pas mieux je pense et ne démonte en tout cas pas d'une grande ouverture d'esprit). 


Concernant les 2 fautes que tu cites, ok, erreur de notre part, enfin c'est rien de bien méchant non plus. Surtout pour les elfes, que l'on peut très logiquement assimiler aux fées.


Mais je ne vois pas l’intérêt de la partie « Jeunesse perdue ».

Vu le passé des différents personnages, j'ai un peu de mal à comprendre en quoi ce n'est pas intéressant, surtout pour toi qui veut de l'analyse véritable.


Le showbiz est important, c’est le thème central, c’est autour de quoi la vie des personnages gravite, c’est un fait. Mais je suis resté complètement bête devant le paragraphe sur les idols parce que… Je n’ai vraiment mais vraiment pas comprit ce qu’il faisait là.

Parce que c'est un des éléments importants du monde du showbiz au Japon, tout simplement. Et on l'a évoqué de manière brève, c'est pas comme si tout le dossier reposait là dessus.


A part pour faire des mots pour des mots je ne vois pas. Encore moins le rapport avec la section Love Me, qui soit dit en passant n’est expliqué que de façon très légère.

J'aime pousser à la réflexion, sans avoir à faire de grands dessins quand c'est pas nécessaire.

 

que quelques lignes une fois de fois en surface sur le sujet

What ? Comme quoi, les fautes de frappes arrivent à tout le monde ! =)


 Elle a besoin d’aide et ne peut pas tout faire toute seule.  De plus j’ai l’impression que ton « analyse » n’avance que jusqu’à la fin de l’arc Dark Moon. 

Car le principe reste le même par après, même si les rôles qu'endossent Kyoko changent, c'est d'ailleurs ce qui est évoqué plus loin au niveau du côté répétitif du titre.


Tu as fait long mais j’ai l’impression que tu n’arrives pas à toucher les thèmes et les choses qu’il aurait fallu être dite et tu préfères des passages qui au final ne reflètent pas vraiment ce qu’est le manga.

Ils ne reflètent peut-être pas ce qu'est le manga de ton point de vue. Libre à chacun d'avoir un avis différent là dessus.


Quant aux critiques…

L'argumentation que tu fais là est purement subjective.


Je ne vais pas mettre de note car ça n’aurait pas de sens de mettre un 0 un 5 ou un 10, je n’ai pas la prétention de noter ce dossier

Pourtant c'est ce que tu fais déjà en considérant une notation entre 0 et 10.


Je suis sûre aurait pu gagner en qualité si les thèmes avaient été mieux choisis et mieux traités sans chercher à tout prix à vouloir faire long. 

On a pas voulu faire long pour faire long, ce qui a été écrit est venu spontanément et c'es tout.


La quantité ne signifie clairement pas qualité.

Ben écoute, quand je vois ton pavé, hein.


Enfin voila, beaucoup de frustration pour pas grand chose je trouve. Donner son avis c'est bien, le considérer comme vérité universelle c'est autre chose.

Chamine

De Chamine [1437 Pts], le 08 Avril 2013 à 07h27

Quand j’ai vu un dossier Skip Beat j’avoue avoir été très enthousiaste ! C’est également une de mes séries préférées, un shojo atypique comme il faudrait y en avoir plus et du coup je me suis attelée à la lecture du dossier. Et malheureusement j’ai été très déçue et même parfois assez choquée de constater une telle différence d’interprétation entre nous. Ma critique n’est pas gratuite et j’ai bien l’intention d’expliquer pourquoi je trouve que ce dossier certes long, ne rend pas hommage à cette série comme il le faudrait. La quantité ne signifie clairement pas qualité.

 

La première chose qui m’a fait plus que tiquer, c’est la présentation du personnage de Ren. Rival et mentor. Et déjà avec cette affirmation nous ne sommes pas d’accord. Kyoko n’a jamais à aucun moment considéré Ren comme si rival. Ren est totalement inatteignable pour elle, il lui fait peur et elle s’écrase véritablement devant lui. Elle sait qu’ils ne jouent pas dans la même cours et n’imagine pas un seul instant lui arriver à la cheville. Même quand Ren est exécrable et que Kyoko en est folle (de colère) elle ne se pose jamais comme une rivale dans leur métier.  Quant au statut de mentor, c’est vraiment plus que discutable, ce n’est pas parce que Ren se propose de l’aider à travailler ses rôles qu’il en devient son mentor attitré. Ren est surtout attiré de plus en plus par Kyoko alors que Kyoko se trouve toujours paralysée de trouille dès qu’elle s’approche de Ren, du moins dans une bonne partie des « premiers » tomes. Elle ne le considère pas comme un mentor non plus, leur relation est bien plus complexe et je me verrais mal la résumer à ces deux mots.

Quant à la description de Sho, j’y reviendrais plus tard car je trouve également que c’est assez léger, même si je sais que la présentation des personnages n’est pas fait pour s’étendre, il y a toujours des explications que l’on peut donner sans cantonner le personnage à « Ennemi Juré »

 

Le premier paragraphe ne partait pas trop mal en soi, c’est une présentation du début de la série, ce qui s’est passé. Néanmoins quelques fautes m’ont encore dérangées, et même si c’est de l’inattention tu as quand même dit que la pierre « Corn » appartenait au prince des Elfes. Des Elfes ? C’est le prince des fées et son souvenir tourne tout autour de ces fées lui parlant quand elle était petit et je trouve ça dommage que dès le début du dossier un faute comme celle-ci se soit glissée.

 

Le titre de la deuxième partie pouvait m’interpeler, c’est un shojo alors c’est évident qu’à un moment ou un autre il faudra parler de sentiments. Je ne m’attendais pas à découvrir ça sous ce titre néanmoins. Pour commencer un nouvelle faute qui en plus d’être mise en majuscule porte sur un des personnages important à savoir Shotaro et non Shoraro ce qui est déjà dommage et fait encore tiquer quand on connait bien la série mais passons. Je n’ai pas grand-chose à redire sur le premier paragraphe hormis une fois de plus ce qui est à mon sens un vrai problème de compréhension sur la relation Ren Kyoko. Même en voyant Ren agir de la sorte vis-à-vis d’elle, il n’est ni son ennemi, ni son rival, jamais et je trouve ça vraiment dommage une fois de plus de réduire cette relation qui est une des plus intéressantes de la série à un simple rapport de rivalité. Du moins au début de ce dossier.

Mais je ne vois pas l’intérêt de la partie « Jeunesse perdue » Surtout avec le paragraphe sur Maria qui n’est pas vraiment représentatif de la série car cette situation se passe dans le volume 4 ou 5 si je me souviens bien et se règle également dans le même volume. Les passés un peu tortueux ayant déjà été évoqué plus haut je ne vois pas l’intérêt d’en rajouter ainsi sur une partie qui au final n’est pas un thème principal car comme je l’ai déjà dit, tout cela se règle en un volume. Si la série faisait 5 volumes ça aurait été pertinent, sur une série qui en fait 30, ça l’est un peu moins.

Quant au dernier paragraphe, une fois de plus, je le trouve léger et pas vraiment fouillé, la relation de Kyoko avec Miss c’est un scandale c’est pas vraiment aussi facile que ça et c’est aussi ça qui est des plus intéressants. Skip Beat a indéniablement des moments comiques mais le paragraphe n’explique pas vraiment en quoi et pourquoi et je trouve ça dommage.

 

Aussi avec un titre de partie sur les sentiments, je m’attendais à autre chose qu’une simple explication sur les passés sombres des personnages et ensuite contrebalancé plus ou moins habilement par un paragraphe sur le rire.

 

Le showbiz est important, c’est le thème central, c’est autour de quoi la vie des personnages gravite, c’est un fait. Mais je suis resté complètement bête devant le paragraphe sur les idols parce que… Je n’ai vraiment mais vraiment pas comprit ce qu’il faisait là. Autant les autres paragraphes s’expliquent car ils parlent plus ou moins d’aspects de la série mais les idols… Non vraiment je ne vois pas. A part pour faire des mots pour des mots je ne vois pas. Encore moins le rapport avec la section Love Me, qui soit dit en passant n’est expliqué que de façon très légère. Vient ensuite des lignes et encore des lignes sur comment la LME fonctionne, ce qui n’est pas pertinent à expliquer car le manga n’a pas ça pour thème principale. Même le paragraphe sur le showbiz gangrené de l’intérieur n’est pas travaillé, pas poussé, on ne parle même pas du groupe ennemi de Sho qui lui aussi illustre très bien cette tendance, ni même des déboires que Kyoko aura face aux actrices plus douées qu’elles et parfois plus bien plus borné dans ses différents tournages. Rien n’est expliqué et rien ne va au bout des choses, on reste en surface dans l’analyse et on dirait que ce dossier fait plus un état des lieux qu’un vrai analyse pertinente du manga ce qui me désole vraiment compte tenu de l’amour que je porte à la série.

Ainsi se termine cette partie sur le showbiz, qui à mon sens n’explique rien et ne reflète absolument pas ce qui se passe dans la série, car un des majeurs thèmes est évidemment le jeu d’actrice de Kyoko, dont tu n’as pour le moment pas une seule fois mentionnée et je pense sincèrement que la partie showbiz était clairement l’endroit pour le faire.

 

Rendez vous avec le destin. Voilà un titre mystérieux et regardons ce qu’il en est.

Ainsi la section Love me est cette fois mise en avant. Mais la question est, pourquoi ne pas l’avoir fait plus tôt alors que tu as écrit un paragraphe sur les idols juste pour amener la section Love me. Pourquoi ne pas avoir tout simplement continué sur ta lancée à ce moment là au lieu de choisir d’en reparler plus loin ? Mais le contraire est vrai aussi. Pourquoi l’avoir cité plutôt alors que tu aurais pu juste en parler à cet endroit ? Même si je ne comprends une fois de plus pas ce que le sujet vient faire là, comme s’il tombait au milieu de la soupe.

 

Et c’est là que par miracle enfin le sujet de Kyoko et de son jeu d’actrice est enfin évoqué. Et je ne pourrais pas changer ce jeu là, car même sans faire de spoiler majeur, je pense sincèrement que ce thème aurait mérité autre chose que quelques lignes une fois de fois en surface sur le sujet. Le travail sur le personnage, le fait qu’elle se trompe, qu’elle cherche, qu’elle recommence, qu’elle doive s’adapter pour finalement arriver à une interprétation majeure, mais qui pourtant mériterait d’être encore amélioré, car si elle est douée, elle n’est pas une surdouée. Elle a besoin d’aide et ne peut pas tout faire toute seule.  De plus j’ai l’impression que ton « analyse » n’avance que jusqu’à la fin de l’arc Dark Moon. Pourtant des tonnes de choses arrivent après qui auraient pu être cité et expliqué à nouveau, les autres rôles qu’elle joue, comme ce tome magnifique ou elle joue le fils de cette acteur célèbre. Encore une fois j’ai une sensation de vide et d’inachevé en lisant ce dossier. Et j’ai vraiment été « facepalm » en lisant que Ren est devenu officiellement son rival. Je ne sais pas  comment dire autrement que c’est faux. C’est tout simplement faux, ce n’est même pas une erreur de lecture c’est faux Ren n’est pas et ne sera jamais le rival de Kyoko.

Kanaé apparait à nouveau dans le dossier pour se voir attribuer deux phrases montrant ce qu’elle sait faire. Et c’est tout. Et ça me désole car même si elle n’est pas un personnage principal, elle est devenu un des piliers de Kyoko et à aucun moment tu ne parles de leur amitié tordu mais pourtant assez touchante. Tu as fait long mais j’ai l’impression que tu n’arrives pas à toucher les thèmes et les choses qu’il aurait fallu être dite et tu préfères des passages qui au final ne reflètent pas vraiment ce qu’est le manga.

 

La partie shojo atypique me plait de titre, car c’était évidemment un thème à aborder. Dommage qu’une fois de plus c’est traité de façon maladroite. La première partie est relativement ok à mes yeux, mais je ne saisis pas le reproche de l’évolution des sentiments. Même si ça peut paraitre frustrant, c’est également pour ça que c’est un shojo atypique, car Kyoko ne se demande pas pendant trois tomes si elle doit prendre la main de son chéri ou pas, non. Elle avance et ne croit pas en l’amour et ça c’est une marque de fabrique originale c’est pour ça que c’est aussi si bon à lire. Quant aux critiques… Si tu as voulu faire thèse antithèse synthèse soit, c’est ton choix, mais je ne pense pas que cantonner les critiques à un manque de renouvellement soit suffisant car Kyoko a eu pour le moment deux rôles phares avec évidemment un processus plus ou moins similaires, mais toutes ses autres aventures ne sont pas les mêmes et feront avancer le scénario à chaque fois. Idem pour la partie « beaux gosses ». Pour cette fois on est bien dans un shojo et il est bien rare de trouver un shojo sans hommes sexy c’est aussi ça qui fait l’âme d’un shojo et en ce qui concerne Skip Beat je ne vais pas m’en plaindre car pour une fois, ce n’est pas l’adolescent parfait ou tortueux ou pervers du collège/lycée mais bien un homme adulte ce qui change radicalement la donne.

 

Ainsi ce termine ce dossier qui m’a réellement déçu. Tu ne parles même pas de Sho qui se révèle au fil des derniers tomes loin d’être uniquement l’ennemi juré, et qui a aussi une vraie psychologie au lieu d’être juste totalement le personnage détestable. Idem pour Ren que tu cantonnes au rival ou à l’acteur excellent torturé. Quand à Kyoko, il manque une vraie analyse sur sa façon de jouer. Alors qu’à côté de ça tu remplis les lignes en parlant de sujets qu’on peut trouver facilement en lisant. Je m’attendais à une analyse complète et intéressante et je me retrouve avec des pavés fades, contenant des fautes et jamais rien qui ne va vraiment en profondeur.

Je ne vais pas mettre de note car ça n’aurait pas de sens de mettre un 0 un 5 ou un 10, je n’ai pas la prétention de noter ce dossier car je ne l’ai pas du tout apprécié. Je n’ai pas décortiqué ce dossier pour être blessante mais bel et bien pour donner un avis exprimant mon désarrois face un dossier qui je suis sûre aurait pu gagner en qualité si les thèmes avaient été mieux choisis et mieux traités sans chercher à tout prix à vouloir faire long. 

Yuminekoi

De Yuminekoi [2120 Pts], le 07 Avril 2013 à 00h08

19/20

Très bon dossier, même si j'ai arrêté la série. C'est un manga intéressant, qui vaut le coup d'oeil, surtout pour l'héroine avec ces esprits(extremement dangereux), et qui évolue, sauf avec ces sentiments (complément à côté de la plaque, mais cela ce justif dès le 1er volume).

  Sans oublier le directeur, personnage que j'adore.

mangashojo

De mangashojo [2563 Pts], le 06 Avril 2013 à 16h26

20/20

merci pour ce dossier j'adore skip beat  enfin le dossier sur manganews .

nekochi

De nekochi [3580 Pts], le 06 Avril 2013 à 14h48

19/20

Merci beaucoup pour ce dossier =)

Skip Beat est et restera pour longtemps un incontournable en matière de shojo ♥

kyllie

De kyllie [176 Pts], le 06 Avril 2013 à 12h33

20/20

Ah quelle idiote j'ai oubliée de noter >< ! 

Super le dossier ! :D

kyllie

De kyllie [176 Pts], le 06 Avril 2013 à 12h32

Merci pour ce dossier fantastique ! :D Bien que je connaissais la mangaka depuis que j'ai connu skip beat ! ça à été un coup de foudre ce manga ! Je ne m'en lasserais pas Haha

Merci :)

Linoa

De Linoa [153 Pts], le 06 Avril 2013 à 00h22

20/20

Dossier très intéressant bien que je dois avouer avoir connu l'auteur NAKAMURA Yoshiki bien avant de connaître Skip Beat! :D 

Tokyo Crazy Paradise est une excellente histoire et c'est cette oeuvre-là qui m'a poussé à commencer Skip Beat! à sa sortie en France ;) Et bien entendu, je n'ai pu qu'adorer ce travail :)

Skip Beat! est mon Shojo préféré et d'avoir réussi à lire le 32ème tome ne me pousse qu'à en vouloir plus :D 

Elle a réussi à tirer le meilleur de ses oeuvres précédentes et à les mixer dans cette superbe série ;)

Je suis une fan de tout son travail et espère en voir beaucoup d'autres encore :D  

Merci encore pour ce très bon dossier, ce fut un plaisir de le lire ;)

Crocomo

De Crocomo [677 Pts], le 05 Avril 2013 à 22h07

20/20

J'arrive comme un cheveu sur la soupe au potiron avec quelques croûtons, pour mettre une note (bonne bien sûr) à ce très joli dossier ! (j'ai déjà commencé à relire cette oeuvre, et je viens de me rendre compte que j'étais à côté de la plaque à l'époque ... Dire que j'avais arrêté la série juste à cause de ces visages de mec en triangle, c'était vraiment puéril -_-)

Angelus

De Angelus [1305 Pts], le 05 Avril 2013 à 21h59

20/20

Moi j,'adore trop l'histoire et je suis toujours impatiente de savoir la suite ^^ Kyoko me fait trop rire et Ren me fait trop craquer quand à Sho, mais qu'elle imbécile franchement, j'ai envie de l'étriper. Mais bon après autant de tomes parus je ne me lace pas de cette serie que j'adore depuis que je l'ai commencé.

Kyoko

De Kyoko [556 Pts], le 05 Avril 2013 à 20h29

19/20

Merci pour ce dossier!!

Décidément je ne sais pas ce que je ferais sans cette magnifique série. Elle est pour moi bien plus qu'un simple coup de coeur.

Lasdy

De Lasdy [1097 Pts], le 05 Avril 2013 à 20h09

19/20

Merci beaucoup pour ce dossier!

Moi qui avait mis l'anime en parenthèses, je vais le finir puis m'attaquer ensuite au manga dès que possible!^^

akiko

De akiko [5480 Pts], le 05 Avril 2013 à 16h30

Un tres gros dossier pour cette magnifique série!

C'est sur plus on en a plus on en veut!!! Toujours pas lassé non plus, d'ailleurs c'est assez rare =) 

Mais quand même j'aimerai bien etre une petite sourie pour savoir si l'auteure a dans sa tete une (potentiel) fin?!

Museumanga

De Museumanga [5964 Pts], le 05 Avril 2013 à 13h17

18/20

Voilà le dossier sur Skip Beat! <

Axe77

De Axe77, le 05 Avril 2013 à 11h40

Skip Beat! est de loin l'une de mes séries préférées. Il faut reconnaître que l'auteur a un sacré talent, car au bout de 26 tomes, je ne suis toujours pas lassée, au contraire, j'en redemande encore et toujours!

Une bonne dose d'humour et une histoire d'amour (dont seule l'héroine n'est pas au courant) je dis OUIIIIII

Azu

De Azu, le 05 Avril 2013 à 11h33

Merci pour ce magnifique dossier.

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