Sweet Relax

Toute fin signifie aussi un commencement

 
Arrivé au bout de ce dossier, comme souvent pour les séries qui jouent énormément sur l’affect, il ne me reste qu’une impression de ne pas avoir fait passer dans son intégralité les qualités du titre. Peut-être qu’une bonne séance de shiatsu m’aurait permis de donner un peu plus du meilleur de moi-même en ces temps de doute, et d’être davantage dans l’ambiance… Cependant, de toute façon, la force de Sweet Relax ne peut se percevoir pleinement qu’à la lecture, et uniquement si on est dans un certain état d’esprit et qu’on accepte certaines facilités (que j’assimile à du dynamisme) et maladresses (relatives) de l’auteure, tout en gardant en tête qu’il s’agit de sa première œuvre. Difficile d’autant plus qu’à titre personnel, j’étais conquis d’emblée par le trait chaleureux d’Izumi Tsubaki, par le dynamisme de son histoire, ainsi que par le charisme et l’amour qu’elle porte à ses personnages, et sans doute y ai-je vu surtout les qualités et le potentiel de divertissement, qui sont indéniablement présents, quoiqu’on en dise. Tout simplement parce que,

Sweet Relax est un manga relaxant, qui vous apaise à la lecture, qui vous fait rire par l’enthousiasme de ses personnages et leurs caractères forts expressifs, et vous donne le sourire par sa bonne humeur communicative, grâce à l’implication de son auteure.

Sweet Relax est un manga doux, qui vous fait ressentir de plein fouet et presque à fleur de peau les émotions des personnages, leurs doutes, leurs joies, leurs peines, et tout ce qui caractérise l’âme humaine dans le cadre de l’amour, et ce dans sa forme la plus pure grâce à la sincérité (et sans doute la jeunesse) de son auteure.

Sweet Relax est simplement de ce genre de titres qui ne sont pas indispensables au premier abord, mais, si vous leur laissez une chance, qui éclairent pourtant considérablement votre mangathèque et dont vous conserverez un souvenir chaleureux et ému.

Et là, tout est dit.
 
 
 
 
 
Dossier réalisé par Sorrow.