X Day - Actualité manga
Dossier manga - X Day
Lecteurs
16.50/20

La vie, un combat de chaque instant!

                                
Au-delà du shôjo bien travaillé, X day dégage un réel penchant pour des questions d'actualité, qui touchent aussi bien les adolescents que les adultes eux-même.
Tout d'abord, le titre n'est pas anodin, et “X day” a bien une signification particulière. C'est un terme utilisé chez les militaires, qui signifie “le jour de l'attaque”. Cette expression était notamment employée par les Japonais pour qualifier le jour où commencerait la plus grande guerre d'Asie de l'Est (lors de la Seconde Guerre mondiale). Elle a aussi été utilisée lors de la programmation de l'invasion de Kyushu, en 1945.
C'est alors que Rika et ses amis se mettent en route pour le jour X, celui qui fera sans doute basculer leur vie et leur permettra enfin de devenir libre.

On a toujours en tête l'image des adolescents qui aiment s'amuser, expérimenter, goûter à la vie. Mais une image tout aussi extrême est également connue de tous, celle des jeunes adultes en mal de vivre. Pourquoi certaines personnes sont-elles si blessées par des choses qui peuvent paraître totalement anodines et sans importance pour d'autres? Pourquoi penser à tout détruire, parfois même se détruire soi-même, alors qu'on est à l'aube de la vie? Setona Mizushiro met ici en scène des adolescents en constant malaise, qui ne cherchent qu'une seule chose: se libérer de ce monde qui les étouffe au plus haut point.
L'homme est souvent détruit par autrui. Mal vivre les conséquences des actes des autres, ou de ses propres actes, en voilà une chose courante! L'amour qui blesse, les coups qui laissent des traces, une haine démesurée envers le monde qui nous entoure, et un souhait irrépressible de rester seul et de ne pas être dérangé. X day nous montre le combat de quatre personnes, prêtes à tout pour mettre leur plan à exécution, et ainsi goûter à une vie meilleure.

“Arrêtez de nous persécuter!!” Cette phrase, forte et pleine de sens, est un appel au secours de Polaris. Elle prend ici la parole pour toute l'équipe, et ça n'est pas seulement à la fille du directeur qu'elle s'adresse, mais à tout le monde, à tous ces gens qui ne voient pas ce désespoir, eux qui ferment les yeux sur les tourments des autres. Ce cri de détresse est valable pour tous ceux, et toutes les choses qui semblent poursuivre la jeune fille et la tourmenter. Mais au-delà de ça, c'est un réel sentiment d'appartenir à un groupe qui s'est créé en elle. Même si l'acte qui suit ses mots est cruel et irréfléchi, on sent cette évolution de la jeune fille, qui se sent maintenant intégrée dans un cercle, et qui fera tout pour y rester, coûte que coûte.
Pousser quelqu'un dans notre course car on est trop pressé est une chose minime à nos yeux, mais pas aux regards de Polaris, 11, Jangalian et Kin-san. Nous qui ne voyons pas les tracas des autres, ou alors qui ne voulons pas les voir, nous qui participons à toutes ces petites actions visant à éliminer les humains les plus faibles, à les pousser au bord du ravin, pour les laisser faire cet ultime pas qui leur sera fatal, nous tous, laissons-les tranquille, et vivre à leur manière. Ces petites agressions quotidiennes, qui sont là pour forger le caractère de chacun, nous rendre un peu plus fort chaque jour, ne font que blesser, mutiler les plus fragiles. Mais parfois, les êtres les plus faibles, les plus lésés, sont ceux qui ont la force de se rebeller contre la société. S'exprimer par le langage oral est assez difficile, mais s'attaquer à des symboles, extérioriser ses idées au travers d'images est toujours possible.
                                                                   
                                                                      
“Détruire ce monde”. Mais lequel? Quel peut être la définition du monde pour un lycéen? Ici, c'est incontestablement l'établissement scolaire. Beaucoup de jeunes adultes ont du mal à réellement intégrer le monde de l'école. Ils le ressentent souvent comme une prison dans laquelle on les enferme toute la journée, et ce presque tous les jours de la semaine. L'école qui les oblige à tenir une certaine conduite, à faire ou ne pas faire telle ou telle chose. Un institut plein de règles, de devoirs, mais sans réels droits. Se sentir oppressé ou épié à chaque coin, voilà le sentiment de 11, Kin-san, Jangalian et Polaris. Pour y mettre fin, arrêter ce calvaire sans limite, une seule option est envisageable: la destruction pure et simple de l'école.

Le tourment de ces adolescents pourrait nous paraître démesuré. Et c'est avec stupéfaction qu'on constate à quel point un être peut être touché par des petits détails qui composent notre vie de tous les jours. On dit souvent que c'est la petite goutte de trop qui fait déborder le vase. Ici, cette expression va à souhait à l'ambiance de X day. Ainsi, pour quelqu'un qui est déjà à bout, qui a cumulé assez  de stress et d'angoisse, il suffit de très peu pour qu'il fasse l'irréparable, ce pas qui le séparera de tous. Mais encore faut-il avoir le courage de le faire. Les quatre protagonistes s'allient, se tiennent la main dans ce combat quotidien qu'ils mènent contre l'école. Vivre encore, réussir à subsister sans craquer jusqu'au jour X. Voilà un défi à relever. “Jusqu'à ce jour, jusqu'au jour X, ils doivent tenir bon.” Pendant ce temps, il est indispensable de s'unir afin de s'entraider. Planifier au mieux ce jour tant attendu devient une préoccupation de tous les jours. Il faut veiller à ce que tout soit en place, et s'armer toujours un peu plus, jour après jour, devient primordial. C'est alors que les liens se créent et que les affinités se creusent. D'ailleurs, c'est souvent dans des situations dramatiques que les hommes se rapprochent et veillent les uns sur les autres. 11 veillera alors sur Kin-san, et Polaris prendra Jangalian sous son aile.
 
On réalise ici à quel point une pensée peut vite nous dépasser. 11, qui suggère uniquement son avis, à savoir qu'elle aimerait que l'école disparaisse est vite rejoint par Polaris. Sans cette dernière, sans doute que cette idée n'aurait jamais été prise au sérieux à ce point. Polaris ne fait que saisir une opportunité de se venger, alors que 11 voulait uniquement se vider l'esprit et faire part de sa détresse. Mais ce qui est dit est dit, et c'est souvent ainsi que de grands projets voient le jour. Certains lecteurs pourraient se dire que penser une telle chose est trop osée, trop poussée, et que c'est uniquement le fruit d'un esprit noir qui peut nourrir une telle idée. Mais posez-vous la question. Mettez-vous dans la peau de Rika Saginuma, Nanaka Shimada, Kumihiko Tsukimura et Reiichi Takano, ou alors restez là où vous êtes, et remémorez-vous un instant de votre adolescence, celui au cours duquel vos pensées dépassaient votre raison. On a tous déjà été dans des situations plus ou moins délicates. Un camarade de classe, un autre élève nous a déjà causé du souci. Ou tout simplement, le stress des contrôles, des examens, ou alors la frustration de devoir se rendre chaque jour de la semaine dans cette école, là où les professeurs omnipotents semblaient vouloir vous mettre sans cesse dans l'embarras; cette préoccupation constante était parfois suffisante pour alimenter les pensées les plus inoffensives. Ainsi, il est très aisé d'imaginer le monde sans école, sans tous ces êtres qui nous dérangent sans cesse, quotidiennement, et qui semblent en tirer un plaisir démesuré. “Ah! Si tout cela n'existait pas...” Concevoir virtuellement un tel monde, n'est-ce pas nier toutes ces existences qui se dressent devant soi chaque jour? N'est-ce pas, en quelques sortes, mettre un terme à leur statut qui nuit tant à notre épanouissement? Chacun d'entre nous a déjà, au moins une fois dans sa vie, haï son école. Et finalement, bien s'organiser pour mettre ce plan à exécution n'est pas insurmontable.
Se pose alors une question: celle de la légitimité de cet acte. Même si ce monde est parfois néfaste à certains, ont-ils le droit de le détruire? Beaucoup auront pour réponse le simple mot “Non”, car selon les normes sociales, il ne faut pas s'écouter, et résister à nos pulsions. Ainsi, entrer dans ce même moule, créé pour tous, que forme la société est primordial pour y évoluer. Et même si cela implique parfois certaines souffrances à des niveaux différents, il paraît évident que c'est une solution, et qu'elle est bonne pour tous. Mais dans le même temps, on pourrait alors se demander pourquoi infliger toutes ces souffrances à autrui? Pourquoi les obliger à suivre ces chemins tous tracés si cela les met réellement en danger? La destruction paraît pour certains être la seule solution à leurs problèmes. Il en va de soi qu'une chose totalement détruite ne nuit plus à personne. Mais cette chose, qui semble dangereuse pour certains, mais si utile pour d'autres, est certainement un bénéfice pour beaucoup d'entre elles.
Dans la petite réflexion qui est proposée aux lecteurs à la fin du premier tome, on pose une ultime question: celle du terrorisme. Ces personnes qu'on a tant de mal à comprendre dans la monstruosité de leurs actes, elles, y voient sans doute quelque chose de légitime, et surtout, des bonnes raisons.

La société est tellement bien orchestrée, tout y est si mesuré, de telle manière à ce que chacun, qualifié de normal, y trouve sa place et y tire ses bénéfices. Malheureusement, les êtres humains sont tous différents et certains n'y trouvent pas leur place. Même si des grandes lignes se dégagent afin de définir des tendances, il en restera toujours quelques uns en marge. De plus, chacun est sujet à ses pulsions, des envies animales, destructrices bien souvent. Celles-ci, sans cesse contrôlées par les communautés, connaissent parfois un trop plein, et les limites sont alors dépassées. La société ne prend pas en compte toute la sensibilité de chacun, et cet aspect qui nous touche tous peut nous être plus ou moins fatal. Ainsi, ces pensées dirigées contre cette société synthétique, sans émotion ni affect, ne peuvent que grandir face à tant d'incompréhension.
                                 
                                    
                               
                           

© 2005 by MIZUSHIRO Setona / AKITASHOTEN JAPAN

Commentaires

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Poupouillette

De Poupouillette [340 Pts], le 08 Août 2009 à 14h00

Merci pour ce dossier qui m'a fait découvrir cette petite merveille !!!

neun11septembre

De neun11septembre [311 Pts], le 10 Mars 2009 à 08h56

un trés bon travail d'analyse pour seulement 2 tomes. (sujet ardu par sa brieveté et le manque de documentation).

x-day est suffisamment original dans la catégorie shojo que pour justifier un dossier sur Mizushiro par ce biais, même si il aurait été plus facile de l'aborder par "l'infirmerie..."

Trés courageux de ta part en tout cas, Lovehina.

Manga-News

De Manga-News [3732 Pts], le 08 Mars 2009 à 23h21

sur la partie présentation (typo et mise en page) je prends tes remarques en considération 11. Nous réfléchissons à une manière plus lisible de présenter les dossiers.
Nous essayons de nous améliorer sans cesse et donc les habitudes ne nous conviennent pas ;-)

11

De 11, le 08 Mars 2009 à 22h58

1)quantité n'est pas qualité était en réponse à la masse mimimum de LoveHina. Délayer la sauce pour l'allonger ne l'a jamais rendue meilleure.
2)il est bien évident que je me suis arrété sur des points de détails. Pour avoir réaliser un certain nombre de critique manga, je sais la difficulté de l'exercie, le temps que cela prend. Donc si j'ai réagi, c'est en connaissance de cause, non pour descendre un texte de façon gratuite comme tu me le prétends.
3)Je n'ai en aucun cas émis de jugement sur la reflexion de LoveHina, j'ai d'ailleurs apprécié lire un autre point de vue que le mien sur cette oeuvre.
Mes critiques ont uniquement porté sur le résumé érronné, et de la maladresse de certaines formules qui pourraient préter à confusion. Car le dossier s'adresse autant à ceux qui connaissent la série, qu'à ceux qui ne l'ont pas encore lu.
4)quant à la qualité rédactionnelle: la rédaction kikoolol, je ne connais pas ^__^. je n'ai jamais dit que c'était écrit avec les pieds, juste souligner qu'il restait des fautes. J'ai pris des exemples pour appuyer ma remarque, cela a pu te donner l'impression qu'il y avait des fautes à tous les mots, ce qui n'est pas le cas. Navré si tu l'as aussi mal pris.
5) j'en reviens à l'arbitraire d'un plan prédéfini pour tous vos dossiers. Mais je m'absitendrai de réitérer mes remarques puisque vos habitudes vous conviennent.
6)quant à la police trop petite, tu n'en fais pas grand cas non plus, tu as de la chance d'avoir de bons yeux....
7)enfin nous sommes bien d'accord que le but principal est de faire découvrir et partager un titre.
8)"Merci de prendre en compte tout ceci, plutôt que de s'acharner sur des points de détail, au risque d'être méprisant". Je te retourne cette politesse. Mais suis-je bête, vos habitudes vous conviennent (et oui je me répète, c'te honte !!!!!!!)
ceci était mon X-day
adieu
11

shinob

De shinob [127 Pts], le 08 Mars 2009 à 20h09

"quantité ne veut pas dire qualité, la preuve avec ton dossier...."
Purement subjectif. Merci de ne pas asséner ton point de vue comme une vérité implacable.

Je rappelle que les chroniqueurs de Manga-news ne sont pas des professionnels de l'écriture, ils réalisent leur dossier en prenant sur leur temps personnel. Leur seul objectif est de faire découvrir des œuvres qu'ils apprécient. Les textes sont relus, mais ils ne sont pas à l'abri de quelques fautes d'orthographe. C'est quand même loin d'être rédigé à la "kikoolol"... Bref, je te trouve vraiment dur.

As-tu déjà réalisé de tels dossiers 11? Si non essaie... Tu verras que l'exercice n'est pas si facile qu'il n'en a l'air... C'est très facile de critiquer dans ta position.

Ta critique sur la nomenclature est également très subjective... Nous procédons ainsi pour presque tous les dossiers et n'allons pas changer nos habitudes. Pour ma part, j'arrive à lire le texte sans souci. Mettre une bibliographie au début plutôt qu'à la fin ne tient pas de "l'aberration" mais plutôt du point de détail... Nous suivons le plan suivant:
1/ Présentation (œuvre - auteur - bibliographie - personnages)
2/ Parties analytiques
3/ Conclusion.
Je le trouve cohérent car il va du global au plus particulier.

"quantité ne veut pas dire qualité, et à vouloir tendre vers l'exhaustivité, tu en oublies le principal."
Le principal, c'est de partager, de communiquer le plaisir que nous avons eu à lire une œuvre, et c'est ce que fait lovehina. Merci de prendre en compte tout ceci, plutôt que de s'acharner sur des points de détail, au risque d'être méprisant.

11

De 11, le 08 Mars 2009 à 19h00

quantité ne veut pas dire qualité, la preuve avec ton dossier....
1) avec un découpage aussi artificiel, tu te reprends plusieurs fois pour dire la même chose ce qui n'a aucun intérêt mise à part du remplissage. Mais c’est bon pour toi puisqu'il faut une masse minimum selon tes dires.
Exemple : X-day première œuvre de la collection shojo d’asuka, réédition de luxe à paraitre. Tu nous le mets dans le fiche signalétique puis tu nous le ressort dans la partie adaptation et graphisme. Dés fois qu’on aurait pas bien compris tu nous en remets une couche en conclusion. 1 fois c’est bon.
Autre exemple : La présentation des personnages : toute une tartine que tu reprends et complète dans la partie psychologie.
2) Il est aberrant de faire le résumé d’une histoire (partie histoire) pour ensuite parler de l’historique de l’œuvre (fiche signalétique) pour revenir après sur l’histoire proprement dite. Il vaut mieux y aller progressivement en allant du plus général au particulier : de l’historique de l’œuvre, au résumé de l’histoire et à son analyse.
Par ailleurs, ton texte porte sur X-day non sur la magaka et sa carrière: donc tout ce qui relève de la biographie et la bibliographie de l'artiste, ça va à la fin. (pour en savoir plus : sur l’artiste, ses autres œuvres... )
3) La police trop petite rend la lecture difficile , et le texte n’est pas assez aéré.
4) Sur le fond des erreurs et approximations. Cela commence dés la première phrase : "X day nous relate un épisode de vie très court de Rika Saginuma, une jeune fille en terminale, et de ses trois amis." --> Ils ne sont pas amis du moins au début. Pour certains, ils ne se sont même jamais parlés.
« X day est tout d'abord adapté en deux volumes. » Cela sous-entend, que la série n’est pas originale mais provient d’une autre œuvre, ce qui est faux.
5) des fautes et des erreurs de français
"Malgré le fait que X day soit une série très courte, il n'en reste pas moins que le travail de l'auteur est remarquable."
« malgré que » : ce n’est pas correct.

je termine comme j'ai commencé: quantité ne veut pas dire qualité, et à vouloir tendre vers l'exhaustivité, tu en oublies le principal.
pour moi: ce dossier est à retravailler.

11

LoveHina

De LoveHina [515 Pts], le 07 Mars 2009 à 20h58

Que suggérez-vous alors pour améliorer le tout? Si c'est dans la longueur, un dossier n'est pas fait pour être court, bien au contraire, il faut une masse minimum.
Maintenant, si vous avez des propositions, on est tout à votre écoute.

dk

De dk, le 07 Mars 2009 à 13h07

je ne remets pas en question ta critique, au - tu as argumenté.
juste 11/20 c est un peu dur mais c est vrai qu il faudrait changer la forme (message à manga news)

11

De 11, le 07 Mars 2009 à 12h42

en même temps dk, par respect pour le travail fourni, j'ai réagi sur un dossier que j'ai lu de bout en bout.
X-day étant l'une de mes série préférée.

Pour avoir survolé les autres dossiers, je peux dire que je n'adhère pas à cette forme de présentation pour les raisons que j'ai déja évoquées.

j'ai été sincère.

11

dk

De dk, le 07 Mars 2009 à 00h43

18/20

en meme temps 11 tous les dossiers ont cette forme...
https://www.manga-news.com/index.php...

je te trouve un peu dur quand meme

11

De 11, le 06 Mars 2009 à 23h22

11/20

dossier difficile à lire:
- sur la forme: une police trop petite, si cela passe pour une news de quelques lignes, ça ne le fait plus pour un texte plus long comme celui-ci.
La mise en page a de quoi rebuter: des pavés monolithiques de mots rendus plus inaccesible encore pas les petites lettres qui les composent..

-sur le fond: une reflexion personnelle et intéressante mais quelque peu répétitive sur certains points. Des redites qui auraient pu être évitées en réorganisant l'ensemble par des découpages plus judicieux, moins artificiels que ceux de ce dossier.
-un message partiellement repris, mizushiro ne s'intéresse pas qu'aux ado, mais à tout un chacun. Tout comme le désir de détruire est inhérent à l'homme quelque soit son age.

-des lamentations en entrée (intro) et en dessert (conclusion): lourd lourd! lourd!.

dossier à alléger pour être mieux apprécié.
cela dit: X-day est à consommer sans modération ^_________^

11

shun

De shun [1957 Pts], le 06 Mars 2009 à 21h20

20/20

impressionnant!!!!

NiDNiM

De NiDNiM [912 Pts], le 06 Mars 2009 à 20h23

Dieu que ça donne envie de lire ! En tout cas, très bon dossier <3 Très instructif et bien écrit ! Bravo !

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