The Top Secret - Actualité manga
Dossier manga - The Top Secret
Lecteurs
19/20

Présentation


Résumé:
Quarante à cinquante ans après notre actuel présent, les moyens techniques ont progressés et la compréhension du cerveau humain tout autant. C’est d’ailleurs à cette époque, futur proche, que la police dispose d’un tout nouveau moyen d’investigation : une machine qui permet d’explorer la mémoire d’une personne décédée, à condition que le cerveau soit en bon état, et uniquement les images et non les sons. Ainsi, un département spécialisé de la police scientifique peut visionner les cinq dernières années de la vie d’une victime pour retrouver son assassin et les raisons de son meurtre. Cependant, devant l’horreur que certains crimes peuvent endosser, où s’arrête la capacité des hommes à explorer les vices profonds de l’homme, les pires abominations dont l’espèce humaine est capable ? Et, plus encore, qu’elle est la part de l’éthique dans cette volonté de punir les responsables, vis-à-vis de la vie privée des victimes ? De celles qui auraient peut-être préféré que personne ne voie ce à quoi elles ont pu assister.

Dans ce labo n°9 spécialisé dans la résolution de ces enquêtes, le commissaire Maki mène son équipe d’une main de maître et sans souffrir d’exceptions, mais l’arrivée d’une jeune et fraiche recrue va bouleverser son univers tranquille. Car Ikko Aoki a bien plus de dynamisme, de valeur et d’ignorance que prévu, aussi certains points vont se révéler difficiles à gérer face à lui. Mais, au fur et à mesure, les deux hommes parviennent à se comprendre de mieux en mieux, et les inspecteurs de ce laboratoire découvrent un commissaire fragile, soumis à ses vieux démons qui le hantent depuis une affaire particulièrement traumatisante.




Fiche signalétique:
Himitsu (秘密 -トップ·シークレット-) est un shojo manga de Reiko Shimizu, qui illustre bien le classement des titres dans les différents genres selon le magazine de prépublication ... et non les thèmes abordés. Car c’est une histoire à suspense, frôlant parfois le glauque et l’horreur de la psychologie que l’on retrouve, bien loin des standards shojo. La série est en cours au Japon avec 9 volumes, prépubliée dans Melody, magazine de l'éditeur Hakusensha à partir de décembre 2001. La série compte au final 12 tomes, les deux derniers étant sortis simultanément le 29 octobre 2012. Cependant, la saga continue par le biais d'un spin-off, Himitsu - The Genesis, publié également dans le Melody à partir d'octobre 2012. Comme son sous-titre l'indique, cette nouvelle série est une préquelle, nous racontant les enquêtes de l'agent Maki avant sa rencontre avec Aoki.
  
En France, la série voit le jour en mai 2008 sous le nom de The Top Secret, chez l'éditeur Tonkam. La publication des différents opus est très espacée, notamment au début, allant jusqu’à sept ou huit mois entre chaque tome. Depuis les volumes 4 ou 5, cependant, Tonkam reprend un rythme qui varie de quatre à trois mois, jusqu'à finalement ralentir à nouveau du fait de son rapprochement avec la parution nippone. La série se maintient donc pour le plus grand plaisir des lecteurs, encore fidèles après tout ce temps... mais qui sont hélas bien rares ! En effet, dans une salve de réponses à ses lecteurs, l'éditeur a annoncé que The Top Secret était l'une de ses séries les plus en difficultés avec moins de 500 exemplaires vendus par tome. Cependant, la série continuera avec la sortie du onzième volume en avril 2013. 
 
 
  
L'anime:
La série a bénéficié d’une adaptation animée: Top Secret – The Revelation. Dirigé par Hiroshi Aoyama, le projet a été soutenu par les studios Madhouse et retransmis sur NTV du 8 avril au 30 septembre 2008. Dans sa version finale, le coffret animé de la série compte 26 épisodes et si elle comporte certaines des histoires phares de la version papier, de nombreux épisodes inédits viennent se greffer au fur et à mesure du développement de la série.
 
  
 
Auteur:
Reiko Shimizu (清水玲子) est née à Kumamoto le 26 mars 1963. C’est à l’âge de vingt ans qu’elle commence réellement à s’immerger dans le milieu professionnel du manga, avec « Sansaro Monogatari », prépubliée dans le magazine LaLa et écrite pour sortir chez l’éditeur Hakusensha. En 1985, elle reçoit le prix de la meilleure nouvelle artiste, et en 2002 le prix Shogakukan du meilleur shojo pour Princesse Kaguya. Sa série The Top Secret a, quant à elle, été deux fois nominée par le jury du festival d’Arts et Médias du Japon, en 2007 et 2008.
  
Elle est particulièrement connue et renommée pour ses œuvres de science-fiction qui conservent une grande part de réalité, et son style graphique très particulier, mais également pour avoir illustré un jeu de cartes de Tarot.  C’est surtout l’alliance particulière du drame, de la romance, de la comédie et des réflexions profondes sur la vie qui marque son œuvre.

Bibliographie:

Ryuu no Nemeru Hoshi (異星奇龍)



C'est une série terminée en cinq volumes, deux pour la version Bunko, qui commence en 1987 dans le magazine Hana to Yume d’Hakusensha. Shojo à tendances science-fiction, l’histoire se déroule dans une lointaine galaxie où un étrange endroit est appelé la planète Dragon, bien que ceux-ci n’habitent plus l’endroit depuis longtemps. Depuis des années, les humains s’y sont installés, chassant les dragons et apportant la guerre où qu’ils passent. Le conflit principal oppose la Reine Impitoyable et le Roi Austère, les deux factions s’étant battues durant des générations, laissant les leaders actuels alimenter une guerre qui n’a pas lieu d’être. Jack et Elena décident d’arrêter cet affrontement inutile, mais y parviendront-ils?


Tsuki no Ko (月の子)



Shojo de 1988, avec treize volumes qui clôturent la série parue chez Hakusensha par l’intermédiaire de LaLa. En version Bunko, la série compte 8 tomes. Le récit est celui d’une hybride mi-humaine mi-sirène, qui a le pouvoir et la position pour mettre fin à la querelle opposant l’humanité au peuple de l’eau, ou bien engendrer la destruction complète de toute vie sur Terre. Le problème, c’est que cette jeune femme a disparu. Et Shona, un triton qui retourne sur les lieux de sa naissance et y rencontre un humain amnésique nommé Jimmy, décide avec l’aide de son nouvel ami de retrouver cette icône perdue. Parviendront-ils à contrer cette mystérieuse prophétie autour de cette jeune fille perdue, ou bien le secret sur les origines de Jimmy va-t-il les retarder suffisamment pour les faire échouer et mener le monde à sa perte ?


Princesse Kaguya - Kaguya Hime (輝夜姫)
  


C’est un shojo de 27 tomes commençant sa publication en 1993 chez LaLa (Hakusensha) et finissant au cours de l’année 2005. En France, c’est Panini Manga qui s’occupe de la publication, qui s’avère bien moins rapide puisque seuls 13 tomes sont disponibles, le premier ayant vu le jour en mars 2004 et le quinzième étant sortie le 24 octobre dernier. Autrement dit, après un rapide calcul ... huit ans et demi pour quinze volumes commercialisés. L’histoire est celle d’Akira, Yui, Midori et d’autres camarades qui, enfants, se sont enfuis de l’île de Kabuchi où ils ont passés toute leur vie. Cela afin d’éviter d’être sacrifiés à la princesse Kaguya le jour de leur seizième anniversaire. Malheureusement cela semble avoir été en vain, car ceux de leur groupe commencent à mourir dans d'épouvantables accidents peu de temps après avoir atteint l'âge fatidique. Les survivants décident donc de retourner sur l'île ... (retrouvez notre dossier consacré à la série ICI !)
  
  
One shots :
Milky Way (銀河銀河- 1976), shojo de science-fiction publié par LaLa (Hakusensha) quelques années plus tard, aux débuts de la mangaka dans le cercle professionnel.
A Million-Pound Love (1984) est un recueil de quatre courtes nouvelles, disponible au Japon chez l’éditeur Hakusensha.
Noa no Uchuusen (諾亞的太空船- 1984) a eu deux éditions chez Hakusensha : une en 1985, l’autre en 1993, c’est un recueil de trois nouvelles de science-fiction.
Yume no Tsuzuki (夢のつづき- 1988) a été prépublié plusieurs fois : LaLa, LaLa DX puis LaLa Summer Club (Hakusensha).
Tenshitachi no Shinkaron (天使たちの進化論- 1991) est sorti chez Hakusensha par l’intermédiaire de Hana to Yume.
22xx (1992) a lui aussi eu plusieurs prépublications ; LaLa, LaLa DX et LaLa SF Special.
Papillon (パピヨン- 1994) a suivi le même chemin que la plupart des œuvres de l’auteur : publication par Hakusensha dans LaLa.
Tennyo Raishuu (天如来襲- 1994).
Mouhitotsu no Shinwa (もうひとつの神話- 1994) qui est une continuité de A million Pound Love, avec ses trois nouvelles parues dans le LaLa DX (Hakusensha)
Namakemono no Scuba Diving (ナマケモノのスキューバダイビング- 1996) est un one-shot paru dans le magazine Putao d’Hakusensha.
Wild Cats (野貓 WILD CATS- 2000) est sorti dans LaLa, et c’est une des rares productions de l’auteur à ne pas être immergée dans la science-fiction, mais d’avantage dans la tranche de vie ou la comédie ... avec des animaux !


Enfin, on note un one-shot un peu à part puisqu’il est le seul à être sorti en France: Magic (奇蹟 MAGIC- 1996)



C'est un shojo de science-fiction dramatique et au contenu réflexif et profond sur la nature de la vie, entre autres choses. Au Japon, c’est Hakusensha qui propose ce titre par l’intermédiaire du magazine LaLa et en France c’est Delcourt qui licencie ce one-shot en avril 2006. Le manga contient en réalité deux histoires, deux parties : Magic, qui se déroule dans un futur indéterminé et où la jeune Kana revient avec son tuteur sur la planète où elle fut, enfant, l'unique rescapée du crash dont sa mère -un célèbre mannequin- et elle furent victimes. D'étranges phénomènes ne tardent pas à se produire… Et vient ensuite la seconde histoire, Silent : De nos jours, Aoi, une lycéenne, est amoureuse de Midori, un garçon d'un an son cadet. Mais elle ignore qu'en dehors des heures de cours, celui-ci abat les chefs d'un gang de yakuzas, les uns après les autres…
 
 
Personnages:

Tsuyoshi Maki



Commissaire dirigeant l’équipe du laboratoire d’investigation n°9, c’est un jeune homme de petite taille, très fin et au visage efféminé ce qui, la plupart du temps, renvoie une image fragile aux autres, qui ne le prennent pas au sérieux. Mais ceux-là se rendront bien vite compte de leur énorme erreur, tant le charisme et le regard de glace de Maki sont écrasants et imposent silence et respect. Malgré son air figé, presque insensible, c’est un homme plein de mystères et de regrets qui, au fond de lui, a vécu bien plus de choses que les gens qu’il rencontre. C’est sans aucun doute ses désagréables expériences qui le rendent aussi méfiant du monde extérieur, de façon à se protéger d’une autre cruelle déception. On parlerait bien de sa vie privée, seulement Maki n’en a absolument aucune et se contente de vivre pour son travail, en y jetant ses valeurs et son sens de la justice. Personnage très fin et doté d’une grande intelligence, c’est sans contexte de par l’intérêt qu’il suscite le « héros » de la série. Enfin, notons que s’il parait gérer avec force et facilité ses responsabilités et le poids de son travail et de l’équipe qu’il dirige, Maki reste parfois très enfantin, susceptible et très difficile au réveil. La dernière chose à dire, peut-être, c’est qu’après un premier contact surprenant il s’impose souvent pour ses subordonnés comme un modèle à suivre et un idéal à rechercher.


Ikko Aoki



Second personnage le plus important de l’histoire, Aoki est un tout nouvel inspecteur fraichement débarqué au laboratoire et avec autant de naïveté que de détermination face à son nouveau travail, qu’il ne comprend pas forcément bien dans les premiers temps. Il mettra du temps à se faire à la logique de la cellule d’enquête mais son avis extérieur et protégé de la routine et de l’habitude rendent son jugement souvent pertinent. D’autant que c’est un personnage plein de fraicheur, débarrassé de tout vice et de toute part de noirceur au début de l’œuvre. C’est avant tout un protagoniste qui va monter en puissance, en passant de l’inutile sous-fifre vivant dans un monde bisounours à l’inspecteur sensible, engagé et déterminé à tout faire pour résoudre une enquête. Etonnamment, et dans deux genres pourtant totalement différents, Ikko et son supérieur Maki se ressemblent beaucoup, le commissaire ayant connu cette fougue et cet espoir, ces croyances qu’il retrouve au contact d’un si empressé subordonné. C’est peu à peu que l’on en apprendra plus sur Aoki, sur ses sentiments qui naissent facilement mais qui perdurent avec beaucoup de force et de sincérité. Personnage qui ne connait pas la demi-mesure, c’est sans aucun doute la figure la plus attachante du manga, nous apportant une fraicheur et une légèreté souvent bienvenues dans les approches des terribles affaires qui se présentent pour ce laboratoire n°9.


Yasufumi Okabe




C’est l’un des inspecteurs le plus important de la série, après Ikko. On en apprend peu sur Okabe en début de série et il parait être un personnage un peu trop secondaire, fait pour l’humour un peu grossier, essentiellement le comique de situation, et la confiance aveugle en son chef. Pourtant, un tome revient en arrière, à l’époque où Okabe a intégré la cellule d’enquête, et c’est alors un brillant policier que l’on découvre, réfractaire en premier lieu à cette méthode d’investigation et plutôt opposant à Maki et son caractère qui ne lui correspond que peu. Il est alors intéressant de découvrir le personnage sous un autre angle, avec plus de profondeur et un passé qui explique sa présente admiration pour le commissaire. On découvre également qu’Okabe, derrière ses airs bourrus, est un grand sensible, simplement un peu maladroit. Il se fait souvent charrier par ses collègues mais au fond, c’est un homme de confiance, dévoué et rempli d’une fidélité à toute épreuve.


Yukiko Miyoshi



Le « docteur » Miyoshi est sans doute le médecin légiste le plus compétent du département de la police criminelle, et travaille parfois avec le laboratoire n°9, bon gré mal gré puisqu’il existe entre Maki et elle une sorte d’antipathie incroyable. En effet, les deux jeunes gens ont le même caractère dominateur et excessif, et leur passé commun ainsi que le drame qui les unit n’est pas pour arranger les choses entre eux, la situation pouvant être tantôt très calme tantôt électrique. C’est une jeune femme froide, sans aucun dégoût pour la mort, et ses cadavres sont réellement bien traités tant elle aime à s’appliquer à les disséquer. C’est sans doute ce qui la rend aussi performante, avec son ego et sa fierté face à la réussite. Sans doute aussi son désir de s’imposer y est-il pour quelque chose, toujours est-il que c’est un personnage fort de la série, car toujours pertinente dans ses apparitions. Elle va très vite se lier à Ikko, alors qu’elle le prend au début pour un simple d’esprit, et appréciera en lui cette naïveté, cette volonté de plaire et les efforts quotidiens qu’il fait pour la séduire. Tout ce qu’elle n’a plus, l’insouciance et la spontanéité qu’elle a perdue il y a quelques temps dans le même tragique accident de vie que Maki. Yukiko a également un potentiel émouvant intéressant, de par la fierté qu’elle met à ne pas se laisser atteindre. Ce qui fait que lorsque c’est le cas, le résultat est d’autant plus prenant.


Katsuhiro Suzuki



Pas grand-chose à dire sur ce personnage, si ce n’est qu’il n’a d’importance que par procuration. En effet, Suzuki est le meilleur ami de Maki et son collègue dans le difficile travail du laboratoire. Il est également la raison du mal être de ce dernier et de l’attitude méfiante, renfermée et blessée du docteur Miyoshi. Sur lui, on n’apprend pas grand-chose à part un fragment de sa personnalité : il est bon, généreux, le sourire pendu aux lèvres et de naturel bon vivant. Mais il se montre également naïf, influençable et fragile d’esprit devant l’horreur que la réalité d’un travail harassant psychologiquement parlant va lui faire découvrir. Régulièrement, son nom revient dans la série, essentiellement parce qu’il rappelle à Maki son existence par les traits d’Ikko, qui dans son caractère et son allure lui ressemble. On aurait sans doute aimé mieux connaitre cet homme, parti trop tôt mais dont le souvenir hante encore pour longtemps les esprits des premiers inspecteurs du laboratoire n°9.
 
 

HIMITSU © 2001 by Reiko Shimizu/HAKUSENSHA Inc.

Commentaires

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Einah

De Einah [4313 Pts], le 10 Novembre 2012 à 11h51

C'est vraiment une série qui m'attire. Je vais scrupter les ventes dans le monde de l'occasion quand tous les tomes seront sortis.

Sana

De Sana [61 Pts], le 29 Mars 2011 à 21h51

19/20

Merci pour ce dossier NiD ! Ca résume magnifiquement toute la beauté et la profondeur de cette excellente série (et le tout sans rien spoiler, ça c'est très fort!). The Top Secret parvient à nous captiver de bout en bout, tant par son scénario dérangeant que par ses personnages charismatiques ou les dessins qui servent à merveille le récit. J'espère que ton dossier donnera à ceux qui ne la connaissent pas la série l'envie de la commencer !

Sinon, un détail XD

"On parlerait bien de sa vie privée, seulement Maki n’en a absolument aucune"

Pas tout à fait vrai, il en a une, sisi ! ^^ C'est un passage court en effet, mais il y a quand même un moment (peut-être même que c'est dans un bonus de fin de tome...) où on le voit coucher (rien d'explicite, bien sûr) avec quelqu'un (fille ? garçon ?) et se faire bander les yeux parce qu'il "ne veut rien voir". Eh oui, coquin de Maki, il nous en cache des trucs.

mangashojo

De mangashojo [2558 Pts], le 26 Mars 2011 à 18h55

19/20

j'ai bien aimé le dossier bien realise par nid . je ne connaissais  pas ce manga et aussi animation .si un jour il passe à la télé je regarderai un episode pour voir .

jojo81

De jojo81 [7203 Pts], le 26 Mars 2011 à 02h23

19/20

Excellent dossier NiD !

J'espère qu'il va amener des lecteurs à se pencher sur The Top Secret et sur l'ensemble des oeuvres de l'auteure.

Kartaj

De Kartaj [0 Pts], le 25 Mars 2011 à 19h34

20/20

Cette série vaut largement le détour ! La première histoire du 1er volume n’est pas très attrayante, mais c’est après que la série devient captivante, et gagne en intérêt au fil des volumes. On s’attache très vite aux personnages principaux, et même aux personnages plutôt secondaires, et les enquêtes résolues sont passionnantes et poignantes par la véracité de la nature humaine mise en perspective. On se plait à lire les dialogues, tantôt drôles, tantôt poignants. En bref, lisez cette série, ça vaut vraiment le coup ! ;)

(Et puis les pages en couleur au début du tome compensent le prix…)  =)

Tsukinohime

De Tsukinohime [1101 Pts], le 25 Mars 2011 à 13h42

18/20

Je n'ai pas encore beaucoup de tome (4 je croit) mais cette série vaut largement le détour, ne connaissant pas l'auteur j'ai été agréablement surprise.

D'excelente enquête, parfois tordues mais originales et c'est ce que j'ai le plus apprécié jusqu'a présent.

Très beau, surtout les pages couleurs en débuts de tome, sublime.

Le prix est peut-etre trop élevé pour certain ^^''

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