Infirmerie aprés les cours (l')

j'ai lu les 4 tomes de la série et on peut le dire: c'est une exellante série. 

j'ai hate d'avoir les prochains tomes en main .... 

Ce manga est un shojo génial je n'ai que les cinqs premiers (dommage) j'ai hâte d'avoir la suite,j'achete d'occasion sur les brocantes donc c'est dur a trouver ^^

Pour les fan de setona ou pour les fan de shojo original voir même original tous court je le consiel vivement c'est vraiment approfondit rechercher et très bon

Cette série est surement un des premiers shojo que j'ai lu qui m'a autant tenu en haleine (après Nana ^^)!

Son intrigue de base, avec cette personne a double sexe, était tellement peu commune déjà, m'avais énormément plu. Ensuite voir les personnages principales, ayant chacun une personnalité bien définie, évolué, mentalement et physiquement a fait que le manga a évolué rapidement, en sachant nous donner envie jusqu'au tome 10. De plus graphiquement, j'adore les couverture, et de manière générale le graphisme de l'auteur, qui sais passer de scènes très douces et féminine, à des ambiances plus sombres et parfois même angoissantes. Il faut aussi souligner le dernier volume de ce titre qui fait complètement changer la vue d'ensemble de l'histoire et qui accentu la complexité du scénario développé par l'auteur.

C'est donc un super shojo cours, qui je trouve a des tendances seinen!

Après ma lecture du Jeu du chat et de souris, c'est avec beaucoup d'intérêt que j'ai poursuivi ma découverte de l'œuvre de Setona Mizushiro par cette énigmatique série. L'auteur parvient dès les premières pages à insuffler son style très personnel, introduisant des personnages complexes dans une atmosphère dérangeante, toujours à la frontière du fantastique. L'intrigue de L'infirmerie après les cours m'a tenu en haleine, particulièrement sur les 5 premiers tomes, et la révélation finale permet de considérer l'histoire sous un autre angle, bien qu'il paraisse évident dès le départ que la situation de ces lycéens n'est pas tout à fait normale. Petit bémol, le rythme a tendance à ralentir un peu entre les tomes 6 et 8 et les tergiversations amoureuses du héro / héroïne n'y sont étrangères, donnant lieu aux chapitres les plus Shojo d'une d'œuvre pourtant très largement éloignée des codes du genre. Malgré cela, l'ensemble reste intelligent, addictif et très bien ficelé. Mizushiro évoque à plusieurs reprises ses difficultés à faire accepter son scénario et on comprend aisément pourquoi au regard de l'originalité de son histoire. Enfin, son dessin assez singulier lui aussi, cadre bien avec l'ambigüité sexuelle de Mashiro, tout aussi crédible en garçon qu'en fille. Le petit défaut au niveau des oreilles qui m'avait un peu gêné dans le Jeu du chat... est ici moins présent, à moins que j'ai été trop embarquée dans l'histoire pour le remarquer...