Crazy Zoo - Actualité manga
Dossier manga - Crazy Zoo
Lecteurs
16/20

Que le zoo Ômagadoki ouvre ses portes !


Hana Aoi est une lycéenne pas bien dégourdie, mais qui ne demande qu’à faire ses preuves. Sa passion ? Les animaux, et c’est pourquoi elle trouve un petit boulot de gardienne d’un zoo un peu reculé et qui ne côtoie pas vraiment le succès.

Rapidement, Hana se rend compte de l’endroit délirant où elle a atterri. Le directeur, Shîna, est un homme-lapin qui a été affecté par une malédiction le transformant en animal, et la seule manière de le libérer est de donner une grande popularité à son établissement, afin de prouver son respect de la faune. Et outre son apparence pour le moins singulière, Shîna a un pouvoir. En crachant de la fumée de sa carotte-cigare sur ses compagnons animaliers, ces derniers se transforment en créatures mi-animales, mi-humaines, dotées de parole, mais conservant des facultés propres à leur espèce. Sans le savoir, Hana s’est lancée dans une drôle d’aventure, mais a aussi rencontré des individus incroyables !

Toutefois, est-ce que le zoo Ômagadoki est le seul établissement à présenter un directeur victime de malédiction de la nature ? Quelle est l’origine même de ce fléau ?



Le monde fou du zoo Ômagadoki



Le directeur, Shîna :

Jeune garçon transformé en lapin suite à une malédiction, Shîna est un être désinvolte dont la seule politique est de s’amuser, raison pour laquelle il invoque, grâce à la fumée de son cigare, tous ses amis à forme humanoïde. La nuit tombée, le zoo Ômagadoki devient donc un immense terrain d’amusement. C’est aussi dans cette optique que Shîna ne délaisse jamais un de ses compagnons : C’est grâce à eux qu’il peut s’amuser et si l’un d’entre eux disparaît, ce n’est pas marrant.
La malédiction de Shîna le dote d’une très grande force physique et d’aptitudes remarquables qui lui permettent de rivaliser avec les autres animaux hybrides. Lui-même ne connaît pas l’étendue de ses pouvoirs, et c’est au compte-gouttes qu’il les découvrira.


La gardienne, Hana Aoi :

La maladresse de Hana en fait un boulet souvent mal perçu de ses camarades de classe, raison pour laquelle la demoiselle cherche à se reprendre en main en assume le petit boulot de gardienne du zoo Ômagadoki. La naïveté de Hana ne fera qu’accroître sa surprise lorsqu’elle découvrira la vraie nature de son employeur et des animaux qui peuplent l’établissement. Puis elle s’attachera à ses nouveaux compagnons et se dépassera en tant que gardienne, considérant les bêtes du zoo comme des amis plus que des animaux.
Petit à petit, Hana gagnera en courage. Sa condition de simple humaine ne lui permet pas d’agir au même titre que les animaux durant leurs aventures, mais sa présence est sans doute aucuns un soutien moral implacable pour Shîna et ses bêtes.


Le lion, Shishido :

Le lion a pour particularité d’être considéré comme le « roi de la jungle », tout ce qu’aimerait être cette tête brûlée de Shishido. Seulement, il n’est qu’un camarade du zoo parmi les autres et le chef est et restera Shîna, raison pour laquelle le jeune lion le verra d’abord comme un ennemi à abattre. Seulement, la psychologie de la bête évoluera grandement et Shishido prêtera volontiers sa force lors de différentes péripéties. Plus encore, sa force sera un atout indéniable lorsque le zoo Ômagadoki se frottera à de redoutables menaces venues d’autres établissements…


Le serpent, Uwabami :

La forme humanoïde du serpent est pour le moins la plus étonnante puisque Uwabami prend la forme d’une demoiselle aux allures très adultes de femme fatale. Hana la compare à une actrice hollywoodienne, un compliment que l’on doit à la proximité entre les deux personnages qui représentent les deux seuls éléments féminins de la série.
Uwabami ne possède pas la force physique qui lui permet d’affronter des adversaires colossaux. En revanche, elle est dotée d’autres facultés qui lui permettront de briller durant les deux derniers opus de la série.


Le guépard, Chita :

Etant un guépard, Chita a la réputation de courir très vite. Seulement, depuis que Shîna lui a donné une forme humanoïde, Chita ne cesse de buller à tel point qu’il a pris beaucoup de poids. Pour remédier à cela, Hana attise une rivalité entre les deux créatures qui finissent par s’adonner à une compétition sur forme de sprint. C’est à cet instant que le guépard retrouvera quelques semblants d’instincts sauvages et participera aux futures aventures.
Derrière le nom du personnage se cache un jeu de mots : Cheetah signifie « guépard » en anglais, et Chita est le nom d’une presqu’île dans le département d’Aichi, là où est né le mangaka.


Et les autres…



Le directeur de l’aquarium, Isana :

A l’instar de Shîna, Isana est un humain qui fut maudit pour son comportement envers la nature, modifiant son apparence et lui donnant le pouvoir d’ensorceler les créatures marines. A la manière de Shîna qui créa le zoo Ômagadoki, Isana fonda l’aquarium Ushimitsudoki. Mais contrairement à l’homme-lapin, Isana est quelqu’un d’impitoyable qui ne considère pas les animaux de son établissement comme des compagnons, mais simplement comme des subalternes qui doivent se plier à ses désirs. Dans ce climat, Isana commettra l’irréparable et provoquera un conflit entre les deux parcs animaliers.


L’orque de l’aquarium, Sakamata :

Véritable bras droit d’Isana, le directeur de l’aquarium, Sakamata offrira le premier contact avec le zoo Ômagadoki, ce qui marquera le début des hostilités entre les deux camps. Sakamata apparaît d’abord comme un être calme et réfléchi, mais il est en réalité l’une des créatures les plus redoutables du parc aquatique. Il cache ainsi son véritable tempérament qui fait de lui un adversaire à ne pas sous-estimer.
  
  
  

OUMAGADOKI DOBUTSUEN © 2010 by Kohei Horikoshi/SHUEISHA

Commentaires

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FinalMangaka

De FinalMangaka [759 Pts], le 31 Mars 2015 à 18h29

Si sa deuxième série arrive chez nous, la déception des fans sera encore plus grande !
J'ai découvert Sensei no Bulge dans les pages d'un Jump qu'on m'a offert, et après l'avoir lu sur le net, je suis tombé amoureux de cet auteur, tristement boudé du lectorat japonais.
Ses deux premières oeuvres cherchent l'originalité mais n'ont pas plu, et le plus triste c'est que comme pour Crazy Zoo, on sent l'ambition et le potentiel énorme de ses intrigues... Fort heureusement Boku no Hero a trouvé son public !

Karakuri

De Karakuri [3196 Pts], le 29 Mars 2015 à 16h43

16/20

J'ai lâché ce manga au tome 2 ou 3, c'était trop superficiel, trop prévisible et trop banal niveau dessins. J'ai eu l'impression de l'avoir déjà lue, malgré l'idée des animaux qui est ce qui m'a attiré au début.

Mais le dossier est bon. Cependant il me confirme que je ne redonnerai pas de chance à cette série si c'est pour avoir un truc à moitié inachevé.

Je déteste le Shônen Jump pour ça. En plus d'avoir de séries de moins en moins originales, ils en vendangent la moitié faute de popularité.

 

Désormais j'évite les séries du Shônen Jump dont je hais la mentalité.

Takato

De Takato [1931 Pts], le 29 Mars 2015 à 10h49

C'est malheureusement une réalité qu'on ne peut ne pas traiter quand on aborde ce genre de série. Surtout quand celles-ci sont bourrées de qualité, comme ce fut le cas pour Crazy Zoo.

Daigo

De Daigo [917 Pts], le 28 Mars 2015 à 21h09

16/20

C'est la première fois que je dis ça d'un dossier, mais cette lecture a quelque chose de déprimant!

Dure réalité, pour les manga qui ne trouvent pas leur public... J'hésite à me lancer

à cause des bastons/histoire pas réellement terminée.

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