Saga Tales of - partie 6: Les cas Zestiria et Berseria - Actualité manga
Dossier manga - Saga Tales of - partie 6: Les cas Zestiria et Berseria
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19/20

Le cas Tales of Berseria


Après un très mauvais retour de la saga, il fallait que celle-ci reparte sur de bonnes bases. Et quand on vous annonce que Tales of Berseria sera une sorte de prequel à Tales of Zestiria... ça part mal. Ce Berseria en tout cas est sorti en 2016 sur PS3 et PS4 au Japon, et uniquement sur PS4 en Europe.





Tales of Berseria nous raconte l'histoire de Velvet, une jeune femme qui vit seule avec son beau-frère, Artorius, et son petit frère de constitution fragile, Laphicet. Leur monde est envahi par une sorte de maladie étrange, de la malveillance qui transforme les humains en monstres. Un jour, c'est au tour du village de Velvet d'être assailli par la malveillance, et elle perdra tout ce qu'elle a en une seule nuit. Après avoir passé trois années emprisonnées, à se nourrir de la malveillance des autres, elle démarrera sa quête de vengeance envers celui qui lui a tout pris : Artorius. Et pour cela, elle n'hésitera pas à se salir les mains, car rien ni personne ne se mettra en travers de sa route.

Contrairement à de nombreux Tales of, ici notre héroïne est une véritable anti-héroïne. On est loin du simple bad boy qu'était Yuri. Velvet n'hésitera pas à tuer et à se débarrasser ceux qui la gênent. Elle ne s’embarrasse pas de bons sentiments, seul son objectif compte : tuer Artorius. Bien qu'il soit celui qui a amené une certaine paix dans le monde, qu'il gère ceux chargés de la protection humaine, il semble malgré tout avoir quelques pratiques assez douteuses, et il n'hésitera pas à faire face à Velvet quand celle-ci s'opposera frontalement à lui. Chose qu'elle ne manquera pas de faire assez rapidement. Une fois le sacrifice de Laphicet exécuté, l'homme semble s'être paré d'un masque de froideur, tout comme son ennemie jurée, qui se réchauffera petit à petit aux côtés de ses compagnons de route, et notamment le jeune Laphi, un Malak ressemblant beaucoup à son frère décédé, qu'elle a enlevé à un des exorcistes d'Artorius. On devine rapidement qu'il y aura un lien entre ce dernier et son frère, car il va rapidement révéler des facultés bien utiles pour notre groupe. Ce groupe est d'ailleurs composé de personnages aussi charismatiques que drôles, qui se battent chacun pour des objectifs plus ou moins discutables. Dans cet opus, notre sens de la morale est souvent secoué, et je dois avouer que cela fait du bien. Dans une série qui avait toujours montré un certain manichéisme, ici on le laisse un peu de côté pour suivre des personnages qui ont avant tout des objectifs purement égoïstes. Et ça fait du bien, qu'un Tales of nous bouscule un peu. Je vous rassure, on est loin de quelque chose de vraiment dérangeant, disons plutôt qu'il nous pousse un peu dans nos retranchements. L'histoire, et surtout ses personnages sont le point fort de ce Tales, et c'est une vraie bouffée d'air frais dans la série, mais surtout en comparaison de ce que nous avait offert le précédent opus, si fade de ce côté-là.

Niveau gameplay, on se débarrasse du système assez bancal de fusion avec les séraphins de l'opus précédent, on met de côté cette caméra atroce et ces donjons couloirs pour garder le côté dynamique que celui-ci avait. On peut diviser les artes de nos personnages en quatre séries  qui se déclenchent en cascade en fonction de nos combos. Les mystic artes arrivent rapidement dans la partie, se déclenchent facilement, et on dispose également d'attaques intermédiaires qui nous permettent de mettre un peu de rythme et surtout de pouvoir prendre l'avantage dans un combat désavantagé. On garde le système astucieux de faiblesse du précédent opus qui nous demande de jongler souvent avec nos artes, mais également entre nos personnages.  D'ailleurs, même ce changement est optimisé, déclenchant une petite attaque spéciale quand on change un personnage pendant le combat, sachant que cette n'est possible que quand la jauge de hors limite est pleine jusqu'à à un certain point. Les combats sont globalement moins brouillons, plus techniques (sauf peut-être quand on manipule Velvet, qui est personnage extrêmement bourrin). Les personnages sont assez équilibrés entre eux, et il est facile de se passer de l'un ou l'autre, car les autres rempliront rapidement le trou. Les personnages sont assez polyvalents et c'est une chose vraiment appréciable.





On peut compter quelques petits mini-jeux tous le long du jeu (je suis devenu totalement accro au jeu de carte sur la licence) et aussi un moyen assez simple de gagner des cosmétiques : collecter des âmes de Minouz et trouver les coffres. On rajoute à cela les expéditions qui vont nous permettre de débloquer des recettes, des objets spéciaux, des compétences. Tout cela en parfaite cohérence avec les personnages et leurs fonctions, autant dire une jolie trouvaille.

En revanche, je trouve assez confus le système de compétences, et surtout tout ce qui concerne les équipements. Je n'ai rien compris à la véritable utilité de ce que l'on fait avec, et il m'a fallu plusieurs heures pour comprendre qu'il me serait assez utile de démanteler les innombrables armes que j'avais pour acquérir des matériaux pour les améliorer. Bref, un système qu'il faudrait soit simplifier, soit rendre plus clair dans le prochain (après, à vous de voir, peut-être que c'est moi qui n'ai pas bien compris...).

Le jeu est également très beau. Contrairement à Zestiria qui était assez brouillon pas moment, Berseria est vraiment net, très coloré malgré son côté assez sombre. Les personnages sont bien modélisés et vraiment agréables à regarder. Cela me rappelait le soin qui avait été apporté à Vesperia, ce bon vieux temps ou il était encore à utiliser la technique du cel-shading. Bien sûr, on est loin de jeux très réalistes plus occidentaux, dont les détails nous rendent fous, mais un beau jeu stylisé est parfois aussi bien. On pourra regretter un certain manque d'inspiration pour quelques environnements, et une caméra qui fait un peu la folle par moment, mais rien de bien méchant. Bref, ce jeu est aussi beau que techniquement efficace. À se demander si Tales of Zestiria n'était pas une sorte de brouillon pour arriver à cet opus.

D'ailleurs, excepté la présence d'Eizen, le frère d'Edna, et celle de Zaveid, les univers n'ont pas grand-chose en commun. À croire que ce sont des univers parallèles. On aurait pu penser qu'il y aurait plus de lien entre eux, plus de références... La seule référence qui nous fait vraiment plaisir, c'est finalement le fait qu'Aifread existe pour de bon dans cet univers, et qu'il ait un visage. Et qu'il ne soit pas juste une vague légende qui amène à des quêtes annexes sympathiques.





Après... Je vais être honnête avec vous... Je n'ai pas réussi à vraiment accrocher à ce jeu. Sans doute parce que je ne l'ai pas fait d'une traite, comme bien d'autres avant lui. Je l'ai arrêté plusieurs fois, pour faire les Trails of Cold Steel 1 et 2, pour faire Persona 5 Royal (parce que je suis faible...!), parce que dans ma vie privée les événements m'ont empêché de me replonger à fond dans un jeu... du coup, bien que je voie toutes les qualités de ce jeu... La sauce n'a pas pris. Bien que j'aime les visuels, la bande son, le fait qu'on ait les voix japonaises, les minis jeux, et surtout le castings de personnages très charismatiques... J'ai beaucoup apprécié le début de l'histoire, ce côté assez dark du scénario, que l'on donne aux personnages. J'ai trouvé ces choix audacieux, tout en étant assez sûr pour rester cohérent avec la série, et surtout efficace. Et qu'est-ce que j'apprécie l'humour dans cet opus, avec notre Magilou nationale ! Mais la sauce n'a pas pris sur la durée. Que voulez-vous, c'est dur de passer après un Persona 5 Royal.

Bien que, comme le précédent, je n'ai pas pu apprécier Tales of Berseria à sa juste valeur, pour diverses raisons, autant personnelles que conjoncturelles, ce jeu est nettement supérieur que son prédécesseur. Et cil est surtout ce qu'aurait du être Tales of Zestiria à la base. Un jeu qui respecte les codes de la série, tout en les tordant assez pour être intéressant, autant en termes d'histoire qu'en termes de gameplay. Bref, Tales of Berseria est un bon renouveau après le petit accident de l'épisode précédent.
  
  


Commentaires

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Manga-News

De Manga-News [3732 Pts], le 18 Février 2021 à 11h36

@kelma : j'ai corrigé la plupart des fautes. merci 

Kelma

De Kelma, le 18 Février 2021 à 07h15

19/20

Merci pour ce dossier intégral.

Très instructif pour le novice que je suis !!

Je viens de prendre Vesperia sur PS4 et je vais m'y mettre.

Dommage par contre pour les coquilles et les mots manquant dans le texte tout au long du dossier...

Mais bon, c'est chaud d'écrire autant sur un sujet aussi d nse.

Merci en tout cas.

Voq

De Voq [677 Pts], le 08 Août 2020 à 18h06

C'est vrai que l'appréciation qu'on a d'un jeu peut dépendre des circonstances dans lesquelles on l'aborde. De mon côté, quand j'ai joué à Tales Of Zestiria, je ne connaissais pas beaucoup la saga (enfin, je connaissais les noms des jeux, mais je n'avais joué qu'à Tales Of Graces f, Tales Of Xillia et le début de Tales Of Xillia 2), cela faisait quelques années que je n'y avais pas touché, et même plusieurs mois que je ne m'étais pas attelé à un RPG... D'ailleurs, un des derniers auxquels j'avais joué était Dragon Quest VI, d'un vide abyssal côté histoire et personnages, alors forcément, Tales Of Zestiria me paraissait ultra riche et vivant en comparaison ^^
Rétrospectivement, je dois reconnaître que son histoire ne m'a pas laissé un souvenir impérissable, mais sur le coup elle était amplement suffisante pour que j'aie envie d'en voir le bout (une fin que je me rappelle avoir trouvé assez expéditive), et je m'étais facilement attaché aux personnages. En parlant des persos, j'ai aussi trouvé Rose beaucoup plus intéressante qu'Alisha ; quant au DLC, étant donné que je joue exclusivement hors ligne, je ne savais même pas qu'il existait avant de finir le jeu, et je n'ai pas cherché à en savoir plus ensuite.
Côté combats, la caméra avait tendance à se montrer capricieuse dans les espaces trop étroits, mais en dehors de cela la prise en main me convenait très bien.
Et côté environnements, il y a bien une paire de secteurs qui m'ont paru inutilement vastes, en revanche je serais bien incapable de donner un avis sur les donjons de type ruines, qui ne m'ont pas marqué durablement, que ce soit en bien ou en mal. Et visuellement, j'y ai joué sur PS4, rien d'extraordinaire mais ça m'a paru plutôt correct.
Au fond, ce que je considère comme le plus gros point noir du jeu, c'est le nombre d'allers-retours à effectuer tant pour la quête principale que les quêtes annexes. Il y a bien un système de téléportation qui aurait pu contourner le problème, mais il est payant avec des tarifs prohibitifs... Et en fin de compte, faire ces longs trajets à pied m'aura été bénéfique pour la suite, puisque je profitais des zones déjà explorées pour monter le niveau de difficulté, débloquant ainsi les modes « intense » puis « chaos ».  Et en mode chaos, même les ennemis faiblards lâchent du butin intéressant, de quoi améliorer considérablement l'équipement, au bout d'un moment j'en restais en difficulté intense pour progresser dans l'aventure et explorer de nouveaux secteurs / donjons. Quant au boss de fin, je l'ai effectivement trouvé un peu dur en intense, alors je suis revenu « seulement » en difficile pour le battre sans trop me casser la tête, mais je dois dire que ça m'a surpris plus tard quand j'ai entendu mon frère dire qu'il était dur au point de ne pas finir le jeu, je constate maintenant qu'il n'était pas seul ;-) En tout cas, je l'ai trouvé autrement plus accessible que les boss des donjons optionnels qu'on débloque en terminant le jeu : là, même en revenant en difficulté normale ils me laminaient... Ou pour comparer avec Tales Of Berseria, il était beaucoup plus accessible que la forme ultime d'Artorius (quand on retourne le battre après la scène du bain).

Enfin bref, ce Zestiria a ses défauts, et si j'y avais joué dans d'autres circonstances je n'aurais peut-être pas autant adhéré, mais en l'état j'étais très satisfait du jeu, et puisque Berseria en est une préquelle, ça m'a pas mal motivé pour m'y mettre aussi (sans compter le petit teasing in-game, avec des PNJ qui évoquent cette époque lointaine...). Bon, dans les faits il m'a fallu pas mal de temps pour me lancer réellement : quelques jeux hors RPG, une période creuse où je n'ai quasi pas touché à mes consoles, puis de trèèès nombreuses heures passées sur Trails Of Cold Steel I et II, puis l'acquisition d'une Switch... au final ça m'aura pris un peu plus d'un an, mais confinement aidant, j'ai fait Tales Of Berseria il y a quelques mois.
Alors déjà, concernant l'aspect préquelle, les deux histoires sont certes assez distantes, mais les liens entre les deux univers ne se limitent pas à Eizen et Zaveid (et le chat ! son nom ne me revient pas pour le moment). Bien que les événements de Berseria donnent par la suite lieu à des changements drastiques de la map (il est dit clairement, vers la fin du jeu, qu'il suffira de quelques siècles pour assister à des changements qui auraient dû prendre infiniment plus de temps), on peut noter quelques lieux en commun : le trône d'Artorius, la tour des exorcistes qui se retrouvera en ruines dans le désert, ou encore l'île maudite (mais si je ne me trompe pas, dans Zestiria on n'y accède qu'après avoir terminé le jeu). On a également les relations entre humains et malaks, la légende du « Berger », l'armatisation qui trouve ses prémices dans Berseria... D'accord, on peut prendre les deux jeux indépendamment l'un de l'autre, il n'empêche que Tales Of Berseria est bien plus pertinent en tant que préquelle de Tales Of Zestiria que Tales Of Symphonia ne l'était par rapport à Tales Of Phantasia.
Et dernier point concernant les liens entre les deux épisodes : information à prendre avec des pincettes (c'est du ouï-dire, je n'ai pas trouvé de confirmation officielle), mais il se pourrait que le personnage de Lailah n'apparaisse pas dans Berseria à cause du décès de sa doubleuse japonaise (quand je dis que je n'ai pas trouvé de confirmation, je ne parle pas du décès mais du fait que Lailah aurait dû apparaître dans Berseria).

Et maintenant, concernant Tales Of Berseria lui-même.
Effectivement, son gros point fort, c'est ses protagonistes très éloignés des héros altruistes habituels, sur le long terme il y a des chances pour que je me souvienne mieux d'eux que des personnages des autres Tales Of auxquels j'ai joué.
Côté combats, en revanche, j'avais pris plus de plaisir à manier Zestiria que celui-ci, où le système d'âmes est souvent source de frustration puisqu'à moins de 3 on devient carrément impotent (combien de fois j'ai eu envie de hurler sur les alliés qui venaient donner le coup de grâce à un ennemi que je combattais tout seul dans mon coin !). Après, je dois reconnaître, ça vient aussi de ma façon de jouer puisqu'au niveau du choix des personnages, je suis du genre monomaniaque. Ou disons plutôt que ça ne me paraît pas naturel de changer régulièrement de perso contrôlé. Si je dois contrôler une équipe, pas de souci... si j'ai du tour par tour. Sinon, on m'a attribué un personnage au début du jeu que j'ai appris à manier, je m'y tiens ; contrôler les autres personnages, pour moi, c'est un peu comme tout ce qui est cosmétique, c'est juste du bonus à tester en new game + (si un jour j'attaque un new game +, avec tous les autres jeux que j'ai en attente, mais ça c'est une autre histoire). Et même, j'éliminerais d'office les lanceurs de sorts, soit la moitié de l'équipe !
Côté mini-jeux : le système d'expéditions était sympa, mais pour ce qui est des « vrais » mini-jeux, je n'ai pas du tout accroché. Je ne suis même pas certain de les avoir tous testés, mais à chaque fois, après le premier essai, je passais mon chemin. Enfin, ça n'a aucune incidence sur le reste du jeu, donc je faisais simplement comme s'ils n'existaient pas.
Et côté amélioration des équipements : pour moi, c'est loin d'être incompréhensible (il me semble que c'était expliqué de façon assez claire au début du jeu, mais c'est sûr que si on interrompt longuement sa partie, ça doit être dur de s'y retrouver ^^), mais ça devient très lourd au bout d'un moment : une fois qu'on a pas mal avancé, il faut améliorer un équipement dont on ne se sert pas afin de le démanteler et récupérer des matériaux, on s'en sert pour améliorer davantage une autre pièce d'équipement qu'on va à son tour démanteler, et parfois encore une ou deux fois (opération à multiplier par le nombre de matériaux requis !) avant d'enfin obtenir ce dont on a besoin pour améliorer l'équipement qu'on veut utiliser. J'avais déjà l'impression de n'avoir fait que survoler le système d'équipement de Zestiria malgré le temps que j'y ai passé, là il faudrait bientôt passer plus de temps à gérer tout ça qu'à jouer ! Clairement à simplifier.

Enfin voilà. De mon point de vue, les deux jeux ont leurs défauts mais surtout des qualités suffisantes pour passer outre, et je dirais que je les ai appréciés autant l'un que l'autre, bien que pour des raisons différentes. D'ailleurs, concernant les Tales Of d'une manière générale (attention avis purement subjectif), je les placerais en deuxième position derrière Graces f (qui était mon premier jeu de la saga, donc j'ai peut-être tendance à l'idéaliser), sachant qu'outre les Xillia mentionnés plus haut, j'ai depuis joué aussi à Phantasia et Symphonia Chronicles (soit ToS, loin d'être aussi génial que j'ai pu l'entendre, et Dawn Of The New World, loin d'être aussi pourri que j'ai pu l'entendre). De mon côté, j'ai encore de quoi faire avant de m'inquiéter des opus jamais sortis du Japon ! Mon prochain sera certainement Vesperia, mais pas pour tout de suite : j'ai attaqué Trails Of Cold Steel III qui devrait m'occuper un sacré moment, puis j'aimerais passer à Kingdom Hearts et/ou Xenoblade Chronicles et/ou Persona 4 ou 5, et caser un ou deux non-RPG entre deux pour varier les plaisirs... avant la sortie de Trails Of Cold Steel IV qui pourrait bien monopoliser ma fin d'année vidéoludique.

Gutsberserker

De Gutsberserker [639 Pts], le 08 Août 2020 à 08h26

Tales of Z : à mon sens le plus mauvais tales of également, le seul que je n'ai jamais terminé avec mon frère... 

 

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KiRaestdejaprisevidement

De KiRaestdejaprisevidement, le 07 Août 2020 à 19h43

Commentaire pour la partie Zestiria uniquement.
Bonjour, il est fort regrettable de rédiger une critique sur un jeu dont l'on a, tout simplement, pas compris l'histoire. Vous auriez, peut être, pu laisser cela à quelqu'un de plus compétant dans ce domaine. Cela dit vous avez eu l'honnêteté de le dire, c'est donc apprécié à sa juste valeur. 

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