FACTS est ce que l’on peut considérer comme une convention à l’américaine. Non pas spécialisée sur un type de bande dessinée d’une quelconque nationalité comme Japan Expo ou la convention Asianim de Liège, mais sur un genre bien plus large: La science fiction.
Ce festival qui en est à sa 19ème édition regroupe comme son acronyme l’indique la Fantasy, l’Animation japonaise, le Comics US, le merchandising (les Toys) et la science-fiction (Space). Cette année, c’est toujours à Gand, dans le nord de la Belgique, que se tenait le festival. Mais le lieu à changé: c’est désormais le bâtiment très moderne du Flanders expo qui hébergeait sur plus de 8000m² la manifestation.
L’organisation de la convention était efficace, sans incident ni bousculade et accueillante sans être pressante. La seule difficulté résidait dans le fait de se faire comprendre en français. Le personnel d’encadrement étant essentiellement néerlandophone, une succincte connaissance du néerlandais ou de l’anglais s’avérait parfois utile. Heureusement, les annonces des débuts d’activités étaient faites dans les 2 langues.
Ci-dessous, le service de sécurité... un peu spécial non?
Ce festival qui en est à sa 19ème édition regroupe comme son acronyme l’indique la Fantasy, l’Animation japonaise, le Comics US, le merchandising (les Toys) et la science-fiction (Space). Cette année, c’est toujours à Gand, dans le nord de la Belgique, que se tenait le festival. Mais le lieu à changé: c’est désormais le bâtiment très moderne du Flanders expo qui hébergeait sur plus de 8000m² la manifestation.
Les premiers abords et le temps:
Pour qui n’est jamais venu à Gand, l’accès est assez facile jusqu’au Flanders expo. A la sortie de la gare on trouve immédiatement la ligne de tram 1 portant l’indication « flanders expo » et l’arrêt vous dépose à l’entrée du hall 3. Dés l’ouverture à 10h, une longue file de visiteurs s’étendait tout autour du Flanders expo pour rentrer dans les halls 3 et 5 du bâtiment et ce sous un ciel nuageux mais paisible (malgré les prévisions).
L’organisation de la convention était efficace, sans incident ni bousculade et accueillante sans être pressante. La seule difficulté résidait dans le fait de se faire comprendre en français. Le personnel d’encadrement étant essentiellement néerlandophone, une succincte connaissance du néerlandais ou de l’anglais s’avérait parfois utile. Heureusement, les annonces des débuts d’activités étaient faites dans les 2 langues.
Ci-dessous, le service de sécurité... un peu spécial non?
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