- Titre VO: 東京怪童
- Titre traduit: Tokyo Kaido
- Dessin: MOCHIZUKI Minetaro
- Scénario : MOCHIZUKI Minetaro
- Editeur VF : Lézard Noir (le)
- Type: Seinen
- Genre: Tranche-de-vie, Social
- Editeur VO: Kôdansha
- Prépublication: Morning
- Illustration: n&b
- Origine: Japon - 2008
Age conseillé
Dans Tokyo Kaido nous suivons la vie de quatre enfants et adolescents « hors normes », personnages atypiques et attachants.
Résumé
L’excentrique Dr Tamaki mène des recherches sur le cerveau. Hashi, 19 ans et demi, a un petit fragment de voiture qui est resté dans son cerveau suite à un accident, et depuis il ne peut s’empêcher de dire à voix haute tout ce qu’il ressent et tout ce qu’il pense. Hana, 21 ans, peut être soudainement prise d’un orgasme n’importe où, n’importe quand, et même en public. Le cerveau de Mari, 6 ans, ne perçoit pas les gens qui l’entourent, et elle vit dans un monde isolé où il n’y a aucun autre être humain à part elle. Hideo, 10 ans, dit avoir des “super pouvoirs”, et peut “entrer en contact avec les extra-terrestres”.
Video youtube
Les points forts de la série:
Entre drame et comédie loufoque baignée dans une atmosphère à la twin peaks, Mochizuki met en scène avec intelligence des êtres qui devront surmonter leurs particularités.
On retrouve avec bonheur la ligne graphique épurée et délicate de Minetaro Mochizuki.
On retrouve avec bonheur la ligne graphique épurée et délicate de Minetaro Mochizuki.
Dossier
Tokyo Kaido
«Notre but consiste à soigner et à apporter un soutien psychologique à de jeunes adolescents souffrant de troubles du cerveau.» Le docteur Tamaki travaille à la clinique Christiana qui propose les meilleurs traitements du cerveau. Tokyo Kaido se concentre sur celui-ci ainsi que sur ses...
Lire le dossier - Partie 1 - Partie 2 - Partie 3 - Mot de la fin
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De José, le 20 Juillet 2020 à 23h57
Très déçu, l'intrigue avait l'air pas mal, j'ai aimé l'originalité des personnage mais alors à part l'histoire de chaque personnage, le fil conducteur n'a aucun pu**** de sens !
J'ai lu les trois tomes et mon moment préféré à été celui de l'opération. Le personnage du gosse aux super pouvoirs c'est juste n'importe quoi et mon dieu ses mangas qu'il dessine, qu'elle plaie.
De raitto [2150 Pts], le 27 Décembre 2017 à 17h24
Un vrai plaisir de retouver Minetaro Mochizuki dans une histoire originale avec des personnages haut en couleur. J'ai aussi beaucoup apprécié les chapitres nous présentant les manga de Hashi et le dernier tome est tout simplement superbe.
De Mitsuko62 [3652 Pts], le 27 Décembre 2017 à 14h21
Pour ma part, j'ai eu davantage de difficultés à rentrer dans ce manga que dans Chiisakobé, peut-être parce que j'ai eu plus de mal à m'attacher aux personnages et notamment à Hashi. En effet, ce dernier nous est avant tout montré de façon extérieure, en train d'agresser presque perpétuellement ceux qui l'entourent et, bien que l'on comprenne qu'il ne le fait pas exprès et que lui-même en souffre, j'avoue m'être davantage positionnée du côté de la société que de ce personnage. Je ne sais pas, mais comme il est censé dire tout ce qu'il pense et ressent sans filtre, son agressivité quasi permanente m'a donné l'impression qu'il haïssait tout et tout le monde, même si sa psychologie est plus complexe que cela.
Après, je reconnais que les personnages sont extrêmement bien écrits dans la mesure où ils ne sont ni stéréotypés ni manichéens, quant au questionnement qu'ils soulèvent sur le fonctionnement des rapports sociaux, il est à la fois pertinent et intéressant. Minetaro Michizuki réussit également à donner à son manga une ambiance tout à fait singulière, même si celle-ci m'a parfois semblé oppressante (la forêt de cyprès, en particulier, finit par avoir quelque chose de pesant).
En revanche, j'ai beaucoup aimé les mangas de Hashi, qui forment des récits enchâssés et aident à mieux cerner son point de vue et ses désirs. Ils représentent un exercice stylistique que j'apprécie énormément, dans la mesure où il interroge le travail de mangaka et le rôle de la fiction, tout en brouillant les frontières entre cette dernière et l'image que je me fais de la réalité de l'auteur et de ses intentions.
En conclusion, j'ai moins 'accroché' avec Tokyo Kaido qu'avec d'autres mangas de Minetaro Mochizuki, cependant cela n'ôte rien aux qualités de cette oeuvre, que je reconnais par ailleurs. Simplement, j'ai l'impression qu'il s'agit d'un titre très personnel pour l'auteur et je me sens moins en phase avec ce qu'il exprime.
De bubulle62 [9285 Pts], le 20 Octobre 2017 à 09h26
un trés beau manga profondément humains et en meme temps complétement décallé c'est le genre de manga qui marque par son originalité et ses questionnements
De Psychogun79 [137 Pts], le 17 Juillet 2017 à 12h06