- Titre VO : ちいさこべえ
- Titre traduit : Chiisakobee
- Dessin: Minetaro MOCHIZUKI
- Scénario : YAMAMOTO Shûgorô
- Editeur VF : Lézard Noir (le)
- Type: Seinen
- Genre: Tranche-de-vie, Social
- Editeur VO: Shôgakukan
- Prépublication: Big Comic Spirits
- Illustration: n&b
- Origine: Japon - 2012
Age conseillé
Résumé
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l’entreprise familiale, « Daitomé », dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c’est l’humanité et la volonté », il fait le serment de reconstruire Daitomé.
Mais son retour à la maison natale s’accompagne de l’arrivée de Ritsu, amie d’enfance devenue orpheline et qu’il embauche comme assistante, et de cinq garnements au caractère bien trempé échappés d’un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles.
Mais son retour à la maison natale s’accompagne de l’arrivée de Ritsu, amie d’enfance devenue orpheline et qu’il embauche comme assistante, et de cinq garnements au caractère bien trempé échappés d’un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles.
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Thèmes
Les points forts de la série:
Chiisakobé est une adaptation d’un roman historique de Shûgorô Yamamoto (1903-1967), célèbre romancier dont l’œuvre a été adaptée à de nombreuses reprises au cinéma, notamment par Akira Kurosawa (Sanjûrô, Barberousse, Dodes’kaden), Kenji Misumi ou encore Kon Ichikawa.
Écrit en 1957, Chiisakobé traite de la délicatesse si particulière des sentiments japonais. Si l’intrigue du roman de Yamamoto prend place à l’époque d’Edo, Minetarô Mochizuki a préféré la situer de nos jours. Il est question, dans le roman comme dans son adaptation, d’un charpentier qui perd ses parents et l’entreprise familiale dans un incendie et va lutter pour reconstruire ce qu’il a perdu, tout en prenant sous son aile des orphelins et ne perdant jamais de vue les valeurs transmises par son père, qui sont l’importance de l’humanité et de la volonté.
Écrit en 1957, Chiisakobé traite de la délicatesse si particulière des sentiments japonais. Si l’intrigue du roman de Yamamoto prend place à l’époque d’Edo, Minetarô Mochizuki a préféré la situer de nos jours. Il est question, dans le roman comme dans son adaptation, d’un charpentier qui perd ses parents et l’entreprise familiale dans un incendie et va lutter pour reconstruire ce qu’il a perdu, tout en prenant sous son aile des orphelins et ne perdant jamais de vue les valeurs transmises par son père, qui sont l’importance de l’humanité et de la volonté.
Prix & Récompenses:
- Festival International de la Bande-Dessinée d'Angoulême 2017 : Prix de la meilleure série
Dossier

Chiisakobé
Alors qu’un incendie a entraîné le décès de ses deux parents et a ravagé l’entreprise familiale «Daitomé» tournée vers les travaux de charpente, Shigeji devra se battre pour reconstruire celle-ci et se réaliser en tant qu’individu à part entière. Il fera appel à Ritsu, son...
Lire le dossier - Partie 1 - Partie 2 - Partie 3 - Mot de la fin
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De kroutonie [41 Pts], le 02 Février 2025 à 20h40
J'ai passé un très jolie moment à lire Chiisakobé (édition prestige). Ce qui m'a plus : les détails au niveau du dessin, pas tant le trait (qui est assez simpliste et dessiné à la tablette), mais dans les "zoom" sur certains élements décoratif de la maison, de la nourriture et même sur les parties du corps (aspect qui au départ peut sembler étrange, mais qui au final donne un style). Autre point positif, la manière dont se goupille l’histoire. C'est habile et bien construit de début à la fin (notamment la romance & le suivi des travaux de daitome et du quartier en parrallèle. Sans oublier les enfants et leur évolution avec l’aide des 2 personnages féminins. Enfin, ce manga nous permet de retranscit bien le japon de l'époque, le ressenti et la singularité d’être japonais. On ressent très bien les non-dits / les pensées des personnages.
Ce qui m'a moins plu : le rapport entre le garçon et la fille. À titre d'exemple, Spoil : il ne porte absolument aucune attention particulière envers Ritsu, aucun geste ou mot qui laisserait croire qu’il est amoureux d’elle. Il ne fait même pas attention à la tombe de la mère de Ritsu lorsqu’il est au cimetière. En comparaison, Ritsu a un moment, prie devant l’autel pour les parents de Shigeji à la maison.
Bien que cela ne soit sans doute pas exagéré en prenanten compte l’époque dans laquelle le roman avait été écrit.
En globalité j'ai beaucoup apprécié l'histoire et je la recommande fortement 16/20
De Kyotohru (JsP), le 10 Juillet 2021 à 19h30
Je suis d'accord avec Cyrvs. Cela m'a aussi perturbé.
Sinon, pas mal du tout...
je suis jeune de pres que trois fois moins ans que les personnes ayant fait une critique mais je partage et je trouve ça approfondi ! Vivement la suite ! ( je n'ai que le tome 1 pour l'instant ) ;/
Cela me donne bien envie de decouvrir en picore plus l'auteur quand même culte
De cyrvs [21 Pts], le 14 Décembre 2020 à 11h55
Je suis abasourdi en voyant les appréciations données à ce manga, j'ai dû m'arrêter au premier tome tellement je le trouvais dégradant envers les femmes et mysogyne. Je comprends que l'oeuvre originale datait du début du 20e siècle mais on aurait pu moderniser certains aspects à mon goût.
De Claudius, le 13 Avril 2023 à 09h30
C est dure comme note 1/20.
il faut comprendre d ou on vient, alors pourquoi remettre au goût du jour. C est comme si on remettait certains faits historiques difficiles au goût du jour.
Justement, à lire ce livre, c est rassurant de voir comment la société évolue à l égard des femmes...
De Maevalinn [341 Pts], le 08 Mars 2020 à 11h53
Très jolie série, pile le genre que j'aime. Le grand format rend hommage au travail du mangaka. À lire sans modération !
De Korom [495 Pts], le 09 Mars 2019 à 14h31
des dessins magnifiques, une histoire qui suit et des personnages aussi singuliers qu'attachants.
Ce n'est pas pour rien que sur la couverture figure le plus beau manga au monde.
Bonne lecture!