Chronique manga publiée le 08 Novembre 2017
Critique 2
Dès la magnifique couverture, Nagamu Nanaji nous rappelle avec force les ultimes événements du volume 3 : pour la première fois en 15 ans, et suite aux paroles d’Outa qui se trouve « nul et pitoyable » devant sa force à elle, Kuko a craqué et a laissé ses larmes couler en public, devant Kiyo et, surtout, devant Sazuku, ce garçon arrivé en ville il y a peu et qui ne cesse...