Un petit clin d'oeil aujourd'hui sur le blog Nani Nani ?! de Dreamy de son vrai nom Sophie Durand. Dreamy est une jeune fille dynamique et fort sympathique d'origine franco-chinoise notamment parti il y a quelques temps pour un an au Japon... Suivez son quotidien depuis son retour et ses aventures au pays du soleil ...

Parmi les animations disponibles sur les divers stands éditeur, nous avons eu le plaisir (et surtout le temps..) de faire celle proposée par les éditions Casterman qui permettait aux visiteurs de se déguiser en romain pour un shooting photo aux accents de leur titre phare (et que l'on apprécie beaucoup à la rédaction) Therma Romae.

Wladimir Labaere, entre autre traducteur du titre (il a d'autre casquettes a son actif) s'est gentiment prêté au jeu en notre compagnie... Ai-je besoin de précisé que c'est lui qui tiens les 3 tomes de Therma Romae ^^....



A noter que le 3e tome de cette série signée Mari Yamazaki (voir son interview) est disponible depuis le mois de juin et que le 4e sortira en octobre prochain...

   

L’action de Thermæ Romæ débute en 128 après Jésus-Christ, à Rome, durant les dernières années du règne de l’empereur Hadrien.

Lucius Modestus, architecte spécialisé dans les bains publics, dont le dernier projet vient d’être refusé, décide de se rendre aux thermes pour oublier ses soucis. En s’immergeant dans l’eau, il découvre une faille au fond du bassin et refait surface dans un bain public japonais au xxie siècle !
Entre stupeur et émerveillement, au gré de ses voyages spatio-temporels, l’orgueilleux Romain découvre les coutumes nippones qu’il parvient à mettre à profit pour relancer sa carrière, s’attirant les faveurs de l’empereur.
Subissant malgré tout les inimitiés de certains puissants, et propulsé régulièrement dans un monde qui lui est totalement étranger, Lucius Modestus devra braver mille dangers pour échapper à un terrible complot politique...

En parcourant l'un des volumes de Gen d'Hiroshima, je suis tombée sur cette case qui m'a rappelé combien j'ai été marqué par cette ville lors de mon voyage au Japon en 2007. Rarement j'ai été autant touché par un tel lieu lors de mes voyages a l'étranger. Le jardin commémoratif d'Hiroshima est extraordinaire. Aussi si vous avez l'occasion de passer dans la région, je ne peux que vous conseiller de vous y arrêter et de visiter le musée, et la ville dans son ensemble. C'est une visite que vous ne regretterez pas tant pour son aspect historique que pour la l'émotion qui se dégage de cet endroit.

Comme vous le verrez, les ruines du Genbaku Dome, (l'un des seuls bâtiments à ne pas avoir été entièrement détruits par l'explosion) ont été conservé et préservé ...



Pour rappel c'est le 6 août 1945, à 8h15 du matin, que la première bombe atomique explosa à 580 mètres du sol, à environ 140 mètres au sud-est de ce bâtiment...

Pour ma première Japan Expo, j'ai souhaité venir en tant que gros touriste. Vous m'avez peut-être aperçu au détour d'un stand, à baver devant des figurines hors de prix, à poser avec de jolies cosplayeuses ou me jeter dans les bras des premiers venus qui brandissaient des panneaux "FREE HUGS". Oui monsieur.

Pour moi, cette JE fut surtout placée sous le signe des achats de figurines, avec beaucoup de craquages face aux prix ultra compétitifs proposés par Good Smile Company ou Discount Manga (qui proposait une vitrine remplies de figurines à -60%). Pas forcément beaucoup d'achats, mais des achats très encombrants ^__^""




En vous, sur quoi avez-vous craqué à la JE ?


Koiwai

En parallèle de notre interview que vous pourrez retrouver prochainement sur le site nous avons eu le plaisir de remettre à Rei Toma, son prix du meilleur shôjo 2011 pour sa série L'arcane de l'aube que vous avez élu il y a quelques mois. J'ai donc eu le plaisir et la fierté de le lui remettre en personne et comme c'est en grande partie grâce à vous, j'en profite pour vous remercier mais également de la part de l'auteur, trés fière et émue (mais pas autant que moi je dois dire).

Et pour immortaliser cet instant quoi de mieux qu'une petite photo souvenir que je tenais à partager avec vous...



La boss

Pour la seconde année, je vous propose un petit bilan de mes achats et dédicaces obtenues durant le festival Japan Expo.

Encore plus que les autres années, ce cru 2012 va privilégier la qualité sur la quantité... En effet au final, je ne suis reparti qu'avec très peu d'objets... mais quels objets !!

Pour moi, le grand moment de cette Japan Expo fut ma rencontre avec Tetsuya Saruwatari, un auteur que j'apprécie beaucoup et qui s'est avéré être très sympathique. Pour préparer au mieux mon interview, je me suis donc acheté vendredi sur le stand Tonkam le tome 31 de Free Fight ainsi que l'artbook regroupant de jolies illustrations en couleur de la série. Et en bonus, je suis reparti avec les deux T-shirt et la canette à l'effigie de la série (merci Justine et Jérôme !!).

Samedi, je me rendis compte que Toshio Maeda avait enfin baissé les prix de ses dessins originaux sur son stand... Je lui achète donc une jolie illustration soft de Miko, la plantureuse héroïne de La Blue Girl, qu'il me dédicace avec le sourire.

Quelques heures plus tard, direction le Comic Con' pour observer de plus près un stand vendant des dédicaces de stars et autres personnalités du cinéma.
Je fis l'erreur d'ouvrir le classeur consacré aux films d'horreur... A l'intérieur s'y trouvait une dédicace de Simon Pegg et Nick Frost, tandem d'acteurs britanniques connu pour Shaun of the Dead, Hot Fuzz ou encore Paul... Après une intense réflexion de deux secondes, je me décidai à acheter cette dédicace qui me faisait de l’œil...





Dimanche fut de loin la journée la plus riche en émotion... Tout d'abord, direction le stand Aoji pour acheter une toile grand format de Yuuko, intitulée Niji. J'apprécie beaucoup ce genre de toile, qui parvient à soulever des émotions alors même qu'elles décrivent une scène du quotidien... Elle trône aujourd'hui dans mon salon, pas très loin de la petite toile de Sachi Miyabe achetée l'année dernière...

Mais mon plus précieux trésor de cette Japan Expo, c'est sans nul doute la superbe dédicace de Tetsuya Saruwatari, qui m'a été remise par l'éditeur Shueisha à la fin de l'interview...



 
shinob

C'est avec un peu de retard que je vous propose aujourd'hui un petit aperçu du dossier de presse de Sailor Moon que nous avons reçu la semaine dernière. Accompagnant celui-ci le premier tome de la saga ainsi que celui de Sailor V, une petite figurine de Sailor Venus. J'en profite pour vous rapeller que le 2e tome est prévu pour le mois de septmebre et que cette nouvelle édition a bénéficié de nouvelles couvertures aux illustrations inédites ainsi que des pages intérieures et des dialogues révisés par son auteur Naoko Takeuchi. Les 18 volumes originaux seront condensés en 12 tomes...

Pour la petite histoire, et pour les plus jeunes sachez que cette série, était une des oeuvres majeures du manga car en son temps elle a su relancer le genre "magical girl", où l’héroïne se retrouve accompagnée de plusieurs partenaires à laquelles les jeunes filles pouvaient s'identifier. Parmi prés d'une dizaine de combattante de la justice toutes avaient leur préférées. Et vous de quelle Sailor vous sentez-vous le plus proche ?

La semaine dernière avait lieu à Paris l'avant-première mondiale des Enfants Loups - Ame & Yuki, le nouveau film de Mamoru Hosoda. Un film que je peux que vous conseiller vivement d'aller voir quand il sortira dans les salles françaises fin août.

Pour l'occasion, le film est actuellement exposé à la galerie Arludik à Paris sous la forme de plusieurs cadres et toiles de toute beauté, dont voici quelques exemples :

 
 
  
 


Notez que ces toiles et cadres étaient quasiment tous dédicacés, en vente, et que le moins cher coûtait 320€. Par ailleurs, vous retrouverez bientôt sur le site notre interview de Mamoru Hosoda. En attendant, vous pouvez découvrir le reste de l'exposition sur notre page facebook !


Koiwai

Alors que je sortais de ma rencontre avec Dominique Veret (responsable éditorial pour Les éditions Delcourt au travers d'Akata), après une interview passionnante (que vous aurez le plaisir de lire prochainement), j'ai eu l'agréable surprise en prenant le métro d'apercevoir une magnifique affiche de Prophecy.

Le nouveau thriller de Tetsuya Tsutsui en format 4X3 faisait son effet. Pour les parisiens vous pourrez les trouver sur plusieurs lignes et entre autre sur la ligne 7 dans plusieurs stations comme celle de Palais Royal, Gobelins et Pont marie...

Pour les provinciaux que je n'oublie pas ... Voici ce que ca donne...

Nous avons eu le plaisir aujourd'hui de recevoir le recueil d'illustration réalisé par les éditions Tonkam à l'occasion de la venue de Tetsuya Saruwatari à Japan Expo. Au programme 24 illustrations couleurs issues pour la plus part des couvertures de la série Free fight.

De toute beauté ce recueil sera un incontournable pour tout fan de l'auteur et de sa saga... Alors que le plaisir en voici un petit aperçu...

La couverture

3 Illustrations ...

Dernier craquage en date : le CD de la BO de Kids on the Slope, importé du Japon et reçu cette semaine !




Vous ne connaissez pas encore Kids on the Slope ? Je ne peux que vous conseiller d'aller faire un tour sur le portail dailymotion de Dybex, où la série est actuellement diffusée gratuitement et légalement en simulcast :-) On y retrouve une belle brochette dans le staff : Shinichiro Watanabe (réalisateur de Cowboy Bebop et Samurai Champloo), Nobuteru Yuki (chara designer d'Escaflowne), et la merveilleuse Yoko Kanno aux musiques, le tout pour une merveille de sensibilité et de sensations, qui se présente clairement comme l'une des meilleures nouveautés de cette première moitié d'année en animation japonaise.

Koiwai

Désolé pour mon absence de ses dernières semaines... j'étais un peu débordée.
Je me rattrape aujourd'hui en vous proposant un avant gout de l'édition deluxe de l'un des meilleur shonen que j'ai eu le plaisir de lire.
Il faut bien le dire le shonen n'est pas mon fort, il faut vraiment qu'une série soit exceptionnelle pour quelle arrive à m’intéresser quand il s'agit de ce genre. Et je dois l'avouer Hikaru no go fais partie de ses rares titres dédié aux jeunes garçons qui m’ait vraiment toucher aussi bien pour le dessin incroyable de Takeshi Obata que j'ai eu le plaisir de rencontrer lors de sa venue il y a quelques années en France, que du scénario qui vous tient en haleine tout au long des 23 tomes qui composent la version simple.

Aujourd'hui c'est donc la version deluxe (qui nous sera proposée par les éditions Tonkam en juillet prochain) que je désire vous présenter. Tonkam a eu la gentillesse de me transmettre la jaquette intégrale du premier tome et le bandeau qui l'entourera. Je ne pouvais donc résister à vous la proposer car il faut bien le dire les illustrations de cette version sont de toute beauté...

Alors je n'ai qu'un conseil a vous donner si vous n'avez pas encore découvert ce manga il est urgent de vous rattraper soit en courant directement chez votre libraire sur mes conseils ;-) soit de prendre votre mal en patience et de profiter bientôt de l’édition deluxe ... vous ne le regretterez pas...



Présentation

Un jour, Hikaru, 11 ans, trouve dans une remise une vieille table de go. Soudain, de celle-ci surgit un fantôme qui y était enfermé : le fantôme de Saï Fujiwara, un génie du jeu de go à l'époque Heïan (VIIIe à XIIe siècle) qui s'introduit dans l'esprit de Hikaru. Acceptant de permettre à Saï de jouer au go contre quelqu’un, Hikaru fait la connaissance de Akira Toya, fils du meilleur joueur japonais et promis lui aussi à un brillant avenir. La passion de Saï et de Akira pour ce jeu entraîne peu à peu Hikaru dans le monde du go…

Une petite trouvaille sympathique faite il y a peu sur Lille : deux lots de marque-pages Blacksad :-)




De jolies illustrations, édition limitée à 1000 exemplaires... Je ne pouvais que craquer !

Koiwai

 Dans une news récente, nous vous annoncions que la Foire internationale de Bordeaux qui a lieu chaque année avait pour invité d'honneur 2012 le Japon, afin de fêter les 30 ans du jumelage entre la capitale girondine et la ville de Fukuoka.

Ouverte depuis le samedi 12 mai et jusqu'au dimanche 20 mai, la Foire internationale de Bordeaux comprend entre autres un pavillon international, qui permet de découvrir les cultures du monde entier et de faire quelques achats de produits étrangers (petite décoration, produits culinaires...).

L'invité d'honneur a droit à un espace d'exposition plus large que les autres pays. Et cette année, le Japon a su s'imposer. Comme vous pouvez le voir sur les images qui suivent, beaucoup de monde est venu voir les panneaux d'information, les photos, les reconstitutions des décors (jardin, cuisine) et d'objets (armures de samouraïs...) nippons, manger des sushis et sashimis.

Rappelons que l'expo « Japan week » se déroule en deux temps :
- du 12 au 20 mai, une expo permanente sur le Japon classique
- à partir du 16 mai, l'expo « Pop Generations » ouvrira (organisée par l'association s'occupant d'Animasia, un festival sur les cultures asiatiques qui a lieu dans une ville de la banlieue bordelaise, Pessac, chaque année)

Mais alors, quid de cette expo « Japan week », vue ce dimanche 13 mai ?
Et bien il y avait du bon, et du moins bon... La volonté de faire dans l'hyper-accessibilité permettra certainement d'enregistrer un nombre de visiteurs très élevé. En effet, les panneaux informatifs sont là pour expliquer certains aspects de la société japonaise... sans jamais rentrer dans les détails. Décevant pour un passionné de culture nippone, mais intéressant pour la majorité des visiteurs, car l'ambiance était, il faut le dire, très bonne dans le hall d'exposition des décors reconstitués. On regrette quand même l'absence de certains fondamentaux de la culture nippone : pas beaucoup d'information sur la Seconde Guerre mondiale, aucun panneau sur le cinéma... Bref, l'exposition semble jouer sur ce qui plaît aux Français (jardins, culture zen, temples, kimonos, cuisine, samouraïs, démonstrations d'arts martiaux, excentricités en tous genres, mangas), mais ne rentre jamais dans les détails et, par omission volontaire, fait l'impasse sur la richesse du Japon. Peu ou pas de panneaux sur les fêtes, la religion, le mélange entre tradition et modernité... Que de l'accessible, pour les masses. Caricatural, donc décevant, mais hélas prévisible.

Côté boutiques, on a affaire à du classique (petite déco, vêtements traditionnels, sabres, friandises), en nombre (très) réduit. On est loin de la Japan Expo parisienne, et il faudra attendre mercredi 16 pour profiter de deux-trois boutiques de mangas et DVD. Le stand le plus fourni restait celui consacré à la littérature nippone, et le plus intéressant celui à l'entrée, dénommé « Fukuoka city », qui propose des massages faits par des Japonais originaires de Fukuoka, des informations sur les voyages. On regrette surtout que certains stands ne soient pas tenus par des Japonais eux-mêmes, et que l'origine de la majorité des produits soit douteuse (on pense par exemple aux quelques DVD des films de Miyazaki présents, en anglais pour la plupart...). Pour ne pas avoir de mauvaises surprises, rien ne vaut un petit tour chez le couple de la boutique Miyakodori, spécialistes en petite déco, qui vous parlent en japonais et sont toujours aussi adorables.


Place maintenant à quelques photos de l'expo :













Des photos des boutiques :




Et voici le portail d'entrée de l'exposition Pop generations, qui n'ouvrira que mercredi 16 mai. Une expo dans laquelle vous pourrez découvrir plus en détails les sous-cultures nippones contemporaines (mangas, animation, cosplay, nail arts...).




Cette expo Japan week de la Foire internationale de Bordeaux pourrait en tous cas donner quelques idées à la Japan expo parisienne : à quand l'apparition de décors reconstitués, et de panneaux d'informations plus globales sur la culture nippone ?


Rogue Aerith