Podiums Manga-News 2016 - Partie 1- Actus manga
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Manga Podiums Manga-News 2016 - Partie 1

Vendredi, 30 Décembre 2016 à 14h00

Avec la fin d'année 2016, voici le retour des Podiums Manga-News !
  
Rappelons le principe : chacun de nos chroniqueurs ayant souhaité participé a pris le temps d'éplucher ses lectures de l'année écoulée afin de sélectionner trois titres coups de cœur, ayant eu au moins un volume sorti dans l'année. De plus, chacun précise aussi ses attentes pour l'année 2017.
  
Pour cette première semaine, nous vous proposons de découvrir les choix d'Alphonse, de Mokochan, de Raimaru et de Takato. Dans quel podium vous reconnaîtrez-vous ?

Un grand merci à la Bande Animée pour la vidéo !

Podium d'Alphonse


  
Dead Dead Demon’s DeDeDeDe Destruction
Il incombait, à votre humble serviteur, de sélectionner – non sans parcimonie donc – trois œuvres qui purent lui rester graver un brin dans les pupilles. S’il parut assez naturel de prospecter parmi les nouveaux crus seinen de cette année deux-mille-seize, en choisir ne serait-ce qu’un seul se voulait pourtant un réel crève-cœur s’agissant des autres jets laissés tels des orphelins.
Pourquoi ne point commencer par la dernière œuvre d’Inio Asano ? Un des plus éminents maîtres du seinen social ou « Gekiga » diront certains. Il n’aura pourtant été publié à ce stade qu’un seul ouvrage de la fresque, mais celui-ci recèle d’ores-et-déjà bien des prouesses artistiques connues de l’auteur. La mise-en-bouche se veut prétentieuse : invasion extraterrestre ; climat d’après catastrophe ; jeunesse lycéenne en quête de sens ; la petitesse face à l’absolu.
Un duo d’héroïnes très attachant, voire émouvant ; le lecteur les suit dans leur quotidien, à l’école, dans les étroites ruelles de la mégapole, en quelques-unes de ces zones désaffectées : il les épaule chez elles, dans leurs interrogations… ou, parfois encore, au détour d’une vaine évasion. Il ne se sera agi que d’un tome introductif, mais celui-ci aura déjà laissé estimer tout le potentiel susceptible de se révéler.

Anguilles Démoniaques
Il est des ouvrages dont le titre à lui seul pourra interpeller hautement l’esprit curieux. Ainsi, par-delà l’indicible métaphore écaillée de ce poisson-serpent apostrophé de malfaisance, s’esquissa un récit qui réservait jusqu’alors fort bien son petit jeu : les errances d’un homme qui conduisent de l’autre côté : parmi un monde d’effroi qui ne devrait point exister ou, pour le moins, pas au grand jour… Au fil des pages, le suspense et la gravité prennent la place qui leur est due : cela ira crescendo…
Un trait de fusain aux allures de doux cauchemar : sombre, exalté et immersif. Courte série en trois pavés : le premier intrigue, le deuxième confirme et le troisième excelle. Il en restera un goût de glauque balade loin des cartes postales tokyoïtes. En quête de petites sueurs-froides, d’ineffables évènements et de lendemains décrépits ? Le souhait chevillé-au-corps d’une aventure en de sinistres pâturages ? Respirez un bon coup... plongez au fonds… là où les eaux se troublent… parmi les anguilles.

Jojolion
Voilà fraichement débarquée la huitième saison de la série Jojo. Si, avec les saisons cinq et six, Araki avait pu s’imposer comme le maître du nekketsu, depuis la septième partie de la saga (et en particulier le tome sept et son basculement sur l’Ultra Jump), il s’est néanmoins produit quelque chose de tout autre : Jojo est probablement devenu l’un des meilleurs manga d’aventure du registre fantastique qui puisse être lu en catégorie seinen. Ils sont nombreux les seinens à réussir à divertir ; mais qu’en est-il pour ce qui est de surprendre ?
Surprendre le lecteur… vaste projet… Par exemple, Vinland Saga, lequel titre sera sans doute admis comme l’un des plus grands manga d’aventure en cours de parution – en dépit de sa trajectoire volontairement grand public – mais, quand bien même, jamais le récit n’aura offert jusqu’alors un moment d’étonnement particulier : tout a déjà été vu et revu à d’autres endroits. Et bien, avec Jojolion, dès son premier tome, bien des choses pleuvent sans qu’elles n’auraient été susceptibles d’être conceptualisées par un autre auteur. En sus : le dessin atteindra encore ici des sommets d’élégance et de charme ; cela sera tout un univers qui s’invitera à la lecture.

Attentes pour 2017
Je guette – tel un loup affamé ? – les éditions des œuvres de Kazuo Kamimura chez Kana. Je fus subjugué par la beauté de l’impérial « Club des divorcés » en 2015 et 2016 et, justement, cette année, est programmé à paraître « Une femme de shôwa », bien qu’il ne s’agira point véritablement de l’œuvre – parmi toutes celles non encore publiées en France – dont je pouvais saliver.
J’attends avec un certain engouement la fin de la série Vertical avec son protagoniste principal qui crève l’écran : Sanpo ! Mais encore le prochain tome de « Le mari de mon frère ». Je fus agréablement surpris par le premier tome de Gunnm Mars Chronicle et souhaite sincèrement que la suite soit de la même facture ; tant la science-fiction se fait rare.
Egalement, j’attends chaque nouvel ouvrage des séries suivantes, en vrac : Space Brothers, Golden Kamui, Rainbow, Innocent, Hinomaru Sumo, etc… Bref, je n’attends pas particulièrement l’édition en France d’un manga exclusivement nippon mais, davantage, la continuité et la prospérité, de séries déjà parues en l’hexagone.
  

Podium de Mokochan


  
Le monde de Ran
Chouchou de mon cœur. Si je n'avais du lire qu'une seule nouveauté cette année, c'eut été Le monde de Ran sans hésitation aucune. Je ne connaissais pas du tout le travail d'Irie Aki avant de découvrir ce titre. Je n'avais même jamais entendu parler ni vu l'Ecole bleue, son autre manga, sorti chez Kana en 2010. Autant dire que je vais me précipiter dessus dès que possible, tant le coup de cœur pour Le monde de Ran a été grand. J'ai adoré me plonger dans le quotidien de Ran, héroïne facétieuse mais ô combien attachante, comme tous les personnages qui l'entourent. On est exposé à une galerie de protagonistes loufoques tous bien travaillés, que l'auteur prend bien le temps de développer. Au premier abord le ton est léger et enchanteur, mais peu à peu, une trame plus sombre se dessine. L'occasion de voir évoluer notre héroïne, d'une manière juste et très touchante. Et que dire du dessin ? Les planches sont toujours très détaillées, sans que le tout perde en lisibilité. Le trait est parfaitement maitrisé, et on le sent également au charme qui se dégage de chacun. Surtout de Ran, avec ses grands yeux qui vous envoûteront plus d'une fois. L'édition de Black Box aurait certes pu être de meilleure qualité, mais ça ne m'a empêché d'avoir un pincement au cœur en refermant le dernier opus. Véritable tristesse de quitter les personnages au bout de 7 tomes seulement mais heureuse d'avoir autant pris de plaisir à les découvrir. À lire absolument !

La Princesse vagabonde
J'ai autant choisi la Princesse vagabonde pour la qualité du livre que pour mettre en avant le label Urban China. Ayant pour but de faire découvrir au public français des bande dessinées chinoises, leurs choix de titres ont été éclectiques mais généralement qualitatifs, même si j'ai pris beaucoup de retard dans leurs parutions. La Princesse vagabonde en est un très bon exemple, nous plongeant avec l’héroïne dans une histoire de vengeance et de reconquête de royaume menée tambour battant. Les bases du récit sont vite plantées, dans un contexte que l'on voit trop peu souvent dans nos rayons librairie : l’histoire de la naissance et du développement de la Dynastie Tang. Un vrai voyage en terre inconnue en compagnie de la princesse Yongning, véritable battante également en quête de reconstruction après de tragiques événements. La quête pour le trône se transforme également en quête d'identité. Autant dire qu'on ne suit qu'avec un intérêt accru la suite des événements, pleine d'embûches. Passant des paysages sauvages de la Chine à ses villes grandiloquentes, le trait fait également mouche. Si vous êtes en quête de missions épiques dans une époque captivante, La Princesse vagabonde est pour vous.

Kasane - La voleuse de visage
Comment ne pas mettre un titre Ki-oon parmi mon top ? Car, pardonnez moi l'expression, mais leurs titres "font l'zizi". Le plus dur étant, au final, de choisir lequel ! Mon estimé collègue Takato m'ayant débarrassé de My Hero Academia, mon cœur a balancé longuement entre Père et Fils et Kasane – La voleuse de visage. Et la balance a penché en faveur de ce dernier, car il faut avouer que je guette toujours avec une impatience folle la sortie d'un nouveau tome. Se bonifiant à chaque nouveau volume qui plus est. J'ai toujours envie de me plonger dans le monde sombre et torturé de son héroïne qui n'en est pas réellement une. Kasane est cruelle mais néanmoins attirante par sa complexité et les motivations qui l'animent. Tous les autres personnages sont eux aussi malmenés et blessés par notre société, apportant une critique contemporaine discrète mais terriblement juste. Le contexte du théâtre n'est au final qu'un prétexte, une mise en abyme de cette comédie humaine tragique. Une pièce dont je ne peux que vous conseiller d'être le spectateur avide.

Attentes pour 2017
La moitié de mes attentes de l'an dernier ont été comblées ! J'aimerais prophétiser la même chose pour celles de cette année, mais ne rêvons pas. J'aimerais passer un petit coucou aux éditions Imho : le dernier tome de Pilou l'apprenti gigolo a encore été repoussé... Ok on doit se compter sur les doigts d'une main, mais quelques lecteurs l'attendent toujours, on compte sur vous !
Sinon je suis avare en attente cette année, sauf concernant ceci : une nouvelle édition pour Card Captor Sakura et sa suite Clear Card Hen en France, vite vite vite s'il vous plaît chers éditeurs !


Podium de Raimaru


  
Deathco
Atsushi Kaneko est un auteur que j'ai découvert en 2014 avec Wet Moon, manga immédiatement propulsé sur mon podium. J'ai par la suite lu tous ses mangas édités en France, et ai même réalisé un dossier pour chacune de ses séries terminées. En peu de temps, cet auteur est devenu une de mes meilleures références, un mangaka pour lequel je me presse de lire chacune de ses sorties. Deathco est donc un manga qui d'emblée m'est familier, puisque j'y retrouve toutes les qualités que j'ai appréciées dans les précédentes séries de Kaneko. C'est la marque des grands auteurs : les fans sont plongés dans un univers comportant des éléments, des gimmicks qu'ils retrouvent avec plaisir. Concernant la série en elle-même, je pense que si le scénario se tient, comme dans Bambi, c'est surtout une façon pour le mangaka de déployer ses capacités hallucinantes en dessin et composition des pages. Du grand art.

L'ère des cristaux
Voilà un manga bien atypique. Bien que l'autrice, Haruko Ichikawa, ne soit pas connue pour d'autres séries, on nous apporte un manga audacieux tant il ne ressemble à rien d'autre. L'ère des cristaux possède deux grandes qualités : d'une part, le dessin et le découpage sont absolument magnifiques. Ceci est rendu possible grâce au point de départ de l'intrigue : puisque les personnages sont fait de cristaux, la mangaka joue avec le noir, le blanc, les trames grises et les traits pour rendre son dessin "minéral", c'est-à-dire qu'il y a vraiment un effet cristal qui se dégage du dessin. D'autre part, la caractérisation des protagonistes est assez intéressante. Phos, le héros, étant perçu comme un cristal faible, sa volonté de trouver une place parmi ses semblables (peu nombreux), est présentée d'une fort belle manière. À l'inverse d'un shônen lambda, Phos ne veut pas obtenir un but incroyable, il cherche seulement à ne pas être un poids pour les autres, à trouver une utilité. Le scénario est plein de promesses. Un manga original, esthétique et sensible, je vous le conseille.

Ryuko
Tout comme les deux mangas précédents, Ryuko est un manga qui se démarque par son dessin et sa composition des pages. Eldo Yoshimizu, l'auteur, pousse très loin les limites que peut offrir le manga et la bande dessinée en terme de composition des pages. À la fois nerveux, dynamique et élégant, son manga se lit comme s'il on était porté dans un vent, plongée dans une histoire de yakuza terrible. Notons que le cadre se déroule souvent au Moyen-Orient, ce qui est assez rare dans le manga. Une excellente surprise, qui trouve bien sa place chez l'éditeur, l'excellent Lézard noir.

Attentes pour 2017
La plupart des séries qui sortent dans nos contrées ces dernières années ne sont plus nécessairement des gros shônen de bagarre, comme il fut un temps. À la place, une multitude de mangas plus ou moins adultes mais très souvent aseptisés, blockbusterisés, ont fait leur apparition chez certains éditeurs, qui trustent la visibilité du manga sur le web (là où les éditeurs historiques parviennent encore à démarquer à mon avis). Quand je regarde les étals de mangas en VO, je ne peux m'empêcher de constater qu'il y a une foule de mangas comiques atypiques, de séries alternatives qui nous manquent. Mais comme souvent, le style graphique est déterminant et il y a fort à parier que de tels mangas ne trouveront pas leur place. Dès lors, je n'attends plus grand chose du marché du manga, seulement qu'il continue à éditer les auteurs que j'aime, et éventuellement qu'il défriche de temps en temps de bons auteurs, tel Kengo Hanazawa il y a peu. Heureusement, il reste quelques belles collections de mangas d'auteur chez nos éditeurs. Les sorties que j'ai notées sont la réédition de Dragon Head, Nuisible et le Chant des souliers rouges de Mizu Sahara.


Podium de Takato


  
My Hero Academia
Le nekketsu est un genre qui a du mal à renouveler ses codes. De grandes œuvres comme Naruto et One Piece en ont été (et continuent de l'être) les plus grands représentants des années 2000, mais les nouveaux venus sur le marché français peinent à s'imposer et à renouveler ce registre pourtant majeur dans le manga. Mais My Hero Academia est venu m'apporter la claque que j'attendais. Tout est présent dans le titre pour que chaque amateur de nekketsu y trouve son compte : les codes sont respectés, et ils sont utilisés de la meilleure manière possible. Kôhei Horikoshi apparaît comme un petit génie de ces ficelles classiques, ficelles peu surprenantes qu'il utilise sans faire traîner son récit en longueur, en jouant sur une multitude de personnages autres que le héros qu'est Izuku, et en dépeignant des personnalités maintes fois revues en les traitant sans excès. Mais My Hero Academia, c'est aussi un univers et une esthétique hybride qui donnent au titre une véritable couleur. Coup de cœur shônen de l'année pour un titre au succès mérité !

Jojo's Bizarre Adventure : Diamond is Unbreakable
Ayant découvert Jojo's Bizarre Adventure après l'arrêt de la série chez J'ai Lu, découvrir les débuts de la saga était un vrai parcours du combattant. Diamond is Unbreakable restait une sorte de mythe inaccessible, à cause de ses volumes vendus, d'occasion, à prix exorbitants chez par les escrocs d'internet. Heureusement, Tonkam a achevé sa réédition de l'univers Jojo par cette quatrième partie... et quelle partie ! Diamond is Unbreakable est véritablement atypique au sein de Jojo : ambiance scolaire et plus paisible qu'à l'accoutumée, mélange de récit fantastique et de tranche-de-vie où l'on suit un petit groupe d'adolescent manieurs de Stand, le tout sur un fil conducteur qui se développe progressivement et qui gravite autour de l'un des antagonistes les plus brillants que le nekketsu ait pu proposer : Kira Yoshikage. Outre un rythme extrêmement soutenu dans cet arc, avec des montées d'adrénaline efficacement menées aux alentours du dixième opus, c'est toute l'esthétique de Hirohiko Araki qui s'affirme dans ce quatrième arc. On s'éloigne de l'héritage de Tetsuo Hara pour apprécier un trait beaucoup plus personnel, celui qui fait désormais tout le charme de Jojo's Bizarre Adventure. Alors, Diamond is Unbreakable fut 18 tomes de bonheur, et devient l'une de mes parties préférées de toute la série aux côtés de Golden Wind.

Le Mari de mon Frère
Les œuvres dotées d'une dimension sociale et un message actuel m'intéressent de plus en plus, sans doute pour leurs liens avec notre société contemporaine. Une oeuvre traitant sérieusement de l'homosexualité m'attirait forcément, d'autant plus que le sujet est toujours au cœur de l'actualité de notre pays... L'oeuvre de Gengoroh Tagame m'a alors conquis en me donnant plus que ce que j'attendais : Le Mari de mon Frère n'est pas qu'un manga sur l'homosexualité mais avant tout un titre humain sur la différence et la compréhension de l'autre. La série ne se veut d'ailleurs pas moralisatrice, pas du tout, et c'est ce qui la rend plus naturelle. Les questionnements se font de manière logique, sans être forcés, et la morale du manga n'en est que plus renforcée. Le tout s'articule autour d'un personnage qui est parmi les plus attachants que j'ai pu voir : Mike. Le Mari de mon Frère a aussi le mérite de ne pas tourner en rond et d'élargir ses questionnements, preuve d'un auteur très marqué par son sujet. Alors, les deux tomes publiés cette année furent deux énormes coups de cœur, aussi l'oeuvre de Gengoroh Tagame se devait de figurer dans mon podium personnel. Autant dire que la venue de l'auteur au Festival International de la Bande-Dessinée d’Angoulême est un événement que j'attendais avec impatience !

Attentes pour 2017
Cette année, j'ai eu la chance de voir publiés des titres que j'attendais avec une impatience rare, notamment Jojolion, l'arc Or et Argent de Pokémon - La Grande Aventure, One-Punch Man et bien évidemment My Hero Academia, digne représentant de la dernière génération de nekketsu. Alors, mes attentes pour l'année 2017 sont plus limitées. Evidemment, j'aimerais découvrir les autres arcs de Pokémon, ou encore une série qui me mettrait une claque comme a su le faire Le Mari de mon Frère, mais aucun titre confirmé ne me vient à l'esprit. Alors si, j'attends Les Fleurs du Mal avec une très grande curiosité, et j'aimerais que 2017 soit l'année des 30 ans de Jojo's Bizarre Adventure aussi bien au Japon qu'en France. L'année suivante célébrera encore une fois Dragon Ball, notamment avec les sorties manga et anime de Dragon Ball Super, mais je suis plus partagé à ce sujet. Si l'anime a su regagner mon estime de fan, l'aperçu que j'ai eu de la version manga a bien plus de mal, la faute à une intrigue expédiée malgré un coup de crayon qui rend honneur au style d'époque de Toriyama. Finalement, c'est peut-être bien dans l'animation japonaise que mes attentes sont les plus grandes, étant donné que le mois d'avril marquera une saison printanière particulièrement exceptionnelle de ce côté !



commentaires

saorikido53

De saorikido53 [1567 Pts], le 15 Janvier 2017 à 12h23

Moi, je me rapproche plus du podium de Mokochan avec La princesse Vagabonde et Kasane. Ce sont deux titres que j'adore ! Je les recommande ! :)

nolhane

De nolhane [6581 Pts], le 14 Janvier 2017 à 02h21

Les 4 top sont très très interessant et je les approuves tout les 4 :)

Mon préféré va quand même à celui de Raimaru

Koiwai

De Koiwai [12681 Pts], le 11 Janvier 2017 à 14h18

@Cysterion : je l'ai évoqué dans la partie 2 des podiums, sans pouvoir le mettre toutefois, à regret ):

Cysterion

De Cysterion, le 11 Janvier 2017 à 10h59

Même pas un seul chroniqueur pour évoquer les enfants de la baleine ? :x

akirachan

De akirachan [1573 Pts], le 06 Janvier 2017 à 22h12

@ Blood : Hésite pas à te fournir directement sur le site internet de Black Box, c'est le plus facile pour acheter les tomes. Ils proposent même leurs propres volumes en occasion...

Blood

De Blood [2541 Pts], le 04 Janvier 2017 à 17h22

Perso, je me rapproche du top de Raimaru (merci au passage de m'avoir remis L'ère des cristaux en tête, j'avais zappé cette série), auquel je compte bien rajouter Le monde de Ran (si j'arrive à dégotter les tomes) et éventuellement Kasane.

peachgirll

De peachgirll [7826 Pts], le 03 Janvier 2017 à 21h47

Je me retrouve dans les différents Podium : Le mari de mon frère, Kasane, Deathco et le dernier Asano m'ont beaucoup plu cette année!

akirachan

De akirachan [1573 Pts], le 02 Janvier 2017 à 16h14

Très rare pour moi, mais j'ai au moins une série qui me fait envie dans chaque podium. Pour ma part, j'ai adoré : le dernier Inio Asano, Le Monde de Ran, Kasane et Le Mari de mon frère. Je testerai probablement prochainement Deathco, La Princesse vagabonde et Anguilles démoniaques. J'hésite pour My Hero Academia car j'ai tendance à vite me lasser avec les nekketsu classiques qui traînent en longueur...

cicipouce

De cicipouce [3179 Pts], le 02 Janvier 2017 à 16h11

Triste à dire pour moi mais il n'y a que le mari de mon frère qui m'ait plu dans ces 4 podiums!!

tsubasadow

De tsubasadow [4300 Pts], le 01 Janvier 2017 à 18h48

Au moins un titre par sélection :)

Haaneul

De Haaneul [359 Pts], le 31 Décembre 2016 à 13h22

Je suis clairement avec Alphonse !!

saqura

De saqura [4244 Pts], le 31 Décembre 2016 à 00h00

desoler mais pour moi cette annee

legna38

De legna38 [1044 Pts], le 30 Décembre 2016 à 23h24

On peut faire un mix ? Car il y a au moins un titre dans chaque podium pour lequel j'ai craqué cette année !

bubulle62

De bubulle62 [9285 Pts], le 30 Décembre 2016 à 18h19

je me reconnais bien chez mokochan un très bon podium en tous cas :) très bonne article

Nintenn

De Nintenn [1559 Pts], le 30 Décembre 2016 à 15h06

Beaucoup, beaucoup, de titres que j'aime lire. Préférence à la licorne :3

heden66

De heden66 [2860 Pts], le 30 Décembre 2016 à 14h06

Mokochan .

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