Avis sur Berserk Vol.18

Absolument génial, le pilier de la dark fantasy. A lire et relire !

Un tome qui nous presente pas mal de nouveaux personnages pas forcement trés interessants mais qui sert surement d’introduction a ce nouvel arc! Tout de même trés agreable a lire comme toujours même si l’histoire avance peu!

Dans ce tome surtout axé sur des fanatiques religieux qui blasphèmes et pêchent d'une façon au-delà de mon imagination et salissent le nom de Dieu dans leurs bassesses, je ne cessais de me dire que Guts devrait se magner pour bien les charcuter car faut pas déconner non plus, ils le méritent énormément. Surtout cette Farnez que je supporte pas. On voit Casca toujours simple d'esprit qui se fait protéger par sa progéniture démoniaque et qui disparaît aussitôt que j'aimerai bien voir disparaître pour de bon car il est non seulement repoussant, mais en plus, une source de douleur pour Guts. Il y a une sorte d'avorton qui s'est joint sans l'avis de Guts à eux, ou plutôt qui le poursuit et je doute qu'il fasse long feu à ce rythme. Beaucoup de sexe, de sang et d'immondices comme d'habitude, mais pas d'éléments vraiment pertinents à part la présence du chevalier noir. 

Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu un tome de Berserk, mais j'ai de suite été replongé dans l'histoire. On est, je pense, à un moment crucial de l'histoire. Guts est à la recherche de Casca, mais ce n'est pas sur lui qu'on se concentre dans ce tome.

La religion est un thème bien plus important que ce qu'on pourrait croire dans Berserk. Ce tome prouve en tout cas son importance si ce n'était pas déjà fait.

Comme d'habitude jamais déçu avec Berserk et j'ai hâte de lire la suite pour découvrir les aventures de Guts dans un monde de ténèbres.

J'aime bien le coté religieux qu'a instauré l'auteur. l'histoire est certes fantastique mais les agissemnts de l'église eux sont véridiques et je trouve ça vraiment interessant

La lecture de ce tome est encore plus sombre que les précèdement graçe à une histoire plus humaine et introspective. Un des meilleurs tome depuis le début de la série!

La lecture de ce tome est encore plus sombre que les précèdement graçe à une histoire plus humaine et introspective. Un des meilleurs tome depuis le début de la série!

AAAA j'adore quand on voit Papy tête de mort ! XD

Sordide, violent et fascinant à la fois. C'est le menu de ce 18ème volume de Berserk. Déjà entamé dans le volume précédent, cette mise en abîme du fanatisme religieux et de la perversion de l'âme humaine fait le pourparler de Miura qui semble avoir trouver son point d'orgue en terme de d'intrigue, de narration et de dessin.

Seul le personnage d'Isidro manque à convaincre lors de ses premières apparitions.
Cet arc est un vrai petit bijou qui n'attend qu'une petite touche d'épique pour crever les plafonds!

Très bon tome

Enorme !!!

j'arriverais jamais à décrocher de ce manga il est trop bien

encore un grand tome, violent et sordide à souhait, il ne laissera personne indifférent à sa lecture, encore bravo ! ! !

Putain Vic tu nous as collé ta critique à la con pour chaque volume ! Bref Moi aussi j'adore Berserk, du très très grand cru, et si j'ai une chose à dire seulement ayant déjà fait part de mon point de vue général sur le manga, cette couverture est je trouve magnifique

J'adore. Vive Berserk et merci Glénat de nous traduire cette oeuvre.

Berserk est une fresque épique sur la condition humaine et sur ses bassesses comme l'a mis quelqu'un (qui a dû reprendre un autre avis).

C'est vrai que ceux (ils sont pas si nombreux en fait mais il y en a) qui sont choqués par ce manga ou viennent jouer les bons parleurs (en s'y méprenant vu Berserk est une critique acerbe de l'être humain) sont ceux qui ne supportent pas la descente aux enfers qu'est capable l'âme humaine. Car il y a une chose que certains oublient, tous les monstres ou démons que l'on croise dans Berserk, sont à la base des ames d'être humains, et non des créatures d'un autre monde. Aucune mievrerie (rare de nos jours), une dramaturgie exemplaire (le nombre de fois qu'on a la gorge serré c'est affolant). L'auteur se permet même de "lyncher" la religion et le clergé qui a massacré tant d'innonçents au nom d'actes ou de plaintes inexistant(e)s.

Ceux qui passent à côté de tout ça, devraient arrêter Berserk immédiatemment, et c'est sûr qu'il passe à côté de quelque chose.

Berserk c'est simple, c'est l'un des rares mangas à m'avoir fait connaître une tel avalance de sensations. On ressent tout (pour Guts en général), c'est à la fois fasçinant et monstrueux. C'est l'univers de Berserk. Une fresque épique sur la condition humaine et sur ses bassesses comme l'a mis quelqu'un (qui a dû reprendre un autre avis).