Japon C'est fini pour The Promised Neverland, mais de nouvelles publications et une exposition sont annoncées
Après quatre années de prépublication, le manga The Promised Neverland de Posuka Demizu et Kaiu Shirai vient de se conclure. Néanmoins, d'autres parutions sont d'ores et déjà au programme.
En effet, c'est dans le 28e numéro de l'année du Shônen Jump que le 181e et dernier chapitre a été publié. A cette occasion, celui-ci a eu droit à une double page couleur (voir ci-dessous). Avis aux anglophones et aux plus impatients, le chapitre est disponible en lecture légale et gratuite sur le site Manga Plus de l'éditeur Shûeisha, à cette adresse.
Le manga totalisera 20 volumes, le dernier opus étant prévu pour octobre au Japon. La série aura aussi droit à un fanbook et un artbook, dont les dates de parution n'ont pas encore été communiquées. D'autres projets verront aussi le jour, comme nous vous l'avons dit dans de précédentes news : Le film live japonais paraîtra dans les salles obscures nippones le 18 décembre, tandis que la saison 2 de l'anime sera diffusée au mois de janvier. Côté international, une série live américaine destinée à la plateforme Amazon Prime Video est en cours de production.
A noter aussi qu'une exposition intitulée The Promised Neverland Special Exhibition viendra célébrer la fin de la parution. Celle-ci se tiendra du 11 décembre 2020 au 11 janvier 2021, à la Sky Gallery, située au 52e étage de la Mori Tower du complexe Roppongi Hills. Les visiteurs y découvriront de nombreux travaux dont des illustrations colorisées et des ébauches préparatoires, parmi tant d'autres.
Chez nous, les 14 premiers tomes du manga sont disponibles aux éditions Kazé. La série animée est disponible en VOD sur Wakanim et ADN, en attendant une future édition physique chez Kazé.
Synopsis :
Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et soeurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !
En effet, c'est dans le 28e numéro de l'année du Shônen Jump que le 181e et dernier chapitre a été publié. A cette occasion, celui-ci a eu droit à une double page couleur (voir ci-dessous). Avis aux anglophones et aux plus impatients, le chapitre est disponible en lecture légale et gratuite sur le site Manga Plus de l'éditeur Shûeisha, à cette adresse.
Le manga totalisera 20 volumes, le dernier opus étant prévu pour octobre au Japon. La série aura aussi droit à un fanbook et un artbook, dont les dates de parution n'ont pas encore été communiquées. D'autres projets verront aussi le jour, comme nous vous l'avons dit dans de précédentes news : Le film live japonais paraîtra dans les salles obscures nippones le 18 décembre, tandis que la saison 2 de l'anime sera diffusée au mois de janvier. Côté international, une série live américaine destinée à la plateforme Amazon Prime Video est en cours de production.
A noter aussi qu'une exposition intitulée The Promised Neverland Special Exhibition viendra célébrer la fin de la parution. Celle-ci se tiendra du 11 décembre 2020 au 11 janvier 2021, à la Sky Gallery, située au 52e étage de la Mori Tower du complexe Roppongi Hills. Les visiteurs y découvriront de nombreux travaux dont des illustrations colorisées et des ébauches préparatoires, parmi tant d'autres.
Chez nous, les 14 premiers tomes du manga sont disponibles aux éditions Kazé. La série animée est disponible en VOD sur Wakanim et ADN, en attendant une future édition physique chez Kazé.
Synopsis :
Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et soeurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !
De Manu91, le 16 Juin 2020 à 10h24
Je n ai acheter que le premier arc j ai lu le reste en scan et j ai apprécier qu a Goldy point apres c est parto trop en couille trop de facilité scenaristique on ressent aucun danger j ai meme revendu mes tomes acheter tellement j'etais déçu
De Mitsuko62 [3752 Pts], le 15 Juin 2020 à 16h34
Pour rebondir sur le commentaire de blue7, c'est vrai que les plateformes légales et gratuites sont un bon moyen de se faire une idée plus détaillée d'un manga quand on hésite à l'acheter. Après, je ne suis pas sûre que tous les éditeurs/auteurs puissent se le permettre (même si dans le cas d'une grosse licence comme The Promised Neverland, le problème ne doit pas se poser).
En revanche, je te trouve un peu dur avec la suite de la série une fois que l'arc de l'évasion est terminé : certes, l'ambiance change et dans un premier temps la tension redescend (avant de remonter), cependant l'intrigue suit toujours une progression logique. Après, tu as parfaitement le droit de ne pas aimer, mais ayant bien apprécié la partie à Goldy Pond (même si l'arc évasion reste mon préféré), je tenais à défendre la série... qui n'en a d'ailleurs certainement pas besoin --'...
En tout cas, j'espère que Kazé continuera sur sa lancée et publiera également le fanbook et l'artbook ! Enfin bon, il n'y a pas de raison.
De Ryna, le 15 Juin 2020 à 12h22
Ouiii j'ai déjà lue sur mangaplus ^w^
J'ai vraiment trouvé le tout excelent !
J'espère qu'on aura la chance d'avoir au moins l'artbook chez nous ♡w♡
De blue7, le 15 Juin 2020 à 11h43
Anglophones et hispanophones aussi (on ne sait jamais) ;). En tout cas, sans vouloir polémiquer, ce manga justifie l'existence de Mangaplus. Car franchement le lire quelques chapitres en légale m'a fait déculpabiliser de ne pas l'acheter et pas suivre sa hype (je répète, aucune polémique) tant c'est parti en cacahuète une fois qu'ils sont sortis. D'ailleurs l'interview du scénariste dans le figaro confirme à quel point il n'avait pensé que le début