- Titre VO: 虐待父がようやく死んだ
- Titre traduit: Gyakutai Chichi ga Youyaku Shinda
- Dessin : ARAI Piroyo
- Scénario : ARAI Piroyo
- Traducteur: GUINOIS Damien
- Editeur VF: Meian
- Type: Josei
- Genre: Social, Drame
- Editeur VO: Takeshobo
- Date de publication: 21 Septembre 2021
- Illustration: 152 pages n&b
- Origine: Japon - 2019
- Code EAN : 9782382751831
- Code prix: MEIAN130
Public Averti
Prix public
6.95 €
J'aspirais seulement à une vie normale… Avec des parents normaux…
Extrait
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Message aux parents qui maltraitent leurs enfants.
Les enfants n’oublient rien.
Ni les coups, ni les abus.
Il en va de même pour les insultes et le sentiment d’être trahi sans cesse.
J’aimerais que vous gardiez une chose en tête :
lorsque vous prendrez de l’âge, souvenez-vous que votre destin sera entre leurs mains.
Les enfants n’oublient rien.
Ni les coups, ni les abus.
Il en va de même pour les insultes et le sentiment d’être trahi sans cesse.
J’aimerais que vous gardiez une chose en tête :
lorsque vous prendrez de l’âge, souvenez-vous que votre destin sera entre leurs mains.
Top de la rédaction
"En revenant sur son propre parcours terrible, Piyori Arai offre ici un témoignage aussi riche qu'éprouvant et glaçant, et qui est avant tout un ouvrage d'utilité publique. L'autrice expose tout l'impact physique et psychologique que peut avoir une enfance/adolescence vécue dans la violence et dans l'absence de repères affectifs. Et c'est vraiment dans ce portrait sans concessions que le récit brille, en poussant un véritable cri d'alerte sur ces situations sans doute trop communes dans nos sociétés et brisant des vies du début à la fin."
Critique
Semblant capable de toucher à un peu tous les registres, le catalogue des éditions Meian s'est enrichi, en septembre, de son tout premier manga "autobiographique": Mon bourreau de père est enfin mort, un récit d'environ 150 pages où l'autrice revient sur sa vie, depuis l'enfance...
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Les points forts de la série
Au fil de ce one shot au vitriol, Piroyo ARAI revient sur sa relation avec son père abusif. Dans un style simpliste mais sans filtre, elle y évoque la brutalité omniprésente de sa jeunesse, l'ombre qu'elle a projetée sur sa vie, même après le décès de son père, mais aussi la froideur avec laquelle sa famille détournait le regard.