Journal de mon père (le) Vol.3 - Actualité manga
Journal de mon père (le) Vol.3 - Manga

Journal de mon père (le) Vol.3

Chichi no koyomi

Manga - Manhwa - Journal de mon père (le) Vol.3
Age conseillé
Prix public
12.95 €
Avec Quartier Lointain, l'autre grand chef d'uvre de Jirô Taniguchi : un essentiel de la bande dessinée mondiale.

Résumé

Dans ce dernier volume du “Journal de mon père” Yoichi, le héros-narrateur, nous livre la suite de son histoire. Nous l’avions laissé à l’aube de son adolescence, le cœur depuis longtemps brisé par le départ de sa mère. À cette époque Yoichi avait décidé de s’investir dans le sport. Et son père s’inquiétait pour l’avenir d’un fils solitaire et taciturne. Yoichi continue ici de décrire ses états d’âme, les circonstances de son évolution, les raisons profondes qui ont motivé ses choix. On apprendra alors pourquoi il abandonne enfin son club sportif et décide d’aller faire ses études à Tokyo. Comment, d’une année sur l’autre, il trouvera toujours le bon prétexte pour éviter de retourner passer ses vacances à Tottori, sa ville natale.

Images complementaires

Planche supplémentaire © by TANIGUCHI Jirô / Shôgakukan

Les points forts de la série

Contrairement à l’impression suggérée par son titre, Le Journal de mon père n’est pas un récit autobiographique. Jirô Taniguchi a simplement “planté” son scénario à Tottori, sa ville natale, où il a tant de repères et de souvenirs. Le héros de cette histoire s’appelle Yoichi Yamashita et travaille à Tokyo dans une agence de design. Apprenant la mort de son père, il revient après une très longue absence à Tottori, la ville qui l’a vu grandir. Au cours d’une veillée funèbre très arrosée, le passé des années 50 et 60 ressurgit : l’incendie qui a ravagé la ville et la maison familiale, le dur labeur pour la reconstruction, le divorce de ses parents, ses souffrances d’enfant… Lors de cette veillée, chaque membre de la famille apporte un éclairage nouveau sur la personnalité de ce père que Yoichi tenait jusque-là pour responsable du désastre familial. Le fils réalise finalement, mais trop tard, qu’il a sans doute été le seul responsable de leur douloureuse incompréhension.