- Titre VO: 役職ディストピアリ
- Titre traduit: Yakushoku Distpiari - Gesellshaft Blue
- Dessin : Tellmin
- Scénario : SENGA Fumitaka
- Editeur VF: Pika
- Collection: Shonen
- Type: Seinen
- Genre: Aventure, Fantastique
- Editeur VO: Square Enix
- Prépublication: Young Gangan
- Date de publication: 04 Octobre 2017
- Illustration: 184 pages n&b
- Origine: Japon - 2014
- Code EAN : 9782811637668
- Commercialisation: stoppée
Age conseillé
Prix public
7.50 €
Cote : 5.00 €
La cote correspond au prix de vente moyen constaté dans les boutiques d'occasion
Le nombre fait la force et le triomphe, la légitimité !
Résumé
Victime d'une tromperie, l’Observatoire ne manquera pas d’utiliser le plus vicieux des procédés pour punir celle qui n’a pas hésité à le trahir pour son exterminateur...
De son côté, Azoth prendra une décision inattendue face à l’assaut d’un élément maléfique lancé contre la ville que l’exterminateur était sur le point de quitter...
Tolza, lui, trouvera une issue qu’il se résoudra à accepter...
De son côté, Azoth prendra une décision inattendue face à l’assaut d’un élément maléfique lancé contre la ville que l’exterminateur était sur le point de quitter...
Tolza, lui, trouvera une issue qu’il se résoudra à accepter...
Thèmes
Les points forts de la série
L’univers de Distopiary ressemble à celui d’un jeu vidéo avec un monde numérique où chaque personnage appartient à une classe déterminée à la naissance. Pas d’échappatoire possible que ce soit pour les « héros », les « figurants » ou les « assistants » : chacun a un rôle à jouer dans ce monde.
Autre aspect emprunté au jeu vidéo, les personnages ont des « niveaux », de l’ « expérience » et prennent des points de « dégâts » lors des combats.
On est bien dans un univers très proche des RPG (Role Playing Game) où même le « méchant », ici le roi du Mal, a un tel niveau qu’on se demande comment les héros vont parvenir à le combattre
Autre aspect emprunté au jeu vidéo, les personnages ont des « niveaux », de l’ « expérience » et prennent des points de « dégâts » lors des combats.
On est bien dans un univers très proche des RPG (Role Playing Game) où même le « méchant », ici le roi du Mal, a un tel niveau qu’on se demande comment les héros vont parvenir à le combattre