- Titre VO: やがて君になる
- Titre traduit: Yagate Kimi ni Naru
- Dessin : NAKATANI Nio
- Scénario : NAKATANI Nio
- Traducteur: Aline KUKOR
- Editeur VF: Kana
- Collection: Shojo
- Type: Seinen
- Genre: Romance, School-life
- Editeur VO: ASCII - Mediaworks
- Prépublication: Dengeki Daioh
- Date de publication: 23 Octobre 2020
- Illustration: 176 pages n&b + couleurs
- Origine: Japon - 2015
- Code EAN : 9782505084556
- Code prix: KA02
Age conseillé
Prix public
8.10 €
Je t'aime mais ça ne te regarde pas...
Résumé
Tôko avance enfin par elle-même.
Malheureusement, Yû semble ne plus avoir sa place à ses côtés…
Alors que les deux jeunes filles s’éloignent petit à petit, Tôko et Sayaka partent en voyage scolaire.
Malheureusement, Yû semble ne plus avoir sa place à ses côtés…
Alors que les deux jeunes filles s’éloignent petit à petit, Tôko et Sayaka partent en voyage scolaire.
Thèmes
Critique
Au terme de la représentation théâtrale du Conseil des Elèves, Tôko semble avoir trouvé qui elle est vraiment, et qu'elle est sa voie dans ce monde. Face à ces changements, les sentiments de Yû se sont affirmés, aussi elle se déclare à son amie. Mais la réaction de Tôko n'est pas...
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Les points forts de la série
Cette romance nous montrent des jeunes filles en pleine adolescence qui se posent de nombreuses questions sur le sentiment amoureux, sur l'identité personnelle, sur l'estime de soi : "Qu'est-ce que l'amour?", "Qu'est-ce que ça veut dire être soi-même ?" et "Que signifie s'aimer soi-même ?".
Avec un dessin délicat et extrêmement soigné, Nio Nakatani porte une attention toute particulière à la description des sentiments de ses personnages. Et pour nous transmettre toutes les émotions elle joue avec les décors, les utilise avec bonheur, pour souligner les plus infimes palpitations des deux héroïnes.
Avec un dessin délicat et extrêmement soigné, Nio Nakatani porte une attention toute particulière à la description des sentiments de ses personnages. Et pour nous transmettre toutes les émotions elle joue avec les décors, les utilise avec bonheur, pour souligner les plus infimes palpitations des deux héroïnes.