Manga Ototo lance la collection Mues avec quelques annonces
Les éditions Ototo ont annoncé aujourd'hui le lancement d’une nouvelle collection au sein de leur catalogue : Mues.
Surtout connu pour ses mangas de fantasy, de comédie, de drame ou d'action dont plusieurs adaptations de light novels (Re:Zero, Sword Art Online, DanMachi, My Teen Romantic Comedy, Overlord...), l'éditeur souhaite, avec cette nouvelle collection, s'affranchir des classifications dépassées (shonen, seinen, shojo...), pour explorer des sujets importants de notre propre monde, en se penchant hors des normes de notre société. Pas de nouveau logo pour cette collection: juste le logo habituel d'Ototo mais sans les couleurs "genrées" shonen, shojo et seinen, et avec des points violets pour tous les titres de la collection afin de les repérer plus facilement.
Parfois autobiographiques et parfois fictionnels, les mangas de cette collection parleront, ainsi, de sujets qui restent souvent trop rarement traités, de personnes et de personnages qui par volonté ou par nécessité ne se retrouvent pas dans les schémas relationnels classiques, qui ont des goûts peu courants, ou encore dont l’identité ne correspond pas forcément à celle qu’on leur a assignée. Avec, à la clé, un désir de souligner l'importance d'apprendre les un(e)s des autres quelles que soient les différences.
Trois titres sont d'ores et déjà prévus.
Dès le 24 septembre, au prix de 9,90€ et en format 15x21cm, on pourra découvrir le premier tome de Sex Education 120 %, une série bouclée en 3 volumes, signée Kikiki Takaki (scénario) et Hotomura (dessin), et qui fut prépubliée au Japon en 2020 dans le magazine numérique @ Vitamin de l'éditeur ASCII Mediaworks.
Au programme de cette oeuvre, l’éducation sexuelle dans la joie et la bonne humeur par une professeure rebelle et ses élèves. L'éditeur nous promet un pendant féminin du guide du zizi sexuel en manga. Diktat, coming-out, discrimination, pression sociétale imposée sur l’apparence des femmes : la sexualité n’est pas le seul point abordé dans cette série, où l’humour et la communication priment avant tout. Le trait rond de la dessinatrice devrait croquer les héroïnes avec bienveillance tandis qu’elles s’adonnent à leurs passions parfois peu conventionnelles.
Puis le 22 octobre, toujours en format 15x21cm et au prix de 9,90€, l'éditeur publiera Je ne suis pas née dans le bon corps : Récit de mon changement de sexe, one-shot qui fut prépublié au Japon en 2016-2017 sur le site Young Ace Up de Kadokawa Shoten.
Dans cette autobiographie frappante, la mangaka Mafuyu Konishi nous racontera en détails son séjour en Thaïlande et sa chirurgie de réattribution sexuelle, les épreuves physiques et psychologiques auxquelles elle a dû faire face avant et après l’opération, mais aussi tout le soutien qu’elle a pu recevoir et le parcours qui l’a amenée ici.
Couverture japonaise.
Enfin, un titre surprise sur la non-binarité est d'ores et déjà prévu pour 2022.
Surtout connu pour ses mangas de fantasy, de comédie, de drame ou d'action dont plusieurs adaptations de light novels (Re:Zero, Sword Art Online, DanMachi, My Teen Romantic Comedy, Overlord...), l'éditeur souhaite, avec cette nouvelle collection, s'affranchir des classifications dépassées (shonen, seinen, shojo...), pour explorer des sujets importants de notre propre monde, en se penchant hors des normes de notre société. Pas de nouveau logo pour cette collection: juste le logo habituel d'Ototo mais sans les couleurs "genrées" shonen, shojo et seinen, et avec des points violets pour tous les titres de la collection afin de les repérer plus facilement.
Parfois autobiographiques et parfois fictionnels, les mangas de cette collection parleront, ainsi, de sujets qui restent souvent trop rarement traités, de personnes et de personnages qui par volonté ou par nécessité ne se retrouvent pas dans les schémas relationnels classiques, qui ont des goûts peu courants, ou encore dont l’identité ne correspond pas forcément à celle qu’on leur a assignée. Avec, à la clé, un désir de souligner l'importance d'apprendre les un(e)s des autres quelles que soient les différences.
Trois titres sont d'ores et déjà prévus.
Dès le 24 septembre, au prix de 9,90€ et en format 15x21cm, on pourra découvrir le premier tome de Sex Education 120 %, une série bouclée en 3 volumes, signée Kikiki Takaki (scénario) et Hotomura (dessin), et qui fut prépubliée au Japon en 2020 dans le magazine numérique @ Vitamin de l'éditeur ASCII Mediaworks.
Au programme de cette oeuvre, l’éducation sexuelle dans la joie et la bonne humeur par une professeure rebelle et ses élèves. L'éditeur nous promet un pendant féminin du guide du zizi sexuel en manga. Diktat, coming-out, discrimination, pression sociétale imposée sur l’apparence des femmes : la sexualité n’est pas le seul point abordé dans cette série, où l’humour et la communication priment avant tout. Le trait rond de la dessinatrice devrait croquer les héroïnes avec bienveillance tandis qu’elles s’adonnent à leurs passions parfois peu conventionnelles.
Puis le 22 octobre, toujours en format 15x21cm et au prix de 9,90€, l'éditeur publiera Je ne suis pas née dans le bon corps : Récit de mon changement de sexe, one-shot qui fut prépublié au Japon en 2016-2017 sur le site Young Ace Up de Kadokawa Shoten.
Dans cette autobiographie frappante, la mangaka Mafuyu Konishi nous racontera en détails son séjour en Thaïlande et sa chirurgie de réattribution sexuelle, les épreuves physiques et psychologiques auxquelles elle a dû faire face avant et après l’opération, mais aussi tout le soutien qu’elle a pu recevoir et le parcours qui l’a amenée ici.
Couverture japonaise.Enfin, un titre surprise sur la non-binarité est d'ores et déjà prévu pour 2022.
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commentaires
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De LiliNyu [2127 Pts], le 07 Septembre 2021 à 12h29
Y a pas de modération pour gerer les commentaires homophobes/transphobes, sur ce site?
De jojo81 [7209 Pts], le 02 Septembre 2021 à 00h18
Très bonne initiative, surtout s'il s'agit de titres qui peuvent s'adresser aux plus jeunes.
De Vinke [913 Pts], le 01 Septembre 2021 à 21h03
éducation sexuelle, gender....tellement originale...
De PartyP, le 01 Septembre 2021 à 19h14
Pour le logo je valide, j'aime pas quand les éditeurs mettent des arrières plans couleurs par genre.
Par contre, on sait bien ce que veux dire ''l'éditeur souhaite s'affranchir des classifications dépassées'' des josei/shojo ou des manga avec des sujets ero