Kids on the slope Vol.2 - Actualité manga
Kids on the slope Vol.2 - Manga

Kids on the slope Vol.2 : Critiques

Sakamichi no Apollon

Critique du volume manga

Publiée le Mardi, 18 Juin 2013

Depuis qu'il a sympathisé avec le turbulent Sentarô, Kaoru a vu sa vie changer petit à petit. Découvrant les joies de la musique jazz pour laquelle il vibre de plus en plus, le jeune garçon s'est ouvert face à la franchise de son nouvel ami, et découvre plus en profondeur le sentiment amoureux qu'il éprouve pour a douce Ritsuko. Il y a désormais à ses côtés de présences auxquelles il tient, et qui sont aptes à lui faire oublier l'absence de son père.
Mais le monde que découvre Kaoru st sur le point de connaître un nouveau coup de tonnerre quand débarque Yurika, belle et élégante jeune fille de son lycée, qui ne semble pas laisser Sentarô indifférent...

Au coeur du quotidien, l'arrivée de Yurika sème de nouveaux troubles chez nos héros, et plus particulièrement chez Sentarô, qui, sous ses airs de grand gaillard, est absolument incapable d'aborder la fille qu'il aime. Y voyant autant une opportunité d'aider son ami que de l'éloigner de Ritsuko, Kaoru lui apporte alors conseils et motivation, mais la maladresse de Sentarô fait que les choses sont loin d'être gagnées. Et pendant ce temps, s'il est obsédé par Ritsuko en agissant ainsi, notre héros en oublie le principal : les propres sentiments de celle qu'il aime. Sa prise de conscience risque d'être un retour à la réalité un peu délicat.

Dans le fond, on ne peut pas dire que Kids on the Slope brille pour l'instant par l'originalité de son histoire, puisqu'on n'a rien d'autre que des amourettes de jeunesse qui se font petit à petit. Au gré des petites disputes, des réconciliations, des déclaration ou tentatives de déclaration les amitiés se consolident, tandis que les amours se compliquent. Ainsi dans ce tome celles-ci passent-elle de triangle amoureux à quatuor, puis en fin de volume à quintuor... On pourrait presque trouver ça abusé, s'il n'y avait pas cette toile de fond très bien croquée par Yuki Kodama, dont le trait léger et rétro fait bien ressortir le quotidien très 60s de nos jeune héros, ainsi que leur immersion de pus en plus profonde dans l'univers du jazz. Sur ce dernier point, on est encore loin d'atteindre des sommets, mais certaines pages musicales commencent à être réellement séduisantes.


Critique 1 : L'avis du chroniqueur
Koiwai
15 20
Note de la rédaction
Note des lecteurs