Critique du volume manga
Publiée le Vendredi, 20 Mars 2015
Voulant pousser Shin dans les bras de Yankumi, Utchy et les autres mettent au point un plan à leur échelle... c'est à dire pas très évolué. Mais il n'en faut pas plus pour que les deux principaux intéressés se retrouvent en fâcheuse posture ! Au-delà d'une situation où Shin reste calme et Yankumi s'énerve comme à son habitude, la menace Miura apparue dans le tome précédent se concrétise un peu plus, lorsque le prof-espion prend un photo compromettante...
En réalité, ce que l'on attendait comme un gros bouleversement est pour l'instant un peu un pétard mouillé : Miura manque pour l'instant de présence, l'intrigue du début de tome se résout étonnamment facilement (trois mots du proviseur, et basta), et sa dangerosité s'éclipse vite tandis qu'il dévoile un penchant sans doute trop cliché. Et après ça, il faudra attendre la toute fin du tome pour revoir le bonhomme... Ce qui n'empêche pas le reste du volume d'être intéressant !
En effet, plusieurs récits intrigants font surface.
D'abord, Yankumi part en quête de son père. Qui est son véritable paternel ? Y a-t-il une possibilité que ce soit Kôsuke du clan Wada ? Kozueko Morimoto en profite pour approfondir un peu plus le passé familial de notre héroïne (ce qui avait été entamé dans le tome 4), et même si ça ne va pas très loin, voir l'intrépide Yankumi craquer reste assez touchant.
Puis nos héros devront protéger Mlle Fujiyama d'un terrible pervers qui en veut à son bonnet B ! Là aussi assez simpliste, l'intrigue permet surtout de remettre en avant cette chère Shizuka, et de voir à quel point son entourage tient à elle, notamment les garçons de la chorale qui se sentent enfin acceptés dans ce lycée mal famé.
Enfin, la fin du tome met en scène une cérémonie pour le moins particulière, qui sera principalement l'occasion pour Shin et Shinohara de se confronter en... fundoshi ?!
Au fil de ces récits, il y a toujours cette petite impression d'histoires un peu lisses, pas totalement approfondies, mais c'est tout de même l'occasion de revoir Shizuka, de revenir un peu sur les origines de Yankumi, ou de consolider un peu plus les sentiments secrets de Shin et la rivalité avec Shinohara. Surtout, l'humour est omniprésent, entre le côté voyeuriste du proviseur ou du moine, le manque de jugeote des lycéens, l'absence de tact de Tetsu et Minoru, le bonnet B de Shizuka, l'aspect "minets faiblards" des garçons de la chorale, l'absurdité de la cérémonie en fundoshi, le si classe Kôsuke qui devient ridicule devant Yankumi... Toujours rythmé par de nombreux petits gags, le tome n'est jamais ennuyeux. Et puis voir Yankumi en lycéenne et tous ces mecs en fundoshi, avouez que ça a du bon, messieurs-dames !
En réalité, ce que l'on attendait comme un gros bouleversement est pour l'instant un peu un pétard mouillé : Miura manque pour l'instant de présence, l'intrigue du début de tome se résout étonnamment facilement (trois mots du proviseur, et basta), et sa dangerosité s'éclipse vite tandis qu'il dévoile un penchant sans doute trop cliché. Et après ça, il faudra attendre la toute fin du tome pour revoir le bonhomme... Ce qui n'empêche pas le reste du volume d'être intéressant !
En effet, plusieurs récits intrigants font surface.
D'abord, Yankumi part en quête de son père. Qui est son véritable paternel ? Y a-t-il une possibilité que ce soit Kôsuke du clan Wada ? Kozueko Morimoto en profite pour approfondir un peu plus le passé familial de notre héroïne (ce qui avait été entamé dans le tome 4), et même si ça ne va pas très loin, voir l'intrépide Yankumi craquer reste assez touchant.
Puis nos héros devront protéger Mlle Fujiyama d'un terrible pervers qui en veut à son bonnet B ! Là aussi assez simpliste, l'intrigue permet surtout de remettre en avant cette chère Shizuka, et de voir à quel point son entourage tient à elle, notamment les garçons de la chorale qui se sentent enfin acceptés dans ce lycée mal famé.
Enfin, la fin du tome met en scène une cérémonie pour le moins particulière, qui sera principalement l'occasion pour Shin et Shinohara de se confronter en... fundoshi ?!
Au fil de ces récits, il y a toujours cette petite impression d'histoires un peu lisses, pas totalement approfondies, mais c'est tout de même l'occasion de revoir Shizuka, de revenir un peu sur les origines de Yankumi, ou de consolider un peu plus les sentiments secrets de Shin et la rivalité avec Shinohara. Surtout, l'humour est omniprésent, entre le côté voyeuriste du proviseur ou du moine, le manque de jugeote des lycéens, l'absence de tact de Tetsu et Minoru, le bonnet B de Shizuka, l'aspect "minets faiblards" des garçons de la chorale, l'absurdité de la cérémonie en fundoshi, le si classe Kôsuke qui devient ridicule devant Yankumi... Toujours rythmé par de nombreux petits gags, le tome n'est jamais ennuyeux. Et puis voir Yankumi en lycéenne et tous ces mecs en fundoshi, avouez que ça a du bon, messieurs-dames !