Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 17 Décembre 2020
Au gré des différents chapitres, les clients continuent de se succéder au sein du Café Statice, dont le patron Hiro accueille les paraphiles qui veulent discuter sans avoir d'a priori, tout en leur servant à chaque fois des infusions qui sont toujours l'occasion d'en apprendre un petit peu plus sur les vertus de certaines plantes. Mais bien sûr, l'essentiel des découvertes continue de se faire du côté des penchants sexuels de chaque client(e), et de ce côté-là ce sont 5 voire 6 nouveaux cas qui sont proposés.
L'excitation envers le viol, l'excitation en observant quelqu'un à son insu dans son intimité, le plaisir sexuel attisé parce qui est sale comme la sueur ou les odeurs corporelles, celui qui a lieu en se comportant comme un bébé, et l'excitation face au feu: tels sont les nouveaux cas évoqués ici, en risquant régulièrement de déranger à leur manière, comme Meika Arisaki sait généralement assez bien le faire. Et d'autant plus que certains cas, en particulier les deux premiers et le cinquième, sont particulièrement délicats dans leur pratique puisqu'ils pourraient faire tomber les concerné(e)s dans la criminalité. A chacun d'eux, alors, de parvenir à jauger leur excitation, par exemple via le cas du biastophile (l'excité des viols) qui évoque l'importance d'établir à l'avance des règles entre les partenaires... quand bien même notre homme aura quand même droit à une sacrée surprise avec sa nouvelle partenaire (ce qui fait partie de ces petites surprises dont Arisaki est friande).
Mais au-delà de ça, une certaine idée assez chouette se dégage au fil de ce volume: le désir de Hiro de croire désir que les paraphiles et les non-paraphiles peuvent s'entendre voire vivre ensemble, car les penchants sexuels font partie de la personnalité de chacun(e). La tâche ne s'annonce pas facile pour le très maniaque copain de la mysophile, et pourtant il l'aime. Quant au chapitre sur l'autonépiophile, il montre que deux paraphilies différentes peuvent aussi très bien se compléter !
Les sujets de ce 5e tome de Freak's café sont donc assez chouettes, Meika Arisaki parvenant ici à évoquer chacun de ses nouveaux cas de manière assez intéressante. En filigranes, la présence de Mlle Takayama au café apporte une petite pointe de nouveauté bienvenue, en plus de permettre d'accentuer petit à petit le problème de Hiro via les investigations de la jeune femme. Et à ce titre, la toute fin du tome nous laisse sur d'assez bonnes promesses... reste à voir si ce sera pour le pire ou pour le meilleur pour les personnages.
L'excitation envers le viol, l'excitation en observant quelqu'un à son insu dans son intimité, le plaisir sexuel attisé parce qui est sale comme la sueur ou les odeurs corporelles, celui qui a lieu en se comportant comme un bébé, et l'excitation face au feu: tels sont les nouveaux cas évoqués ici, en risquant régulièrement de déranger à leur manière, comme Meika Arisaki sait généralement assez bien le faire. Et d'autant plus que certains cas, en particulier les deux premiers et le cinquième, sont particulièrement délicats dans leur pratique puisqu'ils pourraient faire tomber les concerné(e)s dans la criminalité. A chacun d'eux, alors, de parvenir à jauger leur excitation, par exemple via le cas du biastophile (l'excité des viols) qui évoque l'importance d'établir à l'avance des règles entre les partenaires... quand bien même notre homme aura quand même droit à une sacrée surprise avec sa nouvelle partenaire (ce qui fait partie de ces petites surprises dont Arisaki est friande).
Mais au-delà de ça, une certaine idée assez chouette se dégage au fil de ce volume: le désir de Hiro de croire désir que les paraphiles et les non-paraphiles peuvent s'entendre voire vivre ensemble, car les penchants sexuels font partie de la personnalité de chacun(e). La tâche ne s'annonce pas facile pour le très maniaque copain de la mysophile, et pourtant il l'aime. Quant au chapitre sur l'autonépiophile, il montre que deux paraphilies différentes peuvent aussi très bien se compléter !
Les sujets de ce 5e tome de Freak's café sont donc assez chouettes, Meika Arisaki parvenant ici à évoquer chacun de ses nouveaux cas de manière assez intéressante. En filigranes, la présence de Mlle Takayama au café apporte une petite pointe de nouveauté bienvenue, en plus de permettre d'accentuer petit à petit le problème de Hiro via les investigations de la jeune femme. Et à ce titre, la toute fin du tome nous laisse sur d'assez bonnes promesses... reste à voir si ce sera pour le pire ou pour le meilleur pour les personnages.