Japon Un artbook pour Les Carnets de l'Apothicaire

Véritable succès mondial, initié par le light novel écrit par Natsu Hyûga et illustré par Tôko Shino, Les Carnets de l'Apothicaire aura droit à un artbook lié à sa version originale en fin de mois, au Japon.

Sobrement nommé Kusuriya no Hitorigoto Gashû (ou Les Carnets de l'Apothicaire Artbook), l'ouvrage au format B5 compilera sur 160 pages près de 300 illustrations réalisées par Shino Tôko pour le light novel et les produits dérivés.

Il sortira dans les librairies nippones le 31 janvier et sera vendu au prix de 2970 yens, soit approximativement 19€.

Lancé en 2011 et édité chez Shunfunotomo, le light novel Kusuriya no Hitorigoto / Les Carnets de l'Apothicaire dénombre 14 volumes à ce jour au Japon. Chez nous, les éditions Lumen se chargent de la parution en langue française. Le deuxième tome est attendu pour le mois dé février dans nos librairies.

L’œuvre est davantage connue pour son adaptation manga par Neko Kurage et Nanao Itsuki, dont 12 tomes, chez nous comme au Japon, sont disponibles aux éditions Ki-oon. En parallèle, une autre version de l'histoire par Minoji Kurata, intitulée Les Carnets de l'Apothicaire : Enquêtes à la Cour est proposée dans nos contrées chez Mana Books. 3 tomes sont disponibles chez nous contre 17 au Japon. A noter que ce deuxième manga, lancé peu de temps après le premier au Japon, narre les mêmes événements mais sous un style et un rythme différent.

A côté, la diffusion de l'adaptation animée, lancée cet automne, se poursuit. Réalisée par Norihiro Naganuma et produite par les studios OLM et Toho Animation, elle est diffusée chez nous sur Crunchyroll.

Synopsis du light novel :

À dix-sept ans, Mao Mao mène une vie dangereuse. Formée dès son plus jeune âge par un apothicaire des bas-fonds de la capitale, elle se retrouve enlevée et vendue comme servante dans le quartier des femmes du palais impérial. Pour échapper à la mort dans cette forteresse coupée du monde extérieur où complots et machinations se succèdent, la jeune fille doit cacher ses connaissances – bref, se fondre dans la masse.

Mais quand les morts suspectes de princes nouveau-nés mettent la cour en émoi, la passion de Mao Mao pour son art reprend le dessus. À force d’observation, elle découvre le pot aux roses... et se retrouve repérée par Jinshi, un mystérieux haut fonctionnaire à la beauté étrange. Devinant ses talents, il la promeut goûteuse personnelle d’une des favorites de l’empereur. Or, au beau milieu de ce nid de serpents, le moindre faux pas pourrait être fatal à la jeune fille...