Jeux Video Test du jeu vidéo Fantasy Life
Au moment de sa sortie chez nous, en septembre 2014, nous n'attendions plus Fantasy Life, sorti deux ans auparavant au Japon. Mais nous avons bien fait de prendre notre mal en patience. Mélangeant RPG, Animal Crossing et le savoir faire de Level-5 (le studio ayant réalisé les jeux Professeur Layton), le titre a été un succès au pays du Soleil Levant, avec plus de 134 000 exemplaires vendus lors de sa première semaine de sortie. La spécificité du titre est qu'il vous permet de choisir parmi douze métiers différents pour votre personnage dans un monde fantastique et enchanteur designé par Yoshitaka Amano et orchestré par Nobuo Uematsu. Juste deux personnes, pas trop connues, ayant travaillé sur les Final Fantasy, entre autres. Après moult péripéties, c'est donc en compagnie de Moko, habitante de Rêveria, que nous allons passer une semaine rythmée et ultra complète.
Lundi et mardi : Découverte d'un monde de rêve
Avant de commencer réellement mon aventure, il est important pour moi de savoir ce à quoi je vais ressembler. C'est donc par la phase de création de personnage que je passe avant toute autre chose. Et il n'y a pas à dire, les choix sont nombreux. De la couleur des cheveux aux nombreuses coupes, ou encore à la forme des sourcils, la personnalisation est très complète, et fait que vous ne ressemblerez à aucun autre personnage. Une fois que j'ai décidé à quoi je ressemblerai, la véritable histoire démarre.
Tout commence dans le petit grenier qui me sert d'habitation, où je suis réveillée par ma logeuse, aussi enveloppée que sympathique. Cette dernière me dit que j'ai reçu une lettre du roi, m'invitant à obtenir ma licence de carrière. Car c'est ainsi qu'on appelle les métiers à Rêveria : des carrières. Je découvre vite que j'ai l'embarras du choix parmi celles-ci : cuisinière, paladin, couturière, magicienne… Le choix est rude, mais je décide de protéger ma ville et de veiller sur ses habitants en devenant paladin. Alors que mon choix est fait, j'entends du grabuge dehors. Un papillon doré se fait embêter par des malfrats ! N'écoutant que mon courage, je pars le secourir… Et me fais racketter à mon tour. J'ai encore du boulot en tant que gardien de la paix. Mais déçues de leur maigre butin, les racailles nous laissent tranquilles. C'est ainsi que je fais la découverte de Flotillon, une jeune papillon très curieuse qui veut en apprendre plus sur moi. Flotillon décide de m'accompagner, et la jeune lépidoptère se révèle pleine de mystères !
En plus de gagner des rêvah (la monnaie à Rêveria), je peux gagner des points de Liesse et des étoiles. Ces dernières me sont offertes par mon maître de carrière, quand je réalise différentes missions liées à mon statut. Par exemple, en tant que paladin, je dois protéger les habitants et aller occire quelques vilains loups rouges qui rôdent au pré émeraude. Plus je remplis de missions, plus je monte en niveau dans ma carrière, pour passer de gros noob à paladin de légende ! Ces tâches sont donc toutes différentes selon le métier et il y aura fort à faire pour toutes les accomplir. Bien sur, je gagne aussi de l'expérience, et c'est là que le côté RPG de l'univers se révèle. À chaque montée de niveau, je gagne des points à répartir entre mes différentes statistiques ; à chacun, après, de décider si il veut un personnage complet et équilibré ou plus adapté au combat qu'à l'alchimie. Sans être très tactique ou compliqué, ce petit côté RPG est appréciable. Et enfin, les points de Liesse : C'est Flotillon qui les délivre. Pour une raison cachée, celle-ci est très intéressée par les rêves et envies de chacun, et en réaliser permet d'obtenir ces fameux points. Ceux de Flotillon sont d'ailleurs liés à la quête principale, que vous pourrez faire avancer à votre guise. Ces points permettent d'obtenir des bonus non négligeables, tels qu'agrandir votre sac, augmenter les gammes d'objets dispos en ville ou chevaucher un canasson (et vu l'ampleur du monde à parcourir, vous allez vite vouloir débloquer le cheval). La masse de chose à faire ou à débloquer dans Fantasy Life est donc gargantuesque et la durée de vie presque illimitée.
Mercredi et jeudi : Une réalisation à la hauteur
Au fur et à mesure que les désirs de Flotillon le papillon, sont satisfaits l'histoire principale avance et débloque les différentes zones qu'ils me sont possibles de visiter. Les missions obligatoires à l'avancée de l'histoire ne sont pas les plus passionnantes. Il faut dire qu'il y a beaucoup de bla-bla (sans grosse surprise, le studio en charge de Fantasy Life a bien réalisé les Professeurs Layton, sommité en matière de jacasserie). L'histoire de Fantasy Life n'est pas ce qu'on retiendra le plus. Sympathique mais loin d'être révolutionnaire : des roches magiques tombent du ciel et transforment les animaux en dangereuses créatures. À partir de là, il faut partir à la recherche des réponses et trouver le pourquoi du comment. On voit venir les choses de très loin, mais on se prend quand même au jeu, grâce à un large panel de personnages hauts en couleurs. Au final, le scénario se finit vite, sans qu'on ne rencontre de réelles difficultés, et on peut se concentrer sur l'exploration et l'évolution de nos carrières, point fort du jeu.
Il faut noter un point important, qui pourra fatiguer plus d'un joueur : les nombreux allers et retours. Il faut plusieurs fois aller au même endroit pour avancer dans l'histoire ou pour remplir certaines missions données. Et quand on a pas débloqué le cheval ou votre cottage au bord de la plage, aller à tel emplacement peut prendre du temps. Le système de butin - qui sont obtenus quand vous vainquez un ennemi particulièrement fort, coupez un arbre super costaud ou pêchez un poisson de la taille de votre maison - renforce cette impression, car vous êtes obligés de retourner à la guilde avec pour empocher le pactole.
Si le joueur est totalement immergé dans le jeu, ce défaut lui paraîtra mineur, tout occupé qu'il est à couper un badass baobab qui vous rapportera un gros paquet d'argent et de prestige. Sinon, l'impression de répétition se fera vite sentir. Mais grâce à tous ces voyages, vous pouvez admirer tous les environnements et apprécier la musique à sa juste valeur. La réalisation est vraiment très travaillée, avec des décors féeriques fourmillant de détails, un ample bestiaire et de très nombreux personnages. La bande-son est accrocheuse et colle très bien à chaque univers. On peut juste regretter leur faible nombre, qui laisse un arrière-goût de fainéantise de la part de Monsieur Nobuo Uematsu. Le monsieur ne va quand même pas nous faire croire qu'il n'était pas capable de mieux !
Bref, un joli petit monde qui nous fait rêver et donne sa pleine mesure au gameplay et à l'immensité du contenu.
Vendredi et samedi : Du boulot en veux-tu en voilà
Une fois l'histoire principale terminée, parfois en trainant un peu les pieds donc, on peut s'investir à 100% dans l'accomplissement des carrières, au ramassage de gros butins et au craft en bonne et due forme.
Évidemment, lors du choix de la première licence, il faut suivre le didacticiel de celle-ci histoire de se mettre dans le bain. Heureusement, vous aurez la possibilité de sauter cette partie par la suite, et d'obtenir directement votre licence. C'est là qu'on découvre que les métiers peuvent être répartis en trois catégories qui sont : combat, réalisation et récolte. On se rend bien vite compte, aussi, du fait qu'il est plus facile de commencer par un métier que par un autre. Mais si on a le goût du challenge, après... Tous les métiers se complètent les uns les autres ; et même si il est possible d'acheter la plupart des matériaux, il est plus sympa et moins onéreux d'aller le chasser / récolter soi-même. De plus, vous seuls pourrez réaliser des armes, potions et autres vêtements améliorés. Tout dépendra de votre réussite lors de la confection.
Celle-ci se déroule sous forme de QTE. La première fois que l'on découvre cette phase de gameplay, le joueur est bien content de cette diversification... Pour vite déchanter devant les autres métiers créatifs : c'est la même chose. Si l'action est toujours sympa à réaliser, tout en serrant les dents pour avoir un résultat parfait, on regrette que l'acte à réaliser ne soit pas différent selon le métier. Il n'aurait pourtant pas été difficile d'inventer un mini-jeu différent pour les quatre métiers affiliés à cette catégorie. Quand aux combats, ils sont basiques : vous n'avez le choix qu'entre trois actions d'attaque différentes. Si des monstres donnent plus de fil à retordre que d'autres, le challenge restera la plupart du temps tout à fait surmontable. Mais casser la goule à de gros dragons reste jouissif, et il est possible d'aborder le combat à sa manière, selon la classe de combat que l'on préfère.
Si bûcheron ou pêcheur semblent avoir moins d'attrait que paladin ou magicien, détrompez-vous. On découvre vite que chasser le roi des mers peut se révéler aussi palpitant que de combattre un dragon, grâce à l'enjeu des butins et à ce qu'ils nous permettront de réaliser. Ainsi, aucun métier ne se détache réellement des autres, tous sont équilibrés et proposent autant de services à rendre les uns que les autres. Une fois que vous les maîtriserez tous, vous pourrez réaliser de bout en bout l'objet de vos désirs : de la coupe de l'arbre à la chasse au mouton pour ensuite transformer la laine et enfin découper le bois afin de réaliser le fauteuil de vos rêves pour une de vos nombreuses propriétés. Le nombre de ressources est gigantesque, pour vous donner autant de possibilités de créer qu'il y a d'étoiles dans le ciel de Rêveria.
Dimanche : le temps de la conclusion
C'est donc là les gros points fort de Fantasy Life : la liberté d'action et l'énorme quantité de choses à faire. Passer des niveaux de classes à travers ses innombrables missions est hyper plaisant, tout en craftant son personnage de ses propres mains et en décorant sa maison à sa guise, renforçant ainsi le côté simulation de vie. Le tout forme un melting pot de genre qui, si on se prend au jeu (et il n'y a pas de raison de ne pas s'y prendre), vous occupera plus d'une centaine d'heures sans se lasser. Son univers magique, le nombre de quêtes et de personnages, tout est fait pour rendre la durée du jeu toujours plus longue et agréable. C'est donc un jeu indispensable de la 3DS qui se présente à nous.
Qui plus est, il est possible d'inviter trois de vos amis à partir à l'aventure avec vous, pour pouvoir combattre du monstre plus facilement. À noter que le DLC Origin Island est aussi disponible, pour ceux qui en veulent encore et toujours plus.
Lundi et mardi : Découverte d'un monde de rêve
Avant de commencer réellement mon aventure, il est important pour moi de savoir ce à quoi je vais ressembler. C'est donc par la phase de création de personnage que je passe avant toute autre chose. Et il n'y a pas à dire, les choix sont nombreux. De la couleur des cheveux aux nombreuses coupes, ou encore à la forme des sourcils, la personnalisation est très complète, et fait que vous ne ressemblerez à aucun autre personnage. Une fois que j'ai décidé à quoi je ressemblerai, la véritable histoire démarre.
Tout commence dans le petit grenier qui me sert d'habitation, où je suis réveillée par ma logeuse, aussi enveloppée que sympathique. Cette dernière me dit que j'ai reçu une lettre du roi, m'invitant à obtenir ma licence de carrière. Car c'est ainsi qu'on appelle les métiers à Rêveria : des carrières. Je découvre vite que j'ai l'embarras du choix parmi celles-ci : cuisinière, paladin, couturière, magicienne… Le choix est rude, mais je décide de protéger ma ville et de veiller sur ses habitants en devenant paladin. Alors que mon choix est fait, j'entends du grabuge dehors. Un papillon doré se fait embêter par des malfrats ! N'écoutant que mon courage, je pars le secourir… Et me fais racketter à mon tour. J'ai encore du boulot en tant que gardien de la paix. Mais déçues de leur maigre butin, les racailles nous laissent tranquilles. C'est ainsi que je fais la découverte de Flotillon, une jeune papillon très curieuse qui veut en apprendre plus sur moi. Flotillon décide de m'accompagner, et la jeune lépidoptère se révèle pleine de mystères !
En plus de gagner des rêvah (la monnaie à Rêveria), je peux gagner des points de Liesse et des étoiles. Ces dernières me sont offertes par mon maître de carrière, quand je réalise différentes missions liées à mon statut. Par exemple, en tant que paladin, je dois protéger les habitants et aller occire quelques vilains loups rouges qui rôdent au pré émeraude. Plus je remplis de missions, plus je monte en niveau dans ma carrière, pour passer de gros noob à paladin de légende ! Ces tâches sont donc toutes différentes selon le métier et il y aura fort à faire pour toutes les accomplir. Bien sur, je gagne aussi de l'expérience, et c'est là que le côté RPG de l'univers se révèle. À chaque montée de niveau, je gagne des points à répartir entre mes différentes statistiques ; à chacun, après, de décider si il veut un personnage complet et équilibré ou plus adapté au combat qu'à l'alchimie. Sans être très tactique ou compliqué, ce petit côté RPG est appréciable. Et enfin, les points de Liesse : C'est Flotillon qui les délivre. Pour une raison cachée, celle-ci est très intéressée par les rêves et envies de chacun, et en réaliser permet d'obtenir ces fameux points. Ceux de Flotillon sont d'ailleurs liés à la quête principale, que vous pourrez faire avancer à votre guise. Ces points permettent d'obtenir des bonus non négligeables, tels qu'agrandir votre sac, augmenter les gammes d'objets dispos en ville ou chevaucher un canasson (et vu l'ampleur du monde à parcourir, vous allez vite vouloir débloquer le cheval). La masse de chose à faire ou à débloquer dans Fantasy Life est donc gargantuesque et la durée de vie presque illimitée.
Mercredi et jeudi : Une réalisation à la hauteur
Au fur et à mesure que les désirs de Flotillon le papillon, sont satisfaits l'histoire principale avance et débloque les différentes zones qu'ils me sont possibles de visiter. Les missions obligatoires à l'avancée de l'histoire ne sont pas les plus passionnantes. Il faut dire qu'il y a beaucoup de bla-bla (sans grosse surprise, le studio en charge de Fantasy Life a bien réalisé les Professeurs Layton, sommité en matière de jacasserie). L'histoire de Fantasy Life n'est pas ce qu'on retiendra le plus. Sympathique mais loin d'être révolutionnaire : des roches magiques tombent du ciel et transforment les animaux en dangereuses créatures. À partir de là, il faut partir à la recherche des réponses et trouver le pourquoi du comment. On voit venir les choses de très loin, mais on se prend quand même au jeu, grâce à un large panel de personnages hauts en couleurs. Au final, le scénario se finit vite, sans qu'on ne rencontre de réelles difficultés, et on peut se concentrer sur l'exploration et l'évolution de nos carrières, point fort du jeu.
Il faut noter un point important, qui pourra fatiguer plus d'un joueur : les nombreux allers et retours. Il faut plusieurs fois aller au même endroit pour avancer dans l'histoire ou pour remplir certaines missions données. Et quand on a pas débloqué le cheval ou votre cottage au bord de la plage, aller à tel emplacement peut prendre du temps. Le système de butin - qui sont obtenus quand vous vainquez un ennemi particulièrement fort, coupez un arbre super costaud ou pêchez un poisson de la taille de votre maison - renforce cette impression, car vous êtes obligés de retourner à la guilde avec pour empocher le pactole.
Si le joueur est totalement immergé dans le jeu, ce défaut lui paraîtra mineur, tout occupé qu'il est à couper un badass baobab qui vous rapportera un gros paquet d'argent et de prestige. Sinon, l'impression de répétition se fera vite sentir. Mais grâce à tous ces voyages, vous pouvez admirer tous les environnements et apprécier la musique à sa juste valeur. La réalisation est vraiment très travaillée, avec des décors féeriques fourmillant de détails, un ample bestiaire et de très nombreux personnages. La bande-son est accrocheuse et colle très bien à chaque univers. On peut juste regretter leur faible nombre, qui laisse un arrière-goût de fainéantise de la part de Monsieur Nobuo Uematsu. Le monsieur ne va quand même pas nous faire croire qu'il n'était pas capable de mieux !
Bref, un joli petit monde qui nous fait rêver et donne sa pleine mesure au gameplay et à l'immensité du contenu.
Vendredi et samedi : Du boulot en veux-tu en voilà
Une fois l'histoire principale terminée, parfois en trainant un peu les pieds donc, on peut s'investir à 100% dans l'accomplissement des carrières, au ramassage de gros butins et au craft en bonne et due forme.
Évidemment, lors du choix de la première licence, il faut suivre le didacticiel de celle-ci histoire de se mettre dans le bain. Heureusement, vous aurez la possibilité de sauter cette partie par la suite, et d'obtenir directement votre licence. C'est là qu'on découvre que les métiers peuvent être répartis en trois catégories qui sont : combat, réalisation et récolte. On se rend bien vite compte, aussi, du fait qu'il est plus facile de commencer par un métier que par un autre. Mais si on a le goût du challenge, après... Tous les métiers se complètent les uns les autres ; et même si il est possible d'acheter la plupart des matériaux, il est plus sympa et moins onéreux d'aller le chasser / récolter soi-même. De plus, vous seuls pourrez réaliser des armes, potions et autres vêtements améliorés. Tout dépendra de votre réussite lors de la confection.
Celle-ci se déroule sous forme de QTE. La première fois que l'on découvre cette phase de gameplay, le joueur est bien content de cette diversification... Pour vite déchanter devant les autres métiers créatifs : c'est la même chose. Si l'action est toujours sympa à réaliser, tout en serrant les dents pour avoir un résultat parfait, on regrette que l'acte à réaliser ne soit pas différent selon le métier. Il n'aurait pourtant pas été difficile d'inventer un mini-jeu différent pour les quatre métiers affiliés à cette catégorie. Quand aux combats, ils sont basiques : vous n'avez le choix qu'entre trois actions d'attaque différentes. Si des monstres donnent plus de fil à retordre que d'autres, le challenge restera la plupart du temps tout à fait surmontable. Mais casser la goule à de gros dragons reste jouissif, et il est possible d'aborder le combat à sa manière, selon la classe de combat que l'on préfère.
Si bûcheron ou pêcheur semblent avoir moins d'attrait que paladin ou magicien, détrompez-vous. On découvre vite que chasser le roi des mers peut se révéler aussi palpitant que de combattre un dragon, grâce à l'enjeu des butins et à ce qu'ils nous permettront de réaliser. Ainsi, aucun métier ne se détache réellement des autres, tous sont équilibrés et proposent autant de services à rendre les uns que les autres. Une fois que vous les maîtriserez tous, vous pourrez réaliser de bout en bout l'objet de vos désirs : de la coupe de l'arbre à la chasse au mouton pour ensuite transformer la laine et enfin découper le bois afin de réaliser le fauteuil de vos rêves pour une de vos nombreuses propriétés. Le nombre de ressources est gigantesque, pour vous donner autant de possibilités de créer qu'il y a d'étoiles dans le ciel de Rêveria.
Dimanche : le temps de la conclusion
C'est donc là les gros points fort de Fantasy Life : la liberté d'action et l'énorme quantité de choses à faire. Passer des niveaux de classes à travers ses innombrables missions est hyper plaisant, tout en craftant son personnage de ses propres mains et en décorant sa maison à sa guise, renforçant ainsi le côté simulation de vie. Le tout forme un melting pot de genre qui, si on se prend au jeu (et il n'y a pas de raison de ne pas s'y prendre), vous occupera plus d'une centaine d'heures sans se lasser. Son univers magique, le nombre de quêtes et de personnages, tout est fait pour rendre la durée du jeu toujours plus longue et agréable. C'est donc un jeu indispensable de la 3DS qui se présente à nous.
Qui plus est, il est possible d'inviter trois de vos amis à partir à l'aventure avec vous, pour pouvoir combattre du monstre plus facilement. À noter que le DLC Origin Island est aussi disponible, pour ceux qui en veulent encore et toujours plus.
De peachgirll [7837 Pts], le 13 Septembre 2016 à 12h51
C'est un super jeu, j'aime beaucoup!