Manga Des Mauvaises Filles s'installent chez Cornélius
Tandis que l'auteure coréenne Ancco fera partie des artistes invitées à livre Paris où la Corée est l'invitée d'honneur, les éditions Cornélius proposeront en mars l'une de ses oeuvres, Mauvaises Filles.
En suivant dans cet album les parcours initiatiques de deux adolescentes, l'auteure questionnera son lecteur sur la place de la violence dans la société coréenne post crise économique de la fin des années 90.
L'ouvrage sortira le 10 mars au prix de 19,50€ dans une luxueuse édition.
Synopsis :
Jin-joo est une mauvaise fille. Elle fume, découche, nargue ses professeurs et cause du souci à ses parents. Son père, un petit patron, n’a que ses poings pour exprimer sa peur de la voir mal tourner. Alors il la passe à tabac, régulièrement.
La Corée subit la crise économique de la fin des années 1990 et la violence demeure la forme la plus simple et naturelle du contact humain. Au collège, les professeurs cognent les élèves et les anciennes rossent les nouvelles. Dans l’indifférence générale, on meurt sous les coups d’un père ou d’un petit copain.
L’adolescente trouve un peu de chaleur humaine auprès de Jung-ae, la fille d’un petit voyou, encore plus paumée qu’elle. Une fugue avortée les mène jusqu’au quartier des bars à hôtesses. Si la famille de Jin-joo la récupère, la rue avale Jung-ae, qui n’aura pas de seconde chance.
En suivant dans cet album les parcours initiatiques de deux adolescentes, l'auteure questionnera son lecteur sur la place de la violence dans la société coréenne post crise économique de la fin des années 90.
L'ouvrage sortira le 10 mars au prix de 19,50€ dans une luxueuse édition.
Synopsis :
Jin-joo est une mauvaise fille. Elle fume, découche, nargue ses professeurs et cause du souci à ses parents. Son père, un petit patron, n’a que ses poings pour exprimer sa peur de la voir mal tourner. Alors il la passe à tabac, régulièrement.
La Corée subit la crise économique de la fin des années 1990 et la violence demeure la forme la plus simple et naturelle du contact humain. Au collège, les professeurs cognent les élèves et les anciennes rossent les nouvelles. Dans l’indifférence générale, on meurt sous les coups d’un père ou d’un petit copain.
L’adolescente trouve un peu de chaleur humaine auprès de Jung-ae, la fille d’un petit voyou, encore plus paumée qu’elle. Une fugue avortée les mène jusqu’au quartier des bars à hôtesses. Si la famille de Jin-joo la récupère, la rue avale Jung-ae, qui n’aura pas de seconde chance.
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De nolhane [6594 Pts], le 25 Février 2016 à 18h40
Comme toujours chez Cornelius cette oeuvre semble très interessante
De peachgirll [7826 Pts], le 25 Février 2016 à 12h34
Ça a l'air plutôt sympa. Je m'y intéresserai à la sortie.