Dvd Chronique animation - Dragon ball Z - la résurrection de 'F'
On ne présente plus Dragon Ball, ce monument du manga qui a donné lieu à une multitude de déclinaisons dont Dragon Ball Z, anime fleuve qui a pourtant joué un rôle extrêmement important dans l’implantation du manga et de l’animation japonaise dans nos contrées et dans le monde. Dragon Ball, c’est un titre qui fait vibrer encore à l’heure actuelle et qui n’arrête pas de déchaîner les passions.
Depuis quelque temps, le titre d’Akira Toriyama bénéficie d’un revival complet qui débuta en 2013 avec le long film Battle of Gods. Mais à ce stade, personne ne pensait vraiment que la licence préparait un come-back bien plus large… Juillet de cette année va ainsi marquer le début de Dragon Ball Super, une suite animée directe de l’arc Boo qui effacera purement et simplement Dragon Ball GT de la chronologie officielle en plus de faire écho aux productions actuelles. L’une d’entre elles est ainsi La résurrection de ‘F’, une « suite » à Battle of Gods qui a provoqué l’enthousiasme des fans de par son concept, le retour de l’un des ennemis les plus appréciés et les plus effrayants de la saga. Et alors qu’on s’attendait plutôt à une sortie direct-to-DVD d’ici quelques mois, à l’instar du film précédent, Viz propose aux fans français différentes projections exclusives du film en VOSTFR 3D au cinéma « Le Grand Rex » avant de sans doute s’attaquer aux salles obscures de tout l’hexagone… Le retour de Dragon Ball Z dans les cinémas français était inespéré, mais il a bel et bien lieu. Et finalement, que nous réserve ce quinzième film de la saga ? Ne le cachons pas plus longtemps : beaucoup de bonnes choses !
L’histoire se déroule quelque temps après les événements de Battle of Gods qui ont introduit Beerus et Whis. Gokû et Vegeta s’entraînent ainsi face au mentor du Dieu de la destruction, dans leur dimension éloignée, sans se douter du danger qui les guette. En effet, Sorbet et Tagoma, deux soldats de l’armée défaite de Freezer, arrivent sur Terre pour redonner vie à leur maître et parviennent à exaucer leur souhait en dérobant les dragon ball à Pilaf et sa bande qui étaient sur le point de les réunir. Shenron exauce ainsi le redouté vœu et Freezer revient à la vie, plus enragé que jamais, et boue de désir de prendre sa revanche sur les Saiyen. Mais le tyran a bien conscience que depuis, Sangokû a fait d’énormes progrès et pour la première fois de sa vie, Freezer va lui aussi entamer un entraînement intensif. Quatre mois plus tard, il revient sur Terre, accompagné d’une armée de 1 000 hommes, dans le but de se venger…
Nombreux sont les fans qui ont critiqué Battle of Gods pour son manque de combats et la dominance de l’humour typique des débuts du manga. La Toei ainsi qu’Akira Toriyama ont entendu ces fans pour ce film qui reprend les bonnes vieilles recettes : proposer du fan-service à tout va et faire vibrer les plus nostalgiques des fans de Dragon Ball. Après une longue introduction sur le retour de Freezer, le film plonge directement dans l’action et n’en ressort pas jusqu’à la dernière minute du film. La résurrection de ‘F’ n’est pas avare en combats, loin de là, et fait même preuve de très bonnes idées pour caresser le fan dans le sens du poil. Ainsi, Gokû n’est pas le seul à combattre et dans un premier temps, se sont bien différents acolytes de la « Team Z » qui font la gloire du film dont certains que l’on n’attendait pas forcément et qui constitue même une excellente surprise ! A ce propos, il est judicieux que Toriyama ait choisi de créer un lien entre le film et une de ses œuvres toutes récentes, mais là aussi, motus et bouche cousue…
Et évidemment, il y a le combat de Gokû qui ne se contente pas d’œuvrer dans le fan-service basique, mais pousse même plus loin la mythologie de la série intégrée dans Battle of Gods, le tout en respectant les us et coutumes de la saga Dragon Ball. On est alors dans la surenchère de puissance, les combats sont endiablés, les explosions fusent et bien que côté animation la Toei ne soit pas toujours au bout du jour et ait tendance à user et abuser de la 3D, le spectateur en prend plein les mirettes et apprécie les nouveaux combats qui lui sont offerts, avec le lot de rebondissements qui va avec.
On parlait plus haut d’un film fidèle à la recette Dragon Ball Z, et force est de constater que nombreuses sont les références et clins d’œil aux différentes étapes de l’histoire. Le tout a parfois lieu de manière hasardeuse, pour montrer que le staff n’a pas oublié le passé de la série (par exemple l’existence du père de Freezer), mais d’autres sont intelligemment trouvés, renvoient à d’autres films de la saga ou jouent même avec les différents gags qui amusent les fans à l’heure actuelle, par exemple la « faiblesse » de certains personnages qu’on ne nommera pas ici histoire de les respecter un tant soit peu…
Avec de tels arguments, difficile de ne pas attribuer à La résurrection de ‘F’ le statut parfait. Et pourtant, le film fait preuve de défauts qui peuvent même parfois s’avérer gênants. On passera outre l’inutilité de la 3D puisque nous ne sommes pas là pour ça, de même que nous n’évoquerons pas plus que ça l’animation qui aurait pu être mieux traitée pour nous offrir des combats encore plus spectaculaires. Parlons plutôt des défauts d’un point de vue narratif sans toutefois spoiler. Le premier constat, c’est que La résurrection de ‘F’, bien que le film mette davantage l’accent sur les combats, garde des traces de Battle of Gods par la grande présence d’humour marquée par les personnages de Beerus et Whis et leur adoration de la cuisine de Bulma ce qui, au départ, apporte des gags amusants, mais qui, survenant en pleine scène d’action, cassent complètement le rythme d’un combat. Autre point majeur, la conclusion du film ne plaira pas à tout le monde à cause de son lot de pirouettes scénaristiques parfois peu crédibles et une fin manquant peut-être un poil d’intensité malgré un retournement de situation spectaculaire et brutal. Il est alors dommage que ce soit le point final du long-métrage qui fasse grincer des dents.
A la musique du film, nous retrouvons le nom de Norihito Sumitomo qui se charge des compositions de la saga depuis Battle of Gods et la seconde partie de Dragon Ball Z Kai et qui restera sur la série Dragon Ball Super. L’ambiance qu’il apporte par ses compositions est très différente de celle transmise par Dragon Ball Z et les musiques se font même très discrètes, excepté peut-être le team de Freezer qui retranscrit tout le machiavélisme du personnage. Pour le reste, la bande originale ne reste pas dans les esprits, sauf [F], musique initialement composée par le groupe de Métal Maximum the Hormone qui traitait de l’ennemi qu’est Freezer ainsi que ses actes. L’anecdote est d’ailleurs amusante puisque c’est cette même chanson qui a lancé Toriyama vers l’écriture d’une nouvelle histoire sur Freezer. Concernant la musique, elle a l’efficacité de donner beaucoup d’allure à une scène emblématique du début du film. Enfin vient Z no Chikai, le générique de fin interprété par le girls-band Momoiro Clover Z qu’on avait déjà entendu sur Sailor Moon Crystal. La chanson, pas forcément déplaisante en soit, propose en revanche un grand décalage avec l’ambiance Dragon Ball Z, aussi le choix d’un tel groupe est surprenant.
Après tant d’années, on pouvait aussi redouter que les seiyuus d’origine aient perdu de leur prestance vocale, mais il n’en est rien. Ryusei Nakao retrouve avec brio son personnage, Freezer, et le rend aussi effrayant qu’à l’accoutumée. Masako Nozawa s’est, elle, bien imprégnée de nouveau du rôle de Gokû depuis le dernier film puisqu’elle nous livre une prestation extrêmement dynamique, même chose pour Ryo Horikawa qui rend Vegeta toujours aussi solitaire et orgueilleux. Maintenant, on est curieux de voir les prestations que nous offrirons Patrick Borg, Eric Legrand et tous leurs compères.
Les fans ont été entendus et Dragon Ball Z : La résurrection de ‘F’ est une réussite, un retour aux sources d’excellente facture qui sait tenir compte des évolutions de l’univers de la série. Tout n’est pas parfait, loin de là, mais de grands efforts ont été faits pour offrir aux fans un spectacle qui leur permettrait de revivre le Dragon Ball de leur enfance, et c’est ainsi qu’il faut vivre le film. La machine DBZ est bel et bien de retour et après ce beau moment, c’est un nouveau segment qui s’offre à nous : Dragon Ball Super. Gokû et ses amis sont loin de nous quitter !
Depuis quelque temps, le titre d’Akira Toriyama bénéficie d’un revival complet qui débuta en 2013 avec le long film Battle of Gods. Mais à ce stade, personne ne pensait vraiment que la licence préparait un come-back bien plus large… Juillet de cette année va ainsi marquer le début de Dragon Ball Super, une suite animée directe de l’arc Boo qui effacera purement et simplement Dragon Ball GT de la chronologie officielle en plus de faire écho aux productions actuelles. L’une d’entre elles est ainsi La résurrection de ‘F’, une « suite » à Battle of Gods qui a provoqué l’enthousiasme des fans de par son concept, le retour de l’un des ennemis les plus appréciés et les plus effrayants de la saga. Et alors qu’on s’attendait plutôt à une sortie direct-to-DVD d’ici quelques mois, à l’instar du film précédent, Viz propose aux fans français différentes projections exclusives du film en VOSTFR 3D au cinéma « Le Grand Rex » avant de sans doute s’attaquer aux salles obscures de tout l’hexagone… Le retour de Dragon Ball Z dans les cinémas français était inespéré, mais il a bel et bien lieu. Et finalement, que nous réserve ce quinzième film de la saga ? Ne le cachons pas plus longtemps : beaucoup de bonnes choses !
L’histoire se déroule quelque temps après les événements de Battle of Gods qui ont introduit Beerus et Whis. Gokû et Vegeta s’entraînent ainsi face au mentor du Dieu de la destruction, dans leur dimension éloignée, sans se douter du danger qui les guette. En effet, Sorbet et Tagoma, deux soldats de l’armée défaite de Freezer, arrivent sur Terre pour redonner vie à leur maître et parviennent à exaucer leur souhait en dérobant les dragon ball à Pilaf et sa bande qui étaient sur le point de les réunir. Shenron exauce ainsi le redouté vœu et Freezer revient à la vie, plus enragé que jamais, et boue de désir de prendre sa revanche sur les Saiyen. Mais le tyran a bien conscience que depuis, Sangokû a fait d’énormes progrès et pour la première fois de sa vie, Freezer va lui aussi entamer un entraînement intensif. Quatre mois plus tard, il revient sur Terre, accompagné d’une armée de 1 000 hommes, dans le but de se venger…
Nombreux sont les fans qui ont critiqué Battle of Gods pour son manque de combats et la dominance de l’humour typique des débuts du manga. La Toei ainsi qu’Akira Toriyama ont entendu ces fans pour ce film qui reprend les bonnes vieilles recettes : proposer du fan-service à tout va et faire vibrer les plus nostalgiques des fans de Dragon Ball. Après une longue introduction sur le retour de Freezer, le film plonge directement dans l’action et n’en ressort pas jusqu’à la dernière minute du film. La résurrection de ‘F’ n’est pas avare en combats, loin de là, et fait même preuve de très bonnes idées pour caresser le fan dans le sens du poil. Ainsi, Gokû n’est pas le seul à combattre et dans un premier temps, se sont bien différents acolytes de la « Team Z » qui font la gloire du film dont certains que l’on n’attendait pas forcément et qui constitue même une excellente surprise ! A ce propos, il est judicieux que Toriyama ait choisi de créer un lien entre le film et une de ses œuvres toutes récentes, mais là aussi, motus et bouche cousue…
Et évidemment, il y a le combat de Gokû qui ne se contente pas d’œuvrer dans le fan-service basique, mais pousse même plus loin la mythologie de la série intégrée dans Battle of Gods, le tout en respectant les us et coutumes de la saga Dragon Ball. On est alors dans la surenchère de puissance, les combats sont endiablés, les explosions fusent et bien que côté animation la Toei ne soit pas toujours au bout du jour et ait tendance à user et abuser de la 3D, le spectateur en prend plein les mirettes et apprécie les nouveaux combats qui lui sont offerts, avec le lot de rebondissements qui va avec.
On parlait plus haut d’un film fidèle à la recette Dragon Ball Z, et force est de constater que nombreuses sont les références et clins d’œil aux différentes étapes de l’histoire. Le tout a parfois lieu de manière hasardeuse, pour montrer que le staff n’a pas oublié le passé de la série (par exemple l’existence du père de Freezer), mais d’autres sont intelligemment trouvés, renvoient à d’autres films de la saga ou jouent même avec les différents gags qui amusent les fans à l’heure actuelle, par exemple la « faiblesse » de certains personnages qu’on ne nommera pas ici histoire de les respecter un tant soit peu…
Avec de tels arguments, difficile de ne pas attribuer à La résurrection de ‘F’ le statut parfait. Et pourtant, le film fait preuve de défauts qui peuvent même parfois s’avérer gênants. On passera outre l’inutilité de la 3D puisque nous ne sommes pas là pour ça, de même que nous n’évoquerons pas plus que ça l’animation qui aurait pu être mieux traitée pour nous offrir des combats encore plus spectaculaires. Parlons plutôt des défauts d’un point de vue narratif sans toutefois spoiler. Le premier constat, c’est que La résurrection de ‘F’, bien que le film mette davantage l’accent sur les combats, garde des traces de Battle of Gods par la grande présence d’humour marquée par les personnages de Beerus et Whis et leur adoration de la cuisine de Bulma ce qui, au départ, apporte des gags amusants, mais qui, survenant en pleine scène d’action, cassent complètement le rythme d’un combat. Autre point majeur, la conclusion du film ne plaira pas à tout le monde à cause de son lot de pirouettes scénaristiques parfois peu crédibles et une fin manquant peut-être un poil d’intensité malgré un retournement de situation spectaculaire et brutal. Il est alors dommage que ce soit le point final du long-métrage qui fasse grincer des dents.
A la musique du film, nous retrouvons le nom de Norihito Sumitomo qui se charge des compositions de la saga depuis Battle of Gods et la seconde partie de Dragon Ball Z Kai et qui restera sur la série Dragon Ball Super. L’ambiance qu’il apporte par ses compositions est très différente de celle transmise par Dragon Ball Z et les musiques se font même très discrètes, excepté peut-être le team de Freezer qui retranscrit tout le machiavélisme du personnage. Pour le reste, la bande originale ne reste pas dans les esprits, sauf [F], musique initialement composée par le groupe de Métal Maximum the Hormone qui traitait de l’ennemi qu’est Freezer ainsi que ses actes. L’anecdote est d’ailleurs amusante puisque c’est cette même chanson qui a lancé Toriyama vers l’écriture d’une nouvelle histoire sur Freezer. Concernant la musique, elle a l’efficacité de donner beaucoup d’allure à une scène emblématique du début du film. Enfin vient Z no Chikai, le générique de fin interprété par le girls-band Momoiro Clover Z qu’on avait déjà entendu sur Sailor Moon Crystal. La chanson, pas forcément déplaisante en soit, propose en revanche un grand décalage avec l’ambiance Dragon Ball Z, aussi le choix d’un tel groupe est surprenant.
Après tant d’années, on pouvait aussi redouter que les seiyuus d’origine aient perdu de leur prestance vocale, mais il n’en est rien. Ryusei Nakao retrouve avec brio son personnage, Freezer, et le rend aussi effrayant qu’à l’accoutumée. Masako Nozawa s’est, elle, bien imprégnée de nouveau du rôle de Gokû depuis le dernier film puisqu’elle nous livre une prestation extrêmement dynamique, même chose pour Ryo Horikawa qui rend Vegeta toujours aussi solitaire et orgueilleux. Maintenant, on est curieux de voir les prestations que nous offrirons Patrick Borg, Eric Legrand et tous leurs compères.
Les fans ont été entendus et Dragon Ball Z : La résurrection de ‘F’ est une réussite, un retour aux sources d’excellente facture qui sait tenir compte des évolutions de l’univers de la série. Tout n’est pas parfait, loin de là, mais de grands efforts ont été faits pour offrir aux fans un spectacle qui leur permettrait de revivre le Dragon Ball de leur enfance, et c’est ainsi qu’il faut vivre le film. La machine DBZ est bel et bien de retour et après ce beau moment, c’est un nouveau segment qui s’offre à nous : Dragon Ball Super. Gokû et ses amis sont loin de nous quitter !
De NeoDestiny [252 Pts], le 01 Juillet 2015 à 13h05
Si vous habitez Paris ou à proximité, profitez-en, le Grand Rex ont ajouté une séance supplémentaire le 11 juillet, d'autant plus que l'organisateur a dit qu'il devrait avoir aussi un marathon DBZ avec les films Battle of Gods et La Résurrection de 'F'.
De misae [1083 Pts], le 30 Juin 2015 à 22h23
Ayant énormément apprécié Battle of Gods, j'ai maintenant encore plus envie de voir ce film !
De Bobmorlet [5629 Pts], le 30 Juin 2015 à 20h04
Il est très beau. Bon anime!
De Chilu [311 Pts], le 30 Juin 2015 à 16h46
En tout cas, j'ai adoré le film, j'ai eu l'impression de retrouver tout ce que j'aimais dans DBZ. A la fin du film, on ne peut s'empêcher de dire: Enfin un film digne de DBZ.
De Jonasan, le 30 Juin 2015 à 16h44
Ah ça me rassure alors ! le seul et unique intérêt à regarder Dragon Ball en VF c'est justement ces voix qui ont bercées notre enfance , les retirer seraient une belle connerie , merci pour l'info :)
De Chilu [311 Pts], le 30 Juin 2015 à 16h44
Ayant une préférence pour VO, j'ai aussi un attachement pour la VF avec laquelle j'ai grandi. Ce serait bête de la part de la Toei de nous enlever les doubleurs VF alors qu'eux-mêmes n'envisageraient pas de changer de voix pour Goku concernant la VO.
De Takato [1941 Pts], le 30 Juin 2015 à 16h01
@Jonasan : L'information était vraie... pendant deux jours. Eric Legrand et Brigitte Lecordier ont heureusement fait savoir à leur fans que depuis, ils ont bel et bien été rappelés pour le nouveau film. Ce sera donc bien leurs voix que nous retrouverons sur la VF, ne t'en fais pas. ;)
De Jonasan, le 30 Juin 2015 à 15h20
Maintenant, on est curieux de voir les prestations que nous offrirons Patrick Borg, Eric Legrand et tous leurs compères.
Ba c'est ça le problème c'est qu'aux dernières nouvelles ba c'est pas eux qui feraient le doublage ... ils couteraient apparemment beaucoup trop cher pour ce que c'est et la Toei Animation Europe préférerait prendre des acteurs de merde pas cher qui n'ont aucune expérience ... une pétition tourne d'ailleurs en ce moment pour qu'on puisse avoir nos voix FR d'origine , allez y jeter un oeil si vous avez le temps .
De raitto [2170 Pts], le 30 Juin 2015 à 15h05
Ca donne encore plus envie.