Culture L'Oie Sauvage, roman de Mori Ôgai chez Cambourakis
Depuis quelques jours et pour 10€, vous pouvez vous procurer en magasin aux éditions Cambourakis L'Oie Sauvage, un roman de Mori Ôgai.
Chirurgien, romancier, novelliste, poète, dramaturge, critique et traducteur, Mori Ôgai (1862-1922) est un intellectuel de premier plan de l’ère Meiji (1868-1912), qui a effectué de nombreux voyages en Europe, notamment en Allemagne, et en a profité pour s’intéresser à la littérature, à la philosophie et aux arts de notre continent. À son retour au Japon, frappé par le gouffre qui sépare les deux mondes et fort de ses expériences à l’étranger, il entend moderniser à la fois la médecine et la littérature de son pays : entre les différentes guerres qui le forcent à interrompre son activité littéraire foisonnante, il crée plusieurs revues, publie des romans (dont Vita Sexualis ou l’apprentissage amoureux du professeur Kanai Shizuka, censuré dès les premières semaines de sa publication), en traduit d’autres (de Goethe, Strindberg, Schnitzler, Shakespeare, Ibsen...).
Synopsis :
Un soir de septembre, à Tokyo, en l’an treize de Meiji, le calme regard d’Otama croise pour la première fois celui d’un étudiant en médecine passant distraitement devant sa modeste demeure de « maîtresse entretenue ». Un sourire se dessine bientôt sur le visage un peu triste de la jeune femme tandis que le promeneur, inconsciemment, ôte sa coiffure pour saluer cette reconnaissance secrète aussi bien qu’incertaine. Dès lors, au fil des jours, une relation s’instaure, sans parole, et les arrière-pensées fleurissent, au passage, à travers le treillis d’une fenêtre…
Chirurgien, romancier, novelliste, poète, dramaturge, critique et traducteur, Mori Ôgai (1862-1922) est un intellectuel de premier plan de l’ère Meiji (1868-1912), qui a effectué de nombreux voyages en Europe, notamment en Allemagne, et en a profité pour s’intéresser à la littérature, à la philosophie et aux arts de notre continent. À son retour au Japon, frappé par le gouffre qui sépare les deux mondes et fort de ses expériences à l’étranger, il entend moderniser à la fois la médecine et la littérature de son pays : entre les différentes guerres qui le forcent à interrompre son activité littéraire foisonnante, il crée plusieurs revues, publie des romans (dont Vita Sexualis ou l’apprentissage amoureux du professeur Kanai Shizuka, censuré dès les premières semaines de sa publication), en traduit d’autres (de Goethe, Strindberg, Schnitzler, Shakespeare, Ibsen...).
Synopsis :
Un soir de septembre, à Tokyo, en l’an treize de Meiji, le calme regard d’Otama croise pour la première fois celui d’un étudiant en médecine passant distraitement devant sa modeste demeure de « maîtresse entretenue ». Un sourire se dessine bientôt sur le visage un peu triste de la jeune femme tandis que le promeneur, inconsciemment, ôte sa coiffure pour saluer cette reconnaissance secrète aussi bien qu’incertaine. Dès lors, au fil des jours, une relation s’instaure, sans parole, et les arrière-pensées fleurissent, au passage, à travers le treillis d’une fenêtre…