Japon Teppei Fukushima commence Amaririsu
Le mangaka Teppei Fukushima va commencer une toute nouvelle série dans le magazine Miracle Jump de juin, en vente demain au Japon : Amaririsu.
En France, l'auteur est connu pour Samourai Usagi, une série en 8 tomes éditée par Glénat.
Synopsis:
Petit nouveau dans la famille des mangas de samurai se déroulant lors de la période Edo (1603-1868), Samurai Usagi se distingue par un graphisme et un ton légers, plus proches d’un Kenshin que d’un Vagabond. Mais ne vous fiez pas aux apparences : la condition de son jeune héros est des plus précaires et les éléments historiques sont divulgués avec précision.
Adolescent de 15 ans, Gosuke a hérité du dôjo de son père, mort dans des circonstances embarrassantes : victime d’un malentendu stupide, il fut contraint au seppuku (hara-kiri). Portant le poids de cette tragédie, Gosuke est ainsi balloté entre un profond manque de confiance en lui et le désir brûlant de laver l’humiliation paternelle. Heureusement, il peut compter sur le soutien moral de sa jeune épouse, Shino, une gamine obsédée par les lapins qui passe ses journées à confectionner des masques à leur effigie qu’elle vend ensuite. Grâce à elle, Gosuke va se découvrir un but : créer sa propre école de Kendô et surtout son propre style de combat, le style « usagi » (du lapin).
En France, l'auteur est connu pour Samourai Usagi, une série en 8 tomes éditée par Glénat.
Synopsis:
Petit nouveau dans la famille des mangas de samurai se déroulant lors de la période Edo (1603-1868), Samurai Usagi se distingue par un graphisme et un ton légers, plus proches d’un Kenshin que d’un Vagabond. Mais ne vous fiez pas aux apparences : la condition de son jeune héros est des plus précaires et les éléments historiques sont divulgués avec précision.
Adolescent de 15 ans, Gosuke a hérité du dôjo de son père, mort dans des circonstances embarrassantes : victime d’un malentendu stupide, il fut contraint au seppuku (hara-kiri). Portant le poids de cette tragédie, Gosuke est ainsi balloté entre un profond manque de confiance en lui et le désir brûlant de laver l’humiliation paternelle. Heureusement, il peut compter sur le soutien moral de sa jeune épouse, Shino, une gamine obsédée par les lapins qui passe ses journées à confectionner des masques à leur effigie qu’elle vend ensuite. Grâce à elle, Gosuke va se découvrir un but : créer sa propre école de Kendô et surtout son propre style de combat, le style « usagi » (du lapin).