Vraiment pas mal, alor c'est vrais que ça s'enchaîne vraiment très (trop) vite que le style de dessin parfois m'on laissé perplexe mais ca vaut quand meme le détour, et jai un un des commentaires mais oui le personnage de tomoyo pourrait a elle seul fair l'objet d'un manga, c'est une femme forte, drole, débrouillarde et franchement suivre des story sur elle, ca vie, y'a vraiment de quoi faire ! 16/20 ca ce lit rapidement
J'ai souvent du mal avec le format "one shot" mais My Broken Mariko est une réelle exception ! Le dessin ainsi que la narration vaut le détour. Je recommande fortement !
Je suis assez déçue par My Broken Mariko , je suis quelqu'un d'assez sensible et je m'attendais à des émotions fortes mais, en réalité, je n'ai rien ressenti durant ma lecture... Le thème est fort et intéressant mais le traitement beaucoup trop léger ne m'a pas transportée. Tout s'enchaine trop vite, ça reste trop en surface, les personnages ne sont pas attachants, ça m'a semblé creux. En plus, je n'adhère pas au côté grotesque de certaines planches et situations, je trouve que ça casse l'ambiance, je n'arrivais pas à me sentir concernée, je m’en suis même sentie totalement détachée.
Après, ça se lit, ça reste sympathique mais sans plus, je m’attendais à quelque chose de bien plus profond. Je trouve qu’il y a des œuvres qui exploitent bien mieux ce genre de thème comme L'Oiseau bleu, Mon père alcoolique et moi, Le monde selon Setchan, Solanin ou encore Ce que j'ai à te dire qui m'ont, quant à eux, vraiment touchée et complètement retournée.
Bref, étant amatrice du genre, je suis très déçue car je m’attendais à ressentir des émotions fortes, à lire une œuvre marquante. Malheureusement, cette lecture m’a laissée de marbre…Pourtant, je suis quelqu’un de très émotif et il m’arrive très souvent de pleurer en lisant mais ici, c’était juste le néant.
un sublime portrait de femmes.. un one shot hélas, le personnage de tomoyo pourrait être suivi sur une autre histoire. Tant de lignes suggérées par ce scénario, tant de puissance, tant de possibilités. un sans faute
Sur le suicide, sujet particulièrement sensible au Japon, il y a deux approches possibles. Celle de Guillem March l'an dernier était fantastique et allégorique en se concentrant sur la suicidée. Celle de Waka Hirako se focalise sur celle qui reste, Tomoyo. la sensibilité de cette histoire est surprenante d'autant que l'autrice n'y va pas par quatre chemins: Mariko a eu une vie brisée par un père dément d'alcool, victime de violences quotidiennes, de viol incestueux et bien entendu de harcèlement psychologie culpabilisateur… Un cocktail tristement classique dans ce genre de cas et l'on comprend vite que ce suicide est un soulagement pour la victime. le manga n'aborde pas le pourquoi ni les raisons familiales et sociétales de ce phénomène mais se concentre sur le souvenir de la disparue et la difficulté à accepter la réalité du deuil par son amie. le scénario prend ainsi la forme d'un road-story nerveux où le trait hargneux, comique et subtile selon les séquences, accompagne magnifiquement une traversée de l'esprit fiévreux de Tomo qu'il nous est proposé d'accompagner.[...]
De Antoine775 [95 Pts], le 05 Août 2023 à 20h10
Vraiment pas mal, alor c'est vrais que ça s'enchaîne vraiment très (trop) vite que le style de dessin parfois m'on laissé perplexe mais ca vaut quand meme le détour, et jai un un des commentaires mais oui le personnage de tomoyo pourrait a elle seul fair l'objet d'un manga, c'est une femme forte, drole, débrouillarde et franchement suivre des story sur elle, ca vie, y'a vraiment de quoi faire !
16/20 ca ce lit rapidement
De cintre, le 26 Janvier 2023 à 21h52
J'ai souvent du mal avec le format "one shot" mais My Broken Mariko est une réelle exception ! Le dessin ainsi que la narration vaut le détour. Je recommande fortement !
De jice, le 19 Mai 2022 à 16h56
Pas encore lu, ça me tente bien.
Merci à Shiitake pour sa longue liste de manga dans le même style.
De Shiitake [99 Pts], le 23 Mai 2021 à 23h15
Lecture qui m'a complètement retourné. Je ne m'attendais pas à une telle claque.
De Pandora [2491 Pts], le 20 Février 2021 à 11h16
Je suis assez déçue par My Broken Mariko , je suis quelqu'un d'assez sensible et je m'attendais à des émotions fortes mais, en réalité, je n'ai rien ressenti durant ma lecture... Le thème est fort et intéressant mais le traitement beaucoup trop léger ne m'a pas transportée. Tout s'enchaine trop vite, ça reste trop en surface, les personnages ne sont pas attachants, ça m'a semblé creux. En plus, je n'adhère pas au côté grotesque de certaines planches et situations, je trouve que ça casse l'ambiance, je n'arrivais pas à me sentir concernée, je m’en suis même sentie totalement détachée.
Après, ça se lit, ça reste sympathique mais sans plus, je m’attendais à quelque chose de bien plus profond. Je trouve qu’il y a des œuvres qui exploitent bien mieux ce genre de thème comme L'Oiseau bleu, Mon père alcoolique et moi, Le monde selon Setchan, Solanin ou encore Ce que j'ai à te dire qui m'ont, quant à eux, vraiment touchée et complètement retournée.
Bref, étant amatrice du genre, je suis très déçue car je m’attendais à ressentir des émotions fortes, à lire une œuvre marquante. Malheureusement, cette lecture m’a laissée de marbre…Pourtant, je suis quelqu’un de très émotif et il m’arrive très souvent de pleurer en lisant mais ici, c’était juste le néant.
De Lionard, le 07 Février 2021 à 13h48
un sublime portrait de femmes.. un one shot hélas, le personnage de tomoyo pourrait être suivi sur une autre histoire. Tant de lignes suggérées par ce scénario, tant de puissance, tant de possibilités. un sans faute
De etagereimaginaire [130 Pts], le 30 Janvier 2021 à 11h36
Sur le suicide, sujet particulièrement sensible au Japon, il y a deux approches possibles. Celle de Guillem March l'an dernier était fantastique et allégorique en se concentrant sur la suicidée. Celle de Waka Hirako se focalise sur celle qui reste, Tomoyo. la sensibilité de cette histoire est surprenante d'autant que l'autrice n'y va pas par quatre chemins: Mariko a eu une vie brisée par un père dément d'alcool, victime de violences quotidiennes, de viol incestueux et bien entendu de harcèlement psychologie culpabilisateur… Un cocktail tristement classique dans ce genre de cas et l'on comprend vite que ce suicide est un soulagement pour la victime. le manga n'aborde pas le pourquoi ni les raisons familiales et sociétales de ce phénomène mais se concentre sur le souvenir de la disparue et la difficulté à accepter la réalité du deuil par son amie. le scénario prend ainsi la forme d'un road-story nerveux où le trait hargneux, comique et subtile selon les séquences, accompagne magnifiquement une traversée de l'esprit fiévreux de Tomo qu'il nous est proposé d'accompagner.[...]