Critique de l’intégralité de la série. Ishinomori est connu pour ses oeuvres aussi prolifiques que son maître Osamu Tezuka. Bien qu’il est un graphisme sensiblement proche le mangaka développe au fil du temps son style et son univers. Pour preuve Kamen Rider est une oeuvre culte, une oeuvre qui pose les bases de Tokusatsu/Sentaï.
Le scénario est assez classique, un grand méchant souhaite dominer le monde, sauf que cette fois il créer son ennemi suite à l’échec de sa transformation en cyborg. Takeshi, le héros, s’en sort avec des pouvoirs qu’il utilisera pour se venger.
La première chose qui saute aux yeux c’est le dynamisme de l’histoire, pas de temps mort, on est là pour avoir de l’action! des combats! et des méchants!. Le dessin est clair, dynamique, l’auteur se régale et abuse pas mal des grandes pages et pages doubles. Certes on apprécie le dessin mais l’oeuvre manque un peu de consistance en texte.
L’histoire est entrainante, l’auteur se permet un passage scénaristiquement osé pour l’époque. Les méchants sont des mutations avec des animaux et on aimerait découvrir plus d’ennemis du bestiaire. Les pages défilent, on finit le manga rapidement, l’histoire à une fin mais se termine un peu vite et on regrette que l’auteur n’ait pas pris plus de temps de faire passer son message. Toutefois on en ressort avec un bon moment de lecture et un nouveau volume ne serait pas en trop.
L’édition est certes superbe, soignée, de qualité mais à 30€ le livre, on aurait espéré des marques pages ruban, un format plus grand ou encore une couverture amovible. De plus pour cette oeuvre culte il n’y a aucune préface ou situation du titre de l’époque pour les lecteurs ainsi que les influences de ce manga.
Donc oui je conseille clairement ce titre mais 60€ cela fait cher malgré la qualité de cette édition, une fois en main on oublie vite le prix.
De darkjuju [67 Pts], le 03 Juillet 2014 à 23h25
Critique de l’intégralité de la série.
Ishinomori est connu pour ses oeuvres aussi prolifiques que son maître Osamu Tezuka. Bien qu’il est un graphisme sensiblement proche le mangaka développe au fil du temps son style et son univers.
Pour preuve Kamen Rider est une oeuvre culte, une oeuvre qui pose les bases de Tokusatsu/Sentaï.
Le scénario est assez classique, un grand méchant souhaite dominer le monde, sauf que cette fois il créer son ennemi suite à l’échec de sa transformation en cyborg. Takeshi, le héros, s’en sort avec des pouvoirs qu’il utilisera pour se venger.
La première chose qui saute aux yeux c’est le dynamisme de l’histoire, pas de temps mort, on est là pour avoir de l’action! des combats! et des méchants!. Le dessin est clair, dynamique, l’auteur se régale et abuse pas mal des grandes pages et pages doubles. Certes on apprécie le dessin mais l’oeuvre manque un peu de consistance en texte.
L’histoire est entrainante, l’auteur se permet un passage scénaristiquement osé pour l’époque. Les méchants sont des mutations avec des animaux et on aimerait découvrir plus d’ennemis du bestiaire. Les pages défilent, on finit le manga rapidement, l’histoire à une fin mais se termine un peu vite et on regrette que l’auteur n’ait pas pris plus de temps de faire passer son message. Toutefois on en ressort avec un bon moment de lecture et un nouveau volume ne serait pas en trop.
L’édition est certes superbe, soignée, de qualité mais à 30€ le livre, on aurait espéré des marques pages ruban, un format plus grand ou encore une couverture amovible. De plus pour cette oeuvre culte il n’y a aucune préface ou situation du titre de l’époque pour les lecteurs ainsi que les influences de ce manga.
Donc oui je conseille clairement ce titre mais 60€ cela fait cher malgré la qualité de cette édition, une fois en main on oublie vite le prix.