Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 12 Mars 2020
Elle est aussi espiègle que mignonne, et elle n'en finit pas de faire tourner en bourrique Nishikata!
Voisine de classe du jeune garçon en cours, Takagi se plaît aussi à le taquiner en dehors de l'établissement scolaire, et elle nous le montrera peut-être plus que jamais dans ce quatrième volume où, de la chambre de notre héros au parc en passant par le chemin de l'école, le mangaka Soichiro Yamamoto ne manque pas une occasion de renouveler quelque peu les "terrains de jeu" de la jeune fille.
Ici, même si la plupart des situations restent simples et que certaines chutes sont peut-être un poil rapides, l'auteur sait toujours bien en tirer parti de façons diverses, notamment parce que quand ce n'est pas Takagi qui taquine Nishikata et qui lui propose des jeux-défis, c'est le jeune garçon lui-même qui cherche à se venger et à provoquer la demoiselle, même si cette chère Takagi a toujours un coup d'avance ! A croire que la jeune fille observe tellement notre héros qu'elle le connaît par coeur...
Mais après tout, ce ne serait pas étonnant, car une nouvelle fois Yamamoto sait régulièrement profiter de ses situations pour distiller tout en douceur, en malice et en bienveillance quelques sous-entendus concernant les vrais sentiments de son héroïne, tandis que Nishikata lui-même s'interroge parfois un peu plus sur sa relation avec la miss, et qu'il sonde vaguement ses sentiments, même s'il reste évidemment toujours aussi benêt et maladroit... mais également très franc et honnête, si honnête qu'il a bien du mal à ne serait-ce que mentir convenablement pour piéger Takagi !
Entre les décors bien soignés et immersifs quand il le faut, et les nombreuses frimousses toujours aussi amusantes ou chou des deux jeunes protagonistes, le style visuel de l'auteur accompagne toujours aussi agréablement les choses, et il n'y a pas forcément grand chose de plus à dire: après quatre volumes, Quand Takagi me taquine reste une lecture "tranche de vie" toujours aussi rafraîchissante.
Voisine de classe du jeune garçon en cours, Takagi se plaît aussi à le taquiner en dehors de l'établissement scolaire, et elle nous le montrera peut-être plus que jamais dans ce quatrième volume où, de la chambre de notre héros au parc en passant par le chemin de l'école, le mangaka Soichiro Yamamoto ne manque pas une occasion de renouveler quelque peu les "terrains de jeu" de la jeune fille.
Ici, même si la plupart des situations restent simples et que certaines chutes sont peut-être un poil rapides, l'auteur sait toujours bien en tirer parti de façons diverses, notamment parce que quand ce n'est pas Takagi qui taquine Nishikata et qui lui propose des jeux-défis, c'est le jeune garçon lui-même qui cherche à se venger et à provoquer la demoiselle, même si cette chère Takagi a toujours un coup d'avance ! A croire que la jeune fille observe tellement notre héros qu'elle le connaît par coeur...
Mais après tout, ce ne serait pas étonnant, car une nouvelle fois Yamamoto sait régulièrement profiter de ses situations pour distiller tout en douceur, en malice et en bienveillance quelques sous-entendus concernant les vrais sentiments de son héroïne, tandis que Nishikata lui-même s'interroge parfois un peu plus sur sa relation avec la miss, et qu'il sonde vaguement ses sentiments, même s'il reste évidemment toujours aussi benêt et maladroit... mais également très franc et honnête, si honnête qu'il a bien du mal à ne serait-ce que mentir convenablement pour piéger Takagi !
Entre les décors bien soignés et immersifs quand il le faut, et les nombreuses frimousses toujours aussi amusantes ou chou des deux jeunes protagonistes, le style visuel de l'auteur accompagne toujours aussi agréablement les choses, et il n'y a pas forcément grand chose de plus à dire: après quatre volumes, Quand Takagi me taquine reste une lecture "tranche de vie" toujours aussi rafraîchissante.
23/08/2023 