Critique du volume manga
Publiée le Lundi, 02 Avril 2018
Rin, l'étrange petite fille aux allumettes chimériques, revient pour sept nouvelles histoires courtes où elle est loin d'être la seule vedette. A vrai dire, elle pourrait même sembler très en retrait cette fois-ci, par rapport aux personnages à qui elle confie ses allumettes, ou à de nouvelles figures étranges...
Ici, il sera question, entre autres, d'une jeune enseignante qui n'exerce pas forcément par vocation, et qui, à force de vouloir faire les bons choix pour paraître bien, pourrait le regretter. Ou bien d'un jeune garçon qui risque de se brûler les ailes en sport. Ou bien encore d'un enfant qui s'est toujours considéré malchanceux, et qui compte bien profiter des allumettes pour enfin avoir un peu de chance.
Après le quatrième volume assez exceptionnel autant dans ses histoires assez dingues que dans ses visuels très inventifs, ce cinquième tome paraîtrait presque un peu fade par moments, en revenant à des histoires courtes qui apparaissent un peu pus classiques pou certaines, d'autant plus que leurs chutes sont parfois trop abruptes. Pourtant, concrètement la magie de cette série opère toujours, que ce soit dans les petites leçons que Sanami Suzuki est capable de distiller via l'utilisation et les limites des allumettes, ou dans les visuels qui bénéficient encore et toujours de bonnes petites trouvailles. On peut évidemment signaler les habituels jeux de la mangaka avec les perspectives, ou tout simplement le très malin chapitre "muet".
La toute fin du volume s'avère particulièrement intéressante et prometteuse en vue du sixième et (déjà !) dernier tome, dans la mesure où elle fait apparaître la quatrième et dernière figure étrange d'importance parmi les camarades de Rin. On se demande forcément comment cette oeuvre pourra s'achever, et en attendant de voir ça, la mangaka nous offre un avant-dernier opus pas aussi fou que certains de ses prédécesseurs, mais toujours aussi plaisant à suivre et comportant quelques belles fulgurances graphiques.
Ici, il sera question, entre autres, d'une jeune enseignante qui n'exerce pas forcément par vocation, et qui, à force de vouloir faire les bons choix pour paraître bien, pourrait le regretter. Ou bien d'un jeune garçon qui risque de se brûler les ailes en sport. Ou bien encore d'un enfant qui s'est toujours considéré malchanceux, et qui compte bien profiter des allumettes pour enfin avoir un peu de chance.
Après le quatrième volume assez exceptionnel autant dans ses histoires assez dingues que dans ses visuels très inventifs, ce cinquième tome paraîtrait presque un peu fade par moments, en revenant à des histoires courtes qui apparaissent un peu pus classiques pou certaines, d'autant plus que leurs chutes sont parfois trop abruptes. Pourtant, concrètement la magie de cette série opère toujours, que ce soit dans les petites leçons que Sanami Suzuki est capable de distiller via l'utilisation et les limites des allumettes, ou dans les visuels qui bénéficient encore et toujours de bonnes petites trouvailles. On peut évidemment signaler les habituels jeux de la mangaka avec les perspectives, ou tout simplement le très malin chapitre "muet".
La toute fin du volume s'avère particulièrement intéressante et prometteuse en vue du sixième et (déjà !) dernier tome, dans la mesure où elle fait apparaître la quatrième et dernière figure étrange d'importance parmi les camarades de Rin. On se demande forcément comment cette oeuvre pourra s'achever, et en attendant de voir ça, la mangaka nous offre un avant-dernier opus pas aussi fou que certains de ses prédécesseurs, mais toujours aussi plaisant à suivre et comportant quelques belles fulgurances graphiques.
12/07/2018 
