Critique du volume manga
Publiée le Jeudi, 12 Mars 2020
Je vous préviens tout de suite : si vous n’avez pas vu la série animée, vous allez passer à côté de beaucoup de choses.
Ce volume se concentre sur le passé de Marianne, au travers des souvenirs de quelques personnages clés. Un passé qui a une grande incidence sur ce présent aussi chaotique. Marianne qui ne semblait être qu’une petite boulangère de quartier avait autrefois croisé la route de nombreuses personnes importantes, et elle avait nouer de fortes relations avec elle. C’était une bonne âme qui était éprise d’aventure, de frisson et d générosité. Et c’est celle-ci qui l’aura conduite à sa perte.
Si ces souvenirs ressurgissent, c’est parce que le sorcier n’est autre que l’ancien amant de Marianne et le père d’Adrian. Et c’est également la personne qui avait roulé Richard et sacrifié sa nièce, Siri, pour se rendre à la vallée des rois, Howard. Et je dois vous dire que plus on avance dans l’histoire, plus j’exècre ce type. Bien qu’il ait détruit tout ce qui l’entourait dans l’autre monde, il réussit à passer le rift et arrive dans cette Vallée où une nouvelle vie s’offre à lui sur un plateau d’argent. Une vie rangée, où il pourra étudier tranquillement la magie tout en ayant une famille. Et non, rien ne satisfait notre cher Howard qui n’hésitera pas à abandonner sa femme enceinte pour assouvir sa soif de connaissance malsaine.
Bref. En parallèle de tout ceci, on en apprend un peu plus sur Christo, si mystérieux jusque là, sur ses liens avec Richard. Adrian se fait emprisonner parce qu’il a fumé au mauvais endroit, et Elorna tente tant bien que mal à alerter ses nouveaux alliés de la situation gravissime qui touche la Vallée des Rois, et qui a une incidence sur leur monde. Et oui, les gens de la Vallée se transforment peu à peu en... on sait pas trop, des sortes de mutants ?
La tension monte d’un cran, et pourtant ce sont certainement les passages sur le passé de Marianne qui captive le plus. Ils sont graphiquement magnifique, avec cet utilisation du blanc et des dégradés de gris, et surtout ils sont une vraie bouffée de nostalgie. Marianne est un personnage vraiment attachant, qui nous avait manqué pendant trois tomes, et la revoir ainsi, dans ses années de jeunesse, est une véritable plaisir. En revanche, je ne suis pas sûr d’apprécier le fait qu’on la revoit par la suite.
Bref, ce dixième volume, c’est encore du très bon. C’est le début de la phase finale de cette magnifique série « Made in France ». Un final qui s’annonce déjà grandiose.
Ce volume se concentre sur le passé de Marianne, au travers des souvenirs de quelques personnages clés. Un passé qui a une grande incidence sur ce présent aussi chaotique. Marianne qui ne semblait être qu’une petite boulangère de quartier avait autrefois croisé la route de nombreuses personnes importantes, et elle avait nouer de fortes relations avec elle. C’était une bonne âme qui était éprise d’aventure, de frisson et d générosité. Et c’est celle-ci qui l’aura conduite à sa perte.
Si ces souvenirs ressurgissent, c’est parce que le sorcier n’est autre que l’ancien amant de Marianne et le père d’Adrian. Et c’est également la personne qui avait roulé Richard et sacrifié sa nièce, Siri, pour se rendre à la vallée des rois, Howard. Et je dois vous dire que plus on avance dans l’histoire, plus j’exècre ce type. Bien qu’il ait détruit tout ce qui l’entourait dans l’autre monde, il réussit à passer le rift et arrive dans cette Vallée où une nouvelle vie s’offre à lui sur un plateau d’argent. Une vie rangée, où il pourra étudier tranquillement la magie tout en ayant une famille. Et non, rien ne satisfait notre cher Howard qui n’hésitera pas à abandonner sa femme enceinte pour assouvir sa soif de connaissance malsaine.
Bref. En parallèle de tout ceci, on en apprend un peu plus sur Christo, si mystérieux jusque là, sur ses liens avec Richard. Adrian se fait emprisonner parce qu’il a fumé au mauvais endroit, et Elorna tente tant bien que mal à alerter ses nouveaux alliés de la situation gravissime qui touche la Vallée des Rois, et qui a une incidence sur leur monde. Et oui, les gens de la Vallée se transforment peu à peu en... on sait pas trop, des sortes de mutants ?
La tension monte d’un cran, et pourtant ce sont certainement les passages sur le passé de Marianne qui captive le plus. Ils sont graphiquement magnifique, avec cet utilisation du blanc et des dégradés de gris, et surtout ils sont une vraie bouffée de nostalgie. Marianne est un personnage vraiment attachant, qui nous avait manqué pendant trois tomes, et la revoir ainsi, dans ses années de jeunesse, est une véritable plaisir. En revanche, je ne suis pas sûr d’apprécier le fait qu’on la revoit par la suite.
Bref, ce dixième volume, c’est encore du très bon. C’est le début de la phase finale de cette magnifique série « Made in France ». Un final qui s’annonce déjà grandiose.
08/02/2023 