Critique du volume manga
Publiée le Mardi, 24 Avril 2018
Sanjô est un lycéen ayant une sacrée réputation. En effet, il enchaine les conquêtes féminines sans ménagement. Au lycée, il traine souvent avec une bande d’amis. Mais, il a une passion qu’il aurait aimé partager avec eux : la musique techno. Or, ses amis n’aiment pas du tout ce style. Pour essayer de rencontrer des personnes ayant les mêmes gouts que lui, il se rend dans un club en trichant sur son âge. Là, il découvre qu’un élève de sa classe, Ikarashi est aux platines. Complétement émoustillé par sa musique, il se rapproche de lui et ils deviennent des sex-friends.
Avec « Endless sound », nous découvrons une nouvelle auteure qui a peu d’actif à son compte. Ce titre est son premier manga et malheureusement nous sentirons ses lacunes tout au long de notre lecture. Sanjô est un lycéen assez banal, collectionnant les filles et aimant la musique techno. Voila le tableau qui nous est dressé dès les premiers pages. C’est très succinct et à aucun moment nous le voyons avec des filles ce qui auraient pu apporter plus de corps au récit. L’auteur tombe donc dans le classique hétéro devenant homo. De plus, la manière dont elle amène ce changement de sexualité est vraiment discutable. En effet, lors d’une soirée dans un club passant de la techno, Sanjô est complétement transcendé par la musique. A tel point que lorsqu’un inconnu vient se frotter à lui, il a de suite une érection… Mais pour vous rassurer, ce n’est pas le jeune homme qui lui fait cet effet, mais la musique que fait Ikarashi, un de ses camarades de classe. Niveau scénario l’auteure ne s’est pas foulée et la logique est assez déconcertante. Sans surprise, Sanjô se rapproche de l’homme qui arrive à lui faire un tel effet et hop, la première fois avec un homme se fait. Et la logique mise en avant est à toute épreuve ! Bien oui, pourquoi pas essayer avec un homme puisqu’avec les filles, il s’ennuie ?.... Dans tout ce chaos scénaristique, l’auteure tente tant bien que mal à développer des sentiments à la suite des ébats sexuels, mais nous n’accrochons absolument pas.
Concernant les graphismes, nous notons pas mal de défauts comme des problèmes de proportions au niveau des corps ou des visages. Les traits des visages des personnages font plus bande dessinée que manga. Un effort est cependant fait pour les trames et les décors. Quant à l’édition, elle est de bonne facture.
« Endless sound » ne brille pas par son originalité et l’enchaînement scénaristique est ennuyeux voire même exaspérant. La lecture est quant à elle pas fluide et nous oublierons ce titre assez vite.
Avec « Endless sound », nous découvrons une nouvelle auteure qui a peu d’actif à son compte. Ce titre est son premier manga et malheureusement nous sentirons ses lacunes tout au long de notre lecture. Sanjô est un lycéen assez banal, collectionnant les filles et aimant la musique techno. Voila le tableau qui nous est dressé dès les premiers pages. C’est très succinct et à aucun moment nous le voyons avec des filles ce qui auraient pu apporter plus de corps au récit. L’auteur tombe donc dans le classique hétéro devenant homo. De plus, la manière dont elle amène ce changement de sexualité est vraiment discutable. En effet, lors d’une soirée dans un club passant de la techno, Sanjô est complétement transcendé par la musique. A tel point que lorsqu’un inconnu vient se frotter à lui, il a de suite une érection… Mais pour vous rassurer, ce n’est pas le jeune homme qui lui fait cet effet, mais la musique que fait Ikarashi, un de ses camarades de classe. Niveau scénario l’auteure ne s’est pas foulée et la logique est assez déconcertante. Sans surprise, Sanjô se rapproche de l’homme qui arrive à lui faire un tel effet et hop, la première fois avec un homme se fait. Et la logique mise en avant est à toute épreuve ! Bien oui, pourquoi pas essayer avec un homme puisqu’avec les filles, il s’ennuie ?.... Dans tout ce chaos scénaristique, l’auteure tente tant bien que mal à développer des sentiments à la suite des ébats sexuels, mais nous n’accrochons absolument pas.
Concernant les graphismes, nous notons pas mal de défauts comme des problèmes de proportions au niveau des corps ou des visages. Les traits des visages des personnages font plus bande dessinée que manga. Un effort est cependant fait pour les trames et les décors. Quant à l’édition, elle est de bonne facture.
« Endless sound » ne brille pas par son originalité et l’enchaînement scénaristique est ennuyeux voire même exaspérant. La lecture est quant à elle pas fluide et nous oublierons ce titre assez vite.
12/03/2018 