Si vous aimez les mangas inspirés d’histoires vraies, celui-ci devrait vous intéresser, puisqu’on y suit la vie de Tōhaku Hasegawa, un célèbre peintre japonais qui a exercé son art durant l’époque Azuchi-Momoyama.
C’est un artiste qui a connu la célébrité sur le tard et dans ces pages on va comprendre pourquoi.
Apparemment, il a su très tôt qu’il était fait pour peindre, pourtant, il n’arrivait pas à trouver l’étincelle qui enflammerait son cœur et par la même occasion, ses œuvres.
C’est en contemplant la plus grande œuvre du peintre Eitoku Kanô, en proie aux flammes dans le château de Nobunaga, qu’il va avoir une révélation.
Il va constater à quel point il est à la traîne, mais plutôt que de le démotiver, cela va le pousser à se dépasser.
Par chance, sa route va croiser celle du « Saint du Thé » Sen No Rikyû une personnalité influente dans le milieu bouddhiste.
Ce dernier va le recommander pour la peinture d’un plafond de temple.
Très fougueux, Hasegawa ne va pas respecter les règles qu’on va lui imposer mais malgré ça, son œuvre va être une totale réussite.
À partir de là, il va commencer à se faire une petite notoriété, ce qui ne va pas forcément plaire au peintre attitré du palais impérial…
Par la suite, on va découvrir que la vie de cet artiste a vraiment été compliquée avec des deuils très douloureux, des problèmes santé mais jusqu’au bout il va peindre…
Je ne connaissais pas du tout le nom de cet artiste mais après avoir été voir son travail, je me suis rendue compte que je connaissais beaucoup de ses peintures notamment celles avec les petits singes que l’on voit dans le manga.
C’est fou de se dire que ce mec a énormément douté de lui mais n’a pas lâché l’affaire et des siècles après sa mort on continue de parler de lui et des mangas sont consacrés à sa vie !
J’ai beaucoup aimé ma lecture vous le savez quand je commence à aller faire des recherches à côté c’est que j’ai beaucoup accroché.
Apparemment on sait peu de choses sur sa vie, j’imagine que les auteurs ont dû un peu broder, mais c’est très plaisant à lire.
J'ai eu un gout d'inachevé dans ma lecture. Alors oui on découvre la biographie d'un peintre japonais où l'auteur essaye de nous retranscrir la passion, l'âme qui habite l'artiste. Mais comment peut on passer à travers son vécu et ses rencontres et ses histoires d'amour ?
Au départ on est complétement parachuté à un moment de la vie du peintre. J'ai regretté que l'auteur ne nous décrive pas sa vie d'avant avec sa femme et ses enfants. Comment il l'avait rencontré, qu'est ce qu'il a pu ressentir et ce qui a du impacter son art.
Et c'est ainsi au court de ce livre, on voit l'artiste, mais il manque des morceaux. Sa nouvelle femme est mis juste là pour le décor, ses enfants, son fils en particulier... Le lien qu'il a avec son fils à qui il a transmis sa passion est trop survolé. J'attendais à être touchée et émue. Mais l'auteur n'a pas été assez en profondeur.
Par contre, l'auteur a fait des efforts pour retranscire les oeuvres mais pour moi il a oublié le plus important, ce qui fait vibrer un artiste.
De Mysstik [1292 Pts], le 08 Novembre 2023 à 17h00
ONE-SHOT
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Si vous aimez les mangas inspirés d’histoires vraies, celui-ci devrait vous intéresser, puisqu’on y suit la vie de Tōhaku Hasegawa, un célèbre peintre japonais qui a exercé son art durant l’époque Azuchi-Momoyama.
C’est un artiste qui a connu la célébrité sur le tard et dans ces pages on va comprendre pourquoi.
Apparemment, il a su très tôt qu’il était fait pour peindre, pourtant, il n’arrivait pas à trouver l’étincelle qui enflammerait son cœur et par la même occasion, ses œuvres.
C’est en contemplant la plus grande œuvre du peintre Eitoku Kanô, en proie aux flammes dans le château de Nobunaga, qu’il va avoir une révélation.
Il va constater à quel point il est à la traîne, mais plutôt que de le démotiver, cela va le pousser à se dépasser.
Par chance, sa route va croiser celle du « Saint du Thé » Sen No Rikyû une personnalité influente dans le milieu bouddhiste.
Ce dernier va le recommander pour la peinture d’un plafond de temple.
Très fougueux, Hasegawa ne va pas respecter les règles qu’on va lui imposer mais malgré ça, son œuvre va être une totale réussite.
À partir de là, il va commencer à se faire une petite notoriété, ce qui ne va pas forcément plaire au peintre attitré du palais impérial…
Par la suite, on va découvrir que la vie de cet artiste a vraiment été compliquée avec des deuils très douloureux, des problèmes santé mais jusqu’au bout il va peindre…
Je ne connaissais pas du tout le nom de cet artiste mais après avoir été voir son travail, je me suis rendue compte que je connaissais beaucoup de ses peintures notamment celles avec les petits singes que l’on voit dans le manga.
C’est fou de se dire que ce mec a énormément douté de lui mais n’a pas lâché l’affaire et des siècles après sa mort on continue de parler de lui et des mangas sont consacrés à sa vie !
J’ai beaucoup aimé ma lecture vous le savez quand je commence à aller faire des recherches à côté c’est que j’ai beaucoup accroché.
Apparemment on sait peu de choses sur sa vie, j’imagine que les auteurs ont dû un peu broder, mais c’est très plaisant à lire.
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De Einah [4313 Pts], le 20 Août 2021 à 17h41
J'ai eu un gout d'inachevé dans ma lecture. Alors oui on découvre la biographie d'un peintre japonais où l'auteur essaye de nous retranscrir la passion, l'âme qui habite l'artiste. Mais comment peut on passer à travers son vécu et ses rencontres et ses histoires d'amour ?
Au départ on est complétement parachuté à un moment de la vie du peintre. J'ai regretté que l'auteur ne nous décrive pas sa vie d'avant avec sa femme et ses enfants. Comment il l'avait rencontré, qu'est ce qu'il a pu ressentir et ce qui a du impacter son art.
Et c'est ainsi au court de ce livre, on voit l'artiste, mais il manque des morceaux. Sa nouvelle femme est mis juste là pour le décor, ses enfants, son fils en particulier... Le lien qu'il a avec son fils à qui il a transmis sa passion est trop survolé. J'attendais à être touchée et émue. Mais l'auteur n'a pas été assez en profondeur.
Par contre, l'auteur a fait des efforts pour retranscire les oeuvres mais pour moi il a oublié le plus important, ce qui fait vibrer un artiste.