Je mettrais un 14 pour ma part car... franchement vous avez vu leur taille ???!
Plus serieusement j'adore ce mangaka car il est tellement à l'ouest que je me sent saint d'esprit en lisant ses délires. Hum...! Et je le retrouve totalement dans cette nouvelle série.
Franchement, qui n'a jamais révé de sortir avec son actrice porno préférée ?! x)
Je suis loin d'être un fan de Hiroya Oku, cet auteur me laisse quasiment toujours circonspect à un moment ou à un autre. Son oeuvre emblématique Gantz m'a fait vivre des sensations incroyables par moments, surtout dans ses débuts puis plus loin dans des moments de désespoir d'une intensité folle, alors que d'autres moments m'ont semblé complètement inutiles, vains et tout pourris (les vampires...). Avant ça, je garde un souvenir daubé d'un bout à l'autre de Zero One. Et finalement, Inyashiki est à mes yeux son récit le plus abouti et maîtrisé, malgré un tome de trop vers le milieu de série tant il n'apporte rien. Avec Gigant... eh beh après relecture des premiers tomes, ça me semble difficile d'en penser quoi que ce soit. Concernant le tome 1, je l'ai trouvé suffisamment intrigant dans son concept et dans la mise en place des idées. Et puis, Papico est suffisamment attachante dans ses petits tourments, et j'aime l'idée de ne pas savoir où le mangaka compte nous emmener. En revanche, le style d'Oku a les défauts de ses qualités. Le concept de l'héroïne actrice porno est cool sur le papier mais est parfois très vain (du moins pour l'instant) dans l'abord, et semble parfois trop être un prétexte pour que l'auteur dessine les boobs surdimensionnés qu'il affectionne (après, c'est rigolo de voir les formes surréalistes de Papiko balancer dans tous les sens, le petit côté nanar assumé est là). Sinon, les moments où Oku fait référence à ses précédentes oeuvres sont tantôt casses-pieds tantôt amusants eux aussi, selon la façon dont c'est fait. Par contre, sur ces débuts j'ai envie de mettre des beignes au héros, même après une relecture il me gonfle pas mal.
De BG, le 04 Février 2023 à 09h50
BG
De Valucard [191 Pts], le 11 Mars 2021 à 13h00
Totalement daccord avec le commentaire de Koiwai.
Je mettrais un 14 pour ma part car... franchement vous avez vu leur taille ???!
Plus serieusement j'adore ce mangaka car il est tellement à l'ouest que je me sent saint d'esprit en lisant ses délires. Hum...! Et je le retrouve totalement dans cette nouvelle série.
Franchement, qui n'a jamais révé de sortir avec son actrice porno préférée ?! x)
De Koiwai [12693 Pts], le 04 Octobre 2020 à 11h53
Je suis loin d'être un fan de Hiroya Oku, cet auteur me laisse quasiment toujours circonspect à un moment ou à un autre. Son oeuvre emblématique Gantz m'a fait vivre des sensations incroyables par moments, surtout dans ses débuts puis plus loin dans des moments de désespoir d'une intensité folle, alors que d'autres moments m'ont semblé complètement inutiles, vains et tout pourris (les vampires...). Avant ça, je garde un souvenir daubé d'un bout à l'autre de Zero One. Et finalement, Inyashiki est à mes yeux son récit le plus abouti et maîtrisé, malgré un tome de trop vers le milieu de série tant il n'apporte rien. Avec Gigant... eh beh après relecture des premiers tomes, ça me semble difficile d'en penser quoi que ce soit.
Concernant le tome 1, je l'ai trouvé suffisamment intrigant dans son concept et dans la mise en place des idées. Et puis, Papico est suffisamment attachante dans ses petits tourments, et j'aime l'idée de ne pas savoir où le mangaka compte nous emmener. En revanche, le style d'Oku a les défauts de ses qualités. Le concept de l'héroïne actrice porno est cool sur le papier mais est parfois très vain (du moins pour l'instant) dans l'abord, et semble parfois trop être un prétexte pour que l'auteur dessine les boobs surdimensionnés qu'il affectionne (après, c'est rigolo de voir les formes surréalistes de Papiko balancer dans tous les sens, le petit côté nanar assumé est là). Sinon, les moments où Oku fait référence à ses précédentes oeuvres sont tantôt casses-pieds tantôt amusants eux aussi, selon la façon dont c'est fait. Par contre, sur ces débuts j'ai envie de mettre des beignes au héros, même après une relecture il me gonfle pas mal.