Salle de la mappemonde (la) - Actualité manga

Salle de la mappemonde (la)

Sekai Chizu no Ma

Manga - Manhwa - Salle de la mappemonde (la)
Age conseillé
Prix public
19.00 €

Résumé

Trois hommes costumés et masqués s’aventurent dans une ville inconnue. Tel un commando en mission secrète, ils sont à la recherche d’un lieu, d’un objectif qu’ils ne connaissent qu’approximativement. Au détour d’architectures oppressantes, ils sont vite confrontés à d’inquiétants groupes d’hommes en uniforme. La tension nouée entre les protagonistes, autant que la pesanteur des situations, laisse craindre l’imminence d’un drame. Que font ici ces milices urbaines ? Qu’est-ce qui justifie qu’elles se comportent en maîtres des lieux ? Quelles activités sont réellement les leurs ? Trafic ? Crime à grande échelle ? Déprédation ? Terrorisme ? Putsch militaire ?…
En dépit de ces rencontres, nos trois hommes parviennent à destination. Sans se départir de leur feinte nonchalance, ils se présentent au portail blindé d’une luxueuse villa. Le propriétaire des lieux, un dandy aux airs mystérieux, les laisse pénétrer au cœur de cette forteresse dont il semble avoir l’usage exclusif. Après leur avoir offert quelques verres d’alcool et les avoir menacés d’une arme à feu, il leur accorde cependant le privilège d’accéder à son très vaste jardin et à une bibliothèque unique en son genre : la salle de la mappemonde…

Images complementaires

Les points forts de la série

Pour ce huitième volume, Yokoyama a souhaité s’inscrire à sa façon dans la filiation du gekiga…
Comme pour ses précédents ouvrages, Yûichi Yokoyama a souhaité accompagner son récit de commentaires. Sous le titre « Éléments de synopsis », il livre, pour quelques pages, certaines idées ayant orienté la composition des scènes, ou certains détails auxquels prêter attention :
« Le présent ouvrage est une bande dessinée où personne ne sourit. Les protagonistes sont constamment sur leur garde. Ils ne laissent rien au hasard et leurs rapports sont tendus. Ils ne semblent pas visiter cette ville immense par loisir, pour leur distraction, mais plutôt en vue d’une action imminente. Même chose pour les hommes rencontrés en ville : ceux-là sont méfiants envers les étrangers. Leur attitude n’est guère engageante. »