- Titre VO: 君のナイフ
- Titre traduit: Kimi no Knife
- Dessin : KOTEGAWA Yua
- Scénario : KOTEGAWA Yua
- Editeur VF: Panini
- Collection: Seinen
- Type: Seinen
- Genre: Suspense, Fantastique
- Editeur VO: Shûeisha
- Prépublication: Grand Jump Premium
- Date de publication: 10 Avril 2013
- Illustration: 202 pages n&b
- Origine: Japon - 2010
- Code EAN : 9782809430356
- Commercialisation: stoppée
Age conseillé
Prix public
8.99 €
Cote : 6.00 €
La cote correspond au prix de vente moyen constaté dans les boutiques d'occasion
Résumé
Shiki et Kuzumi ont un nouveau contrat et cette fois, c’est un gros morceau : ils doivent assassiner l’ensemble de l’équipe dirigeante du clan yakuza Shueikai. Accompagnés par Makihara, qui a accepté de leur prêter momentanément main forte, il va leur falloir abattre cinq hommes ! Ils vont devoir faire preuve d’organisation et de prudence car la Shueikai est sous l’étroite surveillance de la police…
Thèmes
Top de la rédaction
"Par une qualité constante et qui ne se dément pas, Kimi no knife continue son petit bonhomme de chemin en sondant régulièrement la psychologie de la majorité de ses personnages sans oublier de nous mettre continuellement en haleine, surtout par un beau cliffhanger en fin de volume. Si la série insiste de par son mérite, il est donc un devoir que l'on insiste aussi de notre côté !"
Critique
Shiki et Ei sont à deux doigts de remplir leur mission consistant à tuer cinq yakuza appartenant à la Shueikai. Notre héros continue à avoir des doutes sur le bien-fondé de ses actions, doutes qui ont pourtant l'air de complètement disparaître quand ce dernier passe à l'acte-même du...
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Les points forts de la série
Yua Kotegawa est reconnue pour ses thématiques ô combien singulières et sombres. L'auteure de Détenu 042 et Anne Freaks propose ici une intrigue simple et redoutable qui rappelle la question posée dans Death Note : un meurtre est-il justifié si la victime est un criminel ? La mangaka édulcore la vision manichéenne de l'être humain selon laquelle les individus sont bons ou mauvais. Elle instaure la notion de gris, de demi-teinte en mettant en avant la jeunesse mise de côté par la société japonaise ou les victimes de l'immigration.