Dvd L'anime BLOOM arrive enfin sur Netflix

Netflix a dévoilé son programme de ce mois de septembre, et côté animation japonaise il n'y a qu'une nouveauté à retenir, mais pas des moindres: l'anime BLOOM qui, comme ce fut annoncé avant l'été, intégrera le catalogue de la plateforme le 7 septembre après avoir été diffusé au Japon pendant la saison estivale.

Ayant fait beaucoup parler d'elle pendant l'été sur les réseaux sociaux, à la fois grâce à ses qualités et car les fans furent frustrés de ne pas pouvoir découvrir les épisodes à rythme hebdomadaire juste après le Japon, cette série voit le studio CloverWorks et la réalisatrice Miyuki Kuroki adapter le manga éponyme de Saka Mikami, qui est plus connu dans son pays d'origine sous le titre Kaoru Hana wa Rin to Saku.

En cours au Japon depuis 2021, ce manga est publié en France depuis le début de cette année par les éditions nobi nobi!, et son 5e volume est justement sorti cette semaine en ne manquant pas, une nouvelle fois, de nous toucher.

Partant d'un pitch de romance adolescente classique, l'oeuvre a pour elle une écriture de personnages qui fait mouche, des relations qui se développent avec beaucoup d'attention en ne s'intéressant pas uniquement aux deux protagonistes, ou encore un dessin aux émotions justes et saisissantes, si bien qu'on ne peut que vous la conseiller si vous aimez le genre.

Synopsis :

Au cœur d'une banlieue japonaise, se dressent face à face deux établissements que tout oppose : Chidori, le lycée public pour garçons, réunit les pires cancres de la ville, tandis que le prestigieux Kikyô rassemble les esprits les plus brillants des filles de bonne famille.

Donnant régulièrement un coup de main à la pâtisserie familiale, Rintarô Tsumugi, élève à Chidori, sympathise avec l'une de ses clientes régulières, Kaoruko Waguri. Alors qu'il sent peu à peu un lien se tisser entre eux, le lycéen apprend que la jeune fille fréquente Kikyô... et que comme tous les élèves de ces établissements, ils sont supposés se haïr mutuellement !

La rivalité entre leurs lycées est-elle forcément signe de fatalité ?