Manga La fin du manga Hikari-Man arrive en coffret chez Delcourt/Tonkam

Les fans du manga Hikari-Man de Hideo Yamamoto auront dû s'armer de patience pour pouvoir découvrir la suite et fin de l'oeuvre en France, mais leur calvaire est bientôt terminé: en effet, les éditions Delcourt/Tonkam ont confirmé, cinq mois après le premier coffret sorti en mars dernier, la parution du deuxième et dernier coffret de la série, dès le 21 août au prix de 34€ (ce qui revient à 8,50€ par tome). Notez bien que ces volumes ne seront pas proposés à l'unité.

Lancée en France en mars 2018, cette série en 8 volumes avait été mise en stand-by par l'éditeur dès la sortie du tome 2 en août de la même année, faute de succès et de promotion pour tenter de la relancer. C'est finalement en mars dernier que l'oeuvre a refait son apparition sur les étals des libraires, avec la publication du premier coffret qui, pour un prix de 17€, contenait les tomes 3 et 4 ainsi qu'un emplacement pour pouvoir ranger les deux premiers volumes si vous avez la chance de déjà les posséder.

Vous avez du retard et souhaitez découvrir aujourd'hui cette oeuvre du célèbre auteur d'Ichi the Killer et de Homunculus ? Eh bien, sachez que l'éditeur n'a pas pensé à vous: effectivement, ces coffrets semblent être dédiés uniquement aux personnes ayant entamé la série en 2018, puisqu'aucune réimpression des tomes 1 et 2 (indisponibles en neuf depuis longtemps) n'est prévue, et que l'éditeur reste muet quand la question leur est posée.

Dans Hikari-Man, découvrez un jeune nerd capable de fusionner avec l'électricité et qui a aussi la capacité de copier les caractéristiques des personnages de jeux vidéo. Devenu l’égal d’un dieu, il doit choisir ce qu’il fera de ce pouvoir.

Synopsis de la série :

Hikari Shirochi est un nerd qui passe sa vie entre le lycée, les jeux vidéo et la customisation d’ordinateurs. Un jour, à la suite d’un malaise, un étrange phénomène se produit. Il va devenir un excellent conducteur pour l’électricité statique.

Il se rend alors compte qu’il peut maintenant déplacer sa conscience dans l’électricité non seulement à Tokyo, mais aussi dans les satellites spatiaux.