Manga Chiisakobe et Le club des divorces couronnés a Angoulème
Cette année deux manga ont trouvé grâce aux yeux du jury du festival inrternational de la BD d'angouleme.
En effet un bon cru pour nous cette année puisque Chiisakobé de Minetaro Mochizuki, a reçu le prix de la meilleure série, tandis que Le Club des divorcés 2 de Kazuo Kamimura a reçu celui du prix du patrimoine.
On notera aussi que la dessinatrice coréenne Ancco a quant a elle, été récompensé par le prix de la révélation pour son ouvrage : Mauvaises filles .
Pour découvrir l'intégralité du palmarès 2017 c'est par ICI.
Synopsis Chiisakobé :
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l’entreprise familiale, « Daitomé », dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c’est l’humanité et la volonté », il fait le serment de reconstruire Daitomé. Mais son retour à la maison natale s’accompagne de l’arrivée de Ritsu, amie d’enfance devenue orpheline et qu’il embauche comme assistante, et de cinq garnements au
caractère bien trempé échappés d’un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles.
Synopsis:
Le « Club des Divorcés » est un petit bar à Ginza géré par Yukô, jeune femme de 25 ans divorcée. Elle devient la « mama » du bar après son divorce afin de subvenir aux besoins de sa petite fille de trois ans. Difficile de tenir bon en tant qu’hôtesse, patronne et femme divorcée au milieu du Japon des années 70.
Synopsis :
Jin-joo est une mauvaise fille. Elle fume, découche, nargue ses professeurs et cause du souci à ses parents. Son père, un petit patron, n’a que ses poings pour exprimer sa peur de la voir mal tourner. Alors il la passe à tabac, régulièrement. La Corée subit la crise économique de la fin des années 1990 et la violence demeure la forme la plus simple et naturelle du contact humain. Au collège, les professeurs cognent les élèves et les anciennes rossent les nouvelles. Dans l’indifférence générale, on meurt sous les coups d’un père ou d’un petit copain. L’adolescente trouve un peu de chaleur humaine auprès de Jung-ae, la fille d’un petit voyou, encore plus paumée qu’elle. Une fugue avortée les mène jusqu’au quartier des bars à hôtesses. Si la famille de Jin-joo la récupère, la rue avale Jung-ae, qui n’aura pas de seconde chance.
En effet un bon cru pour nous cette année puisque Chiisakobé de Minetaro Mochizuki, a reçu le prix de la meilleure série, tandis que Le Club des divorcés 2 de Kazuo Kamimura a reçu celui du prix du patrimoine.
On notera aussi que la dessinatrice coréenne Ancco a quant a elle, été récompensé par le prix de la révélation pour son ouvrage : Mauvaises filles .
Pour découvrir l'intégralité du palmarès 2017 c'est par ICI.
Synopsis Chiisakobé :
Shigeji, jeune charpentier, perd ses parents et l’entreprise familiale, « Daitomé », dans un incendie. Se rappelant les paroles de son père, « quelle que soit l’époque dans laquelle on vit, ce qui est important, c’est l’humanité et la volonté », il fait le serment de reconstruire Daitomé. Mais son retour à la maison natale s’accompagne de l’arrivée de Ritsu, amie d’enfance devenue orpheline et qu’il embauche comme assistante, et de cinq garnements au
caractère bien trempé échappés d’un orphelinat. La cohabitation va faire des étincelles.
Synopsis:
Le « Club des Divorcés » est un petit bar à Ginza géré par Yukô, jeune femme de 25 ans divorcée. Elle devient la « mama » du bar après son divorce afin de subvenir aux besoins de sa petite fille de trois ans. Difficile de tenir bon en tant qu’hôtesse, patronne et femme divorcée au milieu du Japon des années 70.
Synopsis :
Jin-joo est une mauvaise fille. Elle fume, découche, nargue ses professeurs et cause du souci à ses parents. Son père, un petit patron, n’a que ses poings pour exprimer sa peur de la voir mal tourner. Alors il la passe à tabac, régulièrement. La Corée subit la crise économique de la fin des années 1990 et la violence demeure la forme la plus simple et naturelle du contact humain. Au collège, les professeurs cognent les élèves et les anciennes rossent les nouvelles. Dans l’indifférence générale, on meurt sous les coups d’un père ou d’un petit copain. L’adolescente trouve un peu de chaleur humaine auprès de Jung-ae, la fille d’un petit voyou, encore plus paumée qu’elle. Une fugue avortée les mène jusqu’au quartier des bars à hôtesses. Si la famille de Jin-joo la récupère, la rue avale Jung-ae, qui n’aura pas de seconde chance.
De nolhane [6891 Pts], le 30 Janvier 2017 à 22h09
Des récompenses pour trois oeuvres et trois auteurs qui le méritent grandement! :)
De Koiwai [12807 Pts], le 29 Janvier 2017 à 10h18
Il aura fallu attendre un paquet d'années pour que Kamimura soit enfin reconnu, mais il n'est jamais trop tard, je suis ravi par cette récompense ! \o/
Ravi également pour Chiisakobé, Minetaro Mochizuki et le Lézard Noir qui le méritent infiniment !
J'ai pu rencontrer Ancco l'année dernière à Livre Paris, c'est une jeune artiste très sympathique et talentueuse. Elle mérite aussi son prix, et pas seulement pour Mauvaises filles mais aussi pour ses précédents travaux :)
De Nintenn [1565 Pts], le 29 Janvier 2017 à 09h05
Les 3 titres sont top, n'hésitez pas à les lire :)