Manga Chiisakobé de Minetarô Mochizuki reçoit le Prix Asie ACBD 2016
C'est lors du festival Japan Expo, que l’ACBD (Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée) a décerné son Prix Asie de la Critique ACBD 2016 qui distingue une bande dessinée asiatique remarquable parue entre juillet 2015 et juin 2016.
Cette année ce sont les éditions du Lézard noir qui ont reçu cette récompense pour le manga à Chiisakobé de Minetarô Mochizuki.
Présentation Acbd
Après le décès accidentel de ses parents, et l’incendie qui ravagea l’entreprise familiale, le jeune maître-charpentier Shigeji décide de reprendre l’affaire envers et contre tout. Il reçoit le soutien discret et efficace de Ritsu, une amie d’enfance embauchée comme gouvernante qui a apporté dans ses bagages cinq orphelins tumultueux. Loin de l’intrigue post-apocalyptique de Dragon Head, et des pirates modernes de Maiwai, Minetarô Mochizuki change radicalement de registre et de style graphique avec Chiisakobé, adaptation en manga d’un roman historique de Shûgorô Yamamoto écrit en 1957. Ce roman se passait à l’époque Edo, Mochizuki a préféré le transposer dans un Japon actuel. Mais peu importe l’époque : « Les temps ont beau changer, ce qui est important c’est l’humanité et la volonté ». Dessin épuré d’une élégance remarquable, originalité des cadrages, Chiisakobe est une peinture de l’âme japonaise, quand les petites attentions et chaque geste esquissé révèlent les sentiments plus sûrement que des paroles.
Pour rappel les quatre autres titres en compétition étaient :
- Anguilles démoniaques, de Yusuke Ochiai et Yû Takada, éditions Komikku
- Le Club des divorcés, de Kazuo Kamimura, éditions Kana
- Les Enfants de la baleine, d’Abi Umeda, éditions Glénat
- Unlucky Young Men, de Kamui Fujiwara et Eiji Ôtsuka, éditions Ki-oon
Cette année ce sont les éditions du Lézard noir qui ont reçu cette récompense pour le manga à Chiisakobé de Minetarô Mochizuki.
Présentation Acbd
Après le décès accidentel de ses parents, et l’incendie qui ravagea l’entreprise familiale, le jeune maître-charpentier Shigeji décide de reprendre l’affaire envers et contre tout. Il reçoit le soutien discret et efficace de Ritsu, une amie d’enfance embauchée comme gouvernante qui a apporté dans ses bagages cinq orphelins tumultueux. Loin de l’intrigue post-apocalyptique de Dragon Head, et des pirates modernes de Maiwai, Minetarô Mochizuki change radicalement de registre et de style graphique avec Chiisakobé, adaptation en manga d’un roman historique de Shûgorô Yamamoto écrit en 1957. Ce roman se passait à l’époque Edo, Mochizuki a préféré le transposer dans un Japon actuel. Mais peu importe l’époque : « Les temps ont beau changer, ce qui est important c’est l’humanité et la volonté ». Dessin épuré d’une élégance remarquable, originalité des cadrages, Chiisakobe est une peinture de l’âme japonaise, quand les petites attentions et chaque geste esquissé révèlent les sentiments plus sûrement que des paroles.
Pour rappel les quatre autres titres en compétition étaient :
- Anguilles démoniaques, de Yusuke Ochiai et Yû Takada, éditions Komikku
- Le Club des divorcés, de Kazuo Kamimura, éditions Kana
- Les Enfants de la baleine, d’Abi Umeda, éditions Glénat
- Unlucky Young Men, de Kamui Fujiwara et Eiji Ôtsuka, éditions Ki-oon
De subaru64 [167 Pts], le 20 Juillet 2016 à 04h31
Dragon Head est un titre qui mérite également d'être connu. Pour moi, il est en haut du podium dans ce genre.
De Fred [4223 Pts], le 11 Juillet 2016 à 09h22
C'est un auteur que j'ai connu grâce à MAIWAI que j'aime beaucoup . Bravo à lui , j'ai hâte de me pencher sur CHIISAKOBE .