Dvd Chronique - Neon Genesis Evangelion - Intégrale
Découvrez dès à présent la chronique de Raimaru portant sur le coffret intégrale Platinium de la série animée Neon Genesis Evangelion, disponible chez Dybex.
Neon Genesis Evangelion : quiconque s’intéresse à la japanimation a au moins entendu ne serait-ce que le nom de cette série, adulée partout dans le monde. En mars 2012, Dybex réédite une nouvelle fois cette série phare de son catalogue, diffusée au Japon à partir de 1995, dans une sorte de version de base mais très accessible.
En 2000 a eu lieu au Pôle Sud le Second Impact, une catastrophe de grande ampleur qui a failli faire disparaitre la vie sur Terre. Officiellement, c’était un météore qui s’y est écrasé, et qui a ainsi éliminé sur le champ tous les scientifiques qui y travaillaient. La réalité est tout autre, les autorités craignent même l’arrivée d’un Third Impact. Pour cela, un organisme militaire et de recherche a été créé : la NERV. La branche japonaise de la NERV a fort à faire en l’année 2015, puisque des créatures malfaisantes apparaissent de l’espace pour attaquer le QG. On les a appelés «anges », et elles pourraient bien engendrer le Third Impact. Afin de les vaincre, Gendô Ikari, le commandant de la NERV, recrute de jeunes adolescents pour piloter des Eva, des robots géants, seules armes à pouvoir lutter contre les anges. Alors qu’il n’avait pas revu son père depuis des années, Shinji, le fils de Gendô, est appelé en renfort à Tôkyô-2 pour piloter la deuxième Eva du Japon et combattre les anges. Tout au long de la série, Shinji se questionnera sur les réelles intentions de la NERV et de son père, apprendra à connaître ses camarades pilotes, Rei et Asuka, toutes deux ayant des terribles secrets à cacher, et ainsi trouver un sens à sa vie, lui qui a du mal à savoir comme communiquer avec les autres.
Tout l’intérêt de cet anime réside dans le fond de l’intrigue. « Neon Genesis Evangelion », « Eva », « Anges », « Adam », tous ces mots tirés de la Bible qu’on entend régulièrement tout le long de l’histoire donnent le ton de l’histoire : c’est bien la salvation de l’humanité qui est en jeu, et on aura sans cesse l’impression que Shinji devra faire face à quelque chose qui le dépasse, que ce soient les créatures qu’il devra affronter comme les conspirations des humains qui pourraient très bien tenter de retourner le destin à leur avantage. Une fois l’anime vu dans son ensemble, si l’on s’attarde sur chaque élément de l’intrigue, sur les sous-entendus, on se rend compte à quel point on a affaire à un scénario ambitieux, presque mégalomane. Le gros problème, c’est que tout n’est pas évident, beaucoup de pistes restent floues, et il faut parfois faire ses propres déductions. C’est cela dit ce qui passionne les fans de la série depuis quinze ans, essayer de relier les suppositions entre elles pour être plus clairvoyant sur l’intrigue.
De ce point de vue, Evangelion a créé l’effet d’une bombe. Malgré tout, sous le couvert de ce scénario très ambitieux, on ne peut pas nier l’existence de points noirs qui gâchent un peu la fête. Le premier, c’est la réalisation qui, même en tenant compte de son âge, est vraiment minimaliste. Les teintes et le trait des dessins sont convaincants, mais l’animation est catastrophique. Il faut savoir que les réalisateurs n’ont pas opté pour de l’action non-stop, il y a beaucoup de scènes d’introspections des personnages. Et dans ces scènes, où les mechas ne se battent pas, les plans fixes ou les séquences de quelques secondes réutilisées sont trop nombreux. Par exemple, on retiendra au milieu de la série et à la toute fin du 24ème épisode, deux plans fixes interminables de facilement trente secondes chacune. En admettant qu’ils participent à la création d’une ambiance contemplative, la réutilisation régulière de séquences est vraiment problématique, et montre clairement un manque de variété des plans utilisés.
Second point noir : les deux derniers épisodes sont célèbres pour le délire théologo-philosophique qu’ils contiennent et, surtout, ne concluent pas l’anime à proprement parlé. Ces deux épisodes nous montrent l’ultime introspection des personnages principaux dans sa forme la plus brute, c’est-à-dire sans introduction et sans lien par rapport à l’épisode précédent, avec des litres de paroles philosophiques à décoder qui auront su venir à bout des plus patients pour les comprendre, et, bien sûr, une succession de plan réutilisés. Pour conclure la saga correctement, les réalisateurs ont quand même rectifié le tir en créant des films qui font office de conclusion. Ils ne sont pas présents dans ce coffret… mais on en retrouve une toute petite partie grâce aux director’s cut du DVD n°7.
Enfin, pour conclure avec les aspects négatifs, on peut évoquer le caractère des trois personnages principaux, qui selon les personnes, peuvent plus ou moins agacer le spectateur. Rei, bien que très populaire chez les fans de la série, n’est qu’un personnage-concept, et souffre d’un cruel manque de personnalité. Asuka est plus haute en couleur, mais reste l’archétype de la bourgeoise au caractère de cochon, et la voir s’énerver à tout bout champ nous donne envie par moment de couper le son. Shinji, lui, est communément admis comme le personnage le plus insupportable de la série, du fait de ses phases d’apitoiement et d’indécision. Pourtant, vu ce qu’on lui demande de faire pour âge (c’est-à-dire, combattre des entités monstrueuses pour sauver le monde, avec un paternel qui se contrefout de ses états d’âme), ses réactions sont on ne peut plus logiques et vraisemblables, et on apprécie ainsi d’autant plus ses moments où il reprend courage. Mais encore, tout est relatif et dépend de nos propres préférences.
Finalement, ceci, beaucoup d’entre vous doivent le savoir pour l’avoir vu. Qu’en est-il de l’édition de Dybex dans ce cas ? La qualité globale d’édition est bonne : le son et l’image valent largement leur prix, qui est faible soit dit en passant. En revanche, on se retrouve avec les mêmes doublages de l’époque, impressionnants de par leur ton monocorde. Même si c’est en adéquation avec le ton de la série, on frise quand même le ridicule parfois (les voix de Ritsuko et Rei en sont l’exemple parfait). On regrette aussi le nombre de boitiers : un pour chaque DVD, c’est trop, et ça embrouille quand on cherche où l'on en était. Le même jour, Dybex sortait Samurai Champloo dans une édition slim-pack équivalente, sauf que chaque boitier contient deux DVD, et c’est beaucoup plus pratique. Toutefois, le grand intérêt de cette édition réside dans un DVD supplémentaire qui contient les éditions Director’s Cut de certains épisodes. Des scènes du film Death ont été intégrées, ce qui rallonge leur durée par rapport aux versions initiales. Quelques changements sont purement anecdotiques (changement de plan ou de cadre, permutation de couleurs…). Certaines scènes supplémentaires, par contre, sont plutôt intéressantes. Elles ne déballent pas tout ce que savent les créateurs de la série sur les zones d’ombre, mais sous-entendent des choses qui permettent d’alimenter les théories, et ainsi, continuer à débattre avec passion de la série. En somme, c’est un bon set de base pour celui qui a envie de voir, ou a vu il y a longtemps, Evangelion et qui souhaite apprécier ce petit bonus sur l’univers de la série.
Voilà ce qu’on doit retenir d’Evangelion : de gros soucis au niveau de la forme, mais un fond exceptionnel. Au premier visionnage, les jeunots (dont le rédacteur qui écrit ces lignes) auront peut-être du mal à voir d’emblée en quoi la série déchaine autant les passions (pour vous dire, trois magasins dédiés à la série ont vu le jour au Japon, contre seulement un récent pour One Piece, qui est pourtant le manga le plus populaire du Japon). Puis, en discutant avec de vieux fans qui mettent en avant certaines choses que vous n’avez pas vues, votre intérêt est titillé. Il vous suffit alors d’effectuer une recherche Internet et de lire les écrits des fans de toute la planète pour vous rendre qu’il y a matière à faire couler de l’encre sur Neon Genesis Evangelion. Pour pallier à la réalisation bancale, peut-être peut-on tenter d’aller voir du côté des films You Can (Not) Advance et You Are (Not) Alone ?
Neon Genesis Evangelion : quiconque s’intéresse à la japanimation a au moins entendu ne serait-ce que le nom de cette série, adulée partout dans le monde. En mars 2012, Dybex réédite une nouvelle fois cette série phare de son catalogue, diffusée au Japon à partir de 1995, dans une sorte de version de base mais très accessible.
En 2000 a eu lieu au Pôle Sud le Second Impact, une catastrophe de grande ampleur qui a failli faire disparaitre la vie sur Terre. Officiellement, c’était un météore qui s’y est écrasé, et qui a ainsi éliminé sur le champ tous les scientifiques qui y travaillaient. La réalité est tout autre, les autorités craignent même l’arrivée d’un Third Impact. Pour cela, un organisme militaire et de recherche a été créé : la NERV. La branche japonaise de la NERV a fort à faire en l’année 2015, puisque des créatures malfaisantes apparaissent de l’espace pour attaquer le QG. On les a appelés «anges », et elles pourraient bien engendrer le Third Impact. Afin de les vaincre, Gendô Ikari, le commandant de la NERV, recrute de jeunes adolescents pour piloter des Eva, des robots géants, seules armes à pouvoir lutter contre les anges. Alors qu’il n’avait pas revu son père depuis des années, Shinji, le fils de Gendô, est appelé en renfort à Tôkyô-2 pour piloter la deuxième Eva du Japon et combattre les anges. Tout au long de la série, Shinji se questionnera sur les réelles intentions de la NERV et de son père, apprendra à connaître ses camarades pilotes, Rei et Asuka, toutes deux ayant des terribles secrets à cacher, et ainsi trouver un sens à sa vie, lui qui a du mal à savoir comme communiquer avec les autres.
Tout l’intérêt de cet anime réside dans le fond de l’intrigue. « Neon Genesis Evangelion », « Eva », « Anges », « Adam », tous ces mots tirés de la Bible qu’on entend régulièrement tout le long de l’histoire donnent le ton de l’histoire : c’est bien la salvation de l’humanité qui est en jeu, et on aura sans cesse l’impression que Shinji devra faire face à quelque chose qui le dépasse, que ce soient les créatures qu’il devra affronter comme les conspirations des humains qui pourraient très bien tenter de retourner le destin à leur avantage. Une fois l’anime vu dans son ensemble, si l’on s’attarde sur chaque élément de l’intrigue, sur les sous-entendus, on se rend compte à quel point on a affaire à un scénario ambitieux, presque mégalomane. Le gros problème, c’est que tout n’est pas évident, beaucoup de pistes restent floues, et il faut parfois faire ses propres déductions. C’est cela dit ce qui passionne les fans de la série depuis quinze ans, essayer de relier les suppositions entre elles pour être plus clairvoyant sur l’intrigue.
De ce point de vue, Evangelion a créé l’effet d’une bombe. Malgré tout, sous le couvert de ce scénario très ambitieux, on ne peut pas nier l’existence de points noirs qui gâchent un peu la fête. Le premier, c’est la réalisation qui, même en tenant compte de son âge, est vraiment minimaliste. Les teintes et le trait des dessins sont convaincants, mais l’animation est catastrophique. Il faut savoir que les réalisateurs n’ont pas opté pour de l’action non-stop, il y a beaucoup de scènes d’introspections des personnages. Et dans ces scènes, où les mechas ne se battent pas, les plans fixes ou les séquences de quelques secondes réutilisées sont trop nombreux. Par exemple, on retiendra au milieu de la série et à la toute fin du 24ème épisode, deux plans fixes interminables de facilement trente secondes chacune. En admettant qu’ils participent à la création d’une ambiance contemplative, la réutilisation régulière de séquences est vraiment problématique, et montre clairement un manque de variété des plans utilisés.
Second point noir : les deux derniers épisodes sont célèbres pour le délire théologo-philosophique qu’ils contiennent et, surtout, ne concluent pas l’anime à proprement parlé. Ces deux épisodes nous montrent l’ultime introspection des personnages principaux dans sa forme la plus brute, c’est-à-dire sans introduction et sans lien par rapport à l’épisode précédent, avec des litres de paroles philosophiques à décoder qui auront su venir à bout des plus patients pour les comprendre, et, bien sûr, une succession de plan réutilisés. Pour conclure la saga correctement, les réalisateurs ont quand même rectifié le tir en créant des films qui font office de conclusion. Ils ne sont pas présents dans ce coffret… mais on en retrouve une toute petite partie grâce aux director’s cut du DVD n°7.
Enfin, pour conclure avec les aspects négatifs, on peut évoquer le caractère des trois personnages principaux, qui selon les personnes, peuvent plus ou moins agacer le spectateur. Rei, bien que très populaire chez les fans de la série, n’est qu’un personnage-concept, et souffre d’un cruel manque de personnalité. Asuka est plus haute en couleur, mais reste l’archétype de la bourgeoise au caractère de cochon, et la voir s’énerver à tout bout champ nous donne envie par moment de couper le son. Shinji, lui, est communément admis comme le personnage le plus insupportable de la série, du fait de ses phases d’apitoiement et d’indécision. Pourtant, vu ce qu’on lui demande de faire pour âge (c’est-à-dire, combattre des entités monstrueuses pour sauver le monde, avec un paternel qui se contrefout de ses états d’âme), ses réactions sont on ne peut plus logiques et vraisemblables, et on apprécie ainsi d’autant plus ses moments où il reprend courage. Mais encore, tout est relatif et dépend de nos propres préférences.
Finalement, ceci, beaucoup d’entre vous doivent le savoir pour l’avoir vu. Qu’en est-il de l’édition de Dybex dans ce cas ? La qualité globale d’édition est bonne : le son et l’image valent largement leur prix, qui est faible soit dit en passant. En revanche, on se retrouve avec les mêmes doublages de l’époque, impressionnants de par leur ton monocorde. Même si c’est en adéquation avec le ton de la série, on frise quand même le ridicule parfois (les voix de Ritsuko et Rei en sont l’exemple parfait). On regrette aussi le nombre de boitiers : un pour chaque DVD, c’est trop, et ça embrouille quand on cherche où l'on en était. Le même jour, Dybex sortait Samurai Champloo dans une édition slim-pack équivalente, sauf que chaque boitier contient deux DVD, et c’est beaucoup plus pratique. Toutefois, le grand intérêt de cette édition réside dans un DVD supplémentaire qui contient les éditions Director’s Cut de certains épisodes. Des scènes du film Death ont été intégrées, ce qui rallonge leur durée par rapport aux versions initiales. Quelques changements sont purement anecdotiques (changement de plan ou de cadre, permutation de couleurs…). Certaines scènes supplémentaires, par contre, sont plutôt intéressantes. Elles ne déballent pas tout ce que savent les créateurs de la série sur les zones d’ombre, mais sous-entendent des choses qui permettent d’alimenter les théories, et ainsi, continuer à débattre avec passion de la série. En somme, c’est un bon set de base pour celui qui a envie de voir, ou a vu il y a longtemps, Evangelion et qui souhaite apprécier ce petit bonus sur l’univers de la série.
Voilà ce qu’on doit retenir d’Evangelion : de gros soucis au niveau de la forme, mais un fond exceptionnel. Au premier visionnage, les jeunots (dont le rédacteur qui écrit ces lignes) auront peut-être du mal à voir d’emblée en quoi la série déchaine autant les passions (pour vous dire, trois magasins dédiés à la série ont vu le jour au Japon, contre seulement un récent pour One Piece, qui est pourtant le manga le plus populaire du Japon). Puis, en discutant avec de vieux fans qui mettent en avant certaines choses que vous n’avez pas vues, votre intérêt est titillé. Il vous suffit alors d’effectuer une recherche Internet et de lire les écrits des fans de toute la planète pour vous rendre qu’il y a matière à faire couler de l’encre sur Neon Genesis Evangelion. Pour pallier à la réalisation bancale, peut-être peut-on tenter d’aller voir du côté des films You Can (Not) Advance et You Are (Not) Alone ?
De Raimaru [1219 Pts], le 15 Octobre 2012 à 23h02
C'est peut-être fait exprès, ça n'en apparait pas moins désagréable au yeux du spectateur. Faut arrêter d'essayer de justifier avec des arguments vaseux. Malgré l'histoire de Rei, c'est loin d'être un personnage qui m'a marqué (c'est un concept, comme tu l'as dit et comme je l'ai dit).
Et tu n'as visiblement pas remarqué à travers mes lignes que Shinji est un personnage que j'apprécie, du moins, plus que les autres, pour les points que tu as cités. Mais c'est un fait : il est détesté par une partie des spectateurs.
(Et apparement, tu ne connais pas le mot "spoil")
De alexyoshi, le 12 Octobre 2012 à 17h55
je veux pas en rajouter une couche mais personnelement je ne suis pas du tout d'accord avec toi quant aux caractères des personnages
-> tout est fait exprès!!
- Rei est une humaine née completement artificiellement croisée entre un Humaine et un Ange, l'ADN de la mère de Shinji et Lillith
-> je trouve tout a fait normal qu'elle ait ce caractère là !!!!
- Pareil pour Shinji, le personnage est lâche c'est tout. il ne s'aime pas, n'a pas confiance en lui et ne veut pas faire confiance aux autres. C'est justement une critique de ce genre de comportement à travers Shinji. Le paroxysisme de cette critique était The end of Evangelionn : Il laisse littéralement tout le monde mourrir par lacheté et égoïsme.
De Raimaru [1219 Pts], le 04 Octobre 2012 à 18h07
Bon, pour ceux qui n'ont pas bien lus ma chronique, je vais montrer comment j'ai axé mon raisonnement.
-> Je reconnais que le fond de la série est particulièrement riche. Je l'aborde sur un paragraphe et à la conclusion. Je ne m'étale pas que je ne fais pas un dossier et je n'ai besoin de vanter la grande qualité d'une série aussi populaire.
-> La réalisation, les deux derniers épisodes et le caractère d'Asuka et Rei m'ont beaucoup déplus et ont fait que je ne me suis pas tout le temps amusé lorsque j'ai regardé la série. Je trouve que ça dessert largement le plaisir, qu'on n'en parle pas assez, je le mets un peu plus avant (j'ai encore le droit d'avoir un avis non ?).
-> Je chronique une édition DVD en particulier, je me devais de faire une grosse apartée là-dessus. C'était dans mon cahier des charges persos avant même d'avoir écrit un mot.
De Raimaru [1219 Pts], le 04 Octobre 2012 à 17h58
@Osaka : oui, j'avoue que j'aimerais bien savoir en quoi je suis passé à côté du sujet. Parce que ta remarque est particulièrement déplacée compte-tenu de son ton lapidère. Mais bon, c'est bien connu que le fanboyisme amoindri la réflexion par moments...
De VpourViennetta [215 Pts], le 04 Octobre 2012 à 16h52
Dans les fautes de frappe, on a aussi un Tôkyô-2 au lieu de Tôkyô-3 : de quoi exciter les puristes antédiluviens et aigris, fanboy d'Evangelion. :D
De VpourViennetta [215 Pts], le 04 Octobre 2012 à 16h34
Osaka regrette peut-être que la forme ait été traitée plus que le fond. Ça reste une question de point de vue, mais il faut garder à l'esprit qu'il s'agit d'une chronique d'une édition DVD et non d'un dossier sur la série.
L'auteur a donné sa vision de l'anime et je ne pense pas qu'il soit passé à côté du sujet. Il s'est simplement focalisé sur des éléments différents pour se forger un avis et étayer sa critique.
De mon point de vue, le fond (gargantuesque) dont parle Raimaru a pris le dessus sur la forme. Et aujourd'hui encore, peu d'anime peuvent se targuer d'être aussi dense en références qu'Evangelion. Après c'est sûr que ça reste abscons et que la philosophie de cuisine envahit les derniers épisodes. Mais, à la fin des années 1990, on avait encore jamais vu un truc pareil !
De Luciole21 [2209 Pts], le 04 Octobre 2012 à 15h57
"lui qui a du mal à savoir comme communiquer avec les autres.", à part cette faute de frappe, je trouve la chronique complète, claire et explicite, elle aborde de nombreux points (peut-être pas tous, je n'ai pas vu la série), en tout cas suffisamment pour que le lecteur se fasse un premier avis. Bref, une bonne chronique en ce qui me concerne ^^
De shinob [127 Pts], le 04 Octobre 2012 à 15h38
Ca serait bien de développer un peu ton avis osaka...
De Osaka [320 Pts], le 04 Octobre 2012 à 15h01
l'auteur de l'article est passé complètement à côté du sujet.