Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 16 Avril 2014
Chronique 1
Maintenant que l’affrontement contre Iron Kiba est derrière Kibo, on reprend le schéma classique que l’on a suivi jusqu’à maintenant : un nouvel adversaire se présente, maîtrisant un art spécifique, Kibo qui décide d’utiliser les propres armes de son adversaires s’entraîne et part au combat… mais cette fois, jouer le jeu de l’adversaire s’avère dangereux pour Kibo ! Pour la première fois, on assiste à un combat qui se déroule uniquement debout, que des frappes, pas de clés, ça change et ça fait plaisir !
En fin de volume on retrouve le désormais classique interview de combattant, et cette fois il s’agit de Enson Inoue, star du combat au Japon, connu pour ses liens avec les Yakusas (si vous ne le saviez pas, maintenant c’est fait). Enson Inoue servira de modèle pour un combattant qui interviendra plus tard dans le titre
Chronique 2
Souhaitant améliorer ses techniques de percussion, Kiichi s'est mis en tête d'affronter Galhad, un thaïlandais spécialiste de la boxe thaïlandaise. Après une première joute faisant office d’échauffement et qui s'est interrompue brutalement, une nouvelle rencontre va être organisée entre les deux combattants, qui pourront ainsi terminer leur duel sans être dérangés.
Il ne se passe pas beaucoup de choses dans ce 16ème opus de Tough, qui se focalise entièrement sur le combat de Kiichi contre Gahlad, qui va se dérouler en deux temps. L'adversaire de notre héros est une véritable brute, mais comme à son habitude notre auteur va excuser la sauvagerie de ce personnage en lui inventant un passé douloureux, Gahlad ayant vécu une enfance très pauvre dans les rues de Bangkok. Seules ses compétences innées de boxeur lui ont permis de s'extirper de la misère sociale dans laquelle il était plongé, c'est pourquoi ce personnage a appris à vaincre sans remords ses précédents adversaires. C'est donc un combattant redoutable, pour qui la défaite est quasi-synonyme de mort. Il va donc opposer une farouche résistance à notre héros, ce dernier ayant en plus choisi de le combattre uniquement sur le domaine des percussions, alors qu'il aurait pu sans doute le vaincre plus facilement en utilisant des techniques de soumission qui sont l'une des spécialités du nadashinkagé.
En parallèle à ces évènements, nous allons assister au retour du père de Kiichi, qui continue de surveiller de près son fils pour lui prodiguer des conseils avisés, ces derniers s'exprimant d'ailleurs à la force du poing. Une tutelle particulière qui n'en reste pas moins salvatrice pour l'adolescent, qui va une fois de plus prendre conscience de ses lacunes pour s'améliorer.
Si l'ombre de Garcia est toujours présente dans l'esprit de Kiichi, ce combattant mystérieux que nous avions découvert précédemment s'éloigne de notre héros, ce dernier étant accaparé par son combat contre Galhad, qui devrait en toute logique trouver sa conclusion dans le prochain opus.
En attendant, ce volume se lit toujours avec beaucoup de plaisir, même s'il faut reconnaître que l'histoire n'avance que très peu.
Maintenant que l’affrontement contre Iron Kiba est derrière Kibo, on reprend le schéma classique que l’on a suivi jusqu’à maintenant : un nouvel adversaire se présente, maîtrisant un art spécifique, Kibo qui décide d’utiliser les propres armes de son adversaires s’entraîne et part au combat… mais cette fois, jouer le jeu de l’adversaire s’avère dangereux pour Kibo ! Pour la première fois, on assiste à un combat qui se déroule uniquement debout, que des frappes, pas de clés, ça change et ça fait plaisir !
En fin de volume on retrouve le désormais classique interview de combattant, et cette fois il s’agit de Enson Inoue, star du combat au Japon, connu pour ses liens avec les Yakusas (si vous ne le saviez pas, maintenant c’est fait). Enson Inoue servira de modèle pour un combattant qui interviendra plus tard dans le titre
Chronique 2
Souhaitant améliorer ses techniques de percussion, Kiichi s'est mis en tête d'affronter Galhad, un thaïlandais spécialiste de la boxe thaïlandaise. Après une première joute faisant office d’échauffement et qui s'est interrompue brutalement, une nouvelle rencontre va être organisée entre les deux combattants, qui pourront ainsi terminer leur duel sans être dérangés.
Il ne se passe pas beaucoup de choses dans ce 16ème opus de Tough, qui se focalise entièrement sur le combat de Kiichi contre Gahlad, qui va se dérouler en deux temps. L'adversaire de notre héros est une véritable brute, mais comme à son habitude notre auteur va excuser la sauvagerie de ce personnage en lui inventant un passé douloureux, Gahlad ayant vécu une enfance très pauvre dans les rues de Bangkok. Seules ses compétences innées de boxeur lui ont permis de s'extirper de la misère sociale dans laquelle il était plongé, c'est pourquoi ce personnage a appris à vaincre sans remords ses précédents adversaires. C'est donc un combattant redoutable, pour qui la défaite est quasi-synonyme de mort. Il va donc opposer une farouche résistance à notre héros, ce dernier ayant en plus choisi de le combattre uniquement sur le domaine des percussions, alors qu'il aurait pu sans doute le vaincre plus facilement en utilisant des techniques de soumission qui sont l'une des spécialités du nadashinkagé.
En parallèle à ces évènements, nous allons assister au retour du père de Kiichi, qui continue de surveiller de près son fils pour lui prodiguer des conseils avisés, ces derniers s'exprimant d'ailleurs à la force du poing. Une tutelle particulière qui n'en reste pas moins salvatrice pour l'adolescent, qui va une fois de plus prendre conscience de ses lacunes pour s'améliorer.
Si l'ombre de Garcia est toujours présente dans l'esprit de Kiichi, ce combattant mystérieux que nous avions découvert précédemment s'éloigne de notre héros, ce dernier étant accaparé par son combat contre Galhad, qui devrait en toute logique trouver sa conclusion dans le prochain opus.
En attendant, ce volume se lit toujours avec beaucoup de plaisir, même s'il faut reconnaître que l'histoire n'avance que très peu.