Critique du volume manga
Publiée le Mercredi, 02 Janvier 2019
Que s’est-il passé ? Comment en est-on arrivé là ? Un câlin de la part de Minato ? Impossible. Enfin, inconcevable plutôt. Aussitôt enlacer et déjà éjecter… Ririko est dans un état où elle ne se sent pas prête à se rapprocher du jeune homme qui ne semblait juste vouloir la rassurer banalement…
L’affaire passée, il est temps de rentrer. Seulement, Ririko ne se sent pas seule quand elle marche dans la rue. Une présence qui s’avère devenir un cauchemar pour elle… Une adolescente qui semble avoir le même âge qu’elle débarque et agresse verbalement Ririko, jusqu’à réussir à la coupée à la joue ! Heureusement que le frère de notre lycéenne arrive à temps. Désemparée par cet événement, Ririko ne se sent pas bien dans sa peau. L’adolescente est sûrement une fan de Minato car elle a clairement annoncé que le belâtre est à elle et que notre victime doit arrêter de travailler pour lui, sinon cette mystérieuse fille continuerait à harceler. Ne voulant pas se laisser marcher dessus, Ririko continue à travailler chez Minato avec des consignes strictes venant de son frère qui a insisté au spectacle. Mis en garde, Minato promet qu’il protégera son employé. Sauf que cette dégénérée réussie également à s’en prendre à la meilleure amie de Ririko… Une affaire à suivre qui ne sera pas sans peine !
Après ce couac, la routine est lancée. Lycée, boulot, dodo… Une vie normale mais très fatigante pour Ririko qui s’inquiète beaucoup pour son père. Malgré les bons résultats de ce dernier, elle semble encore angoissée et elle fait tout son possible pour apporter de l’argent. Quitte à accepter un autre travail ? En effet, un ami de Minato a besoin d’elle pour garder sa sœur la nuit, un travail où Ririko serait payer triple ! L’occasion rêvée pour subvenir aux besoins de la famille, notre protagoniste se doit d’accepter même si elle pourrait légèrement perdre Minato de vue.
Chargé mais très doux, le scénario se corse en insérant un tas d’éléments perturbateurs. Prenant un compte les soucis financiers, la mystérieuse fille,un nouveau travail, un frère qui s’occupe de près de la vie de sa sœur… Le tome là est un amas d’informations à prendre en compte pour la suite. La relecture de ce volume est donc indispensable si l’écart est important entre celui-ci et la lecture du troisième volume.
Les jeux sont faits et sont très intéressants ! Des rapprochements avec Minato, ou peu être un nouveau garçon à ses trousses, on peut penser à une certaine suite avec la rencontre entre Ririko et son nouvel employeur, Koizumi. Notre imagination est donc mise au travail jusqu’à la suite des chapitres, mais il est vrai qu’un peu de piment ne ferai pas de mal pour la relation de nos protagonistes !
C’est sans doute que ce tome est de qualité. L’histoire se poursuit, excellemment bien construise, sans quiproquos apparent au niveau du scénario. Le petit point négatif se trouve ici au niveau de l’édition : un sommaire qui affiche jute deux catégories (l’histoire et le bonus) donc qui n’affiche pas les chapitres, alors qu’il en comporte quatre ! Bref, une simple erreur pour Delcourt mais sans plus. L’édition se rattrape largement sur la couverture et la qualité d’impression !
L’affaire passée, il est temps de rentrer. Seulement, Ririko ne se sent pas seule quand elle marche dans la rue. Une présence qui s’avère devenir un cauchemar pour elle… Une adolescente qui semble avoir le même âge qu’elle débarque et agresse verbalement Ririko, jusqu’à réussir à la coupée à la joue ! Heureusement que le frère de notre lycéenne arrive à temps. Désemparée par cet événement, Ririko ne se sent pas bien dans sa peau. L’adolescente est sûrement une fan de Minato car elle a clairement annoncé que le belâtre est à elle et que notre victime doit arrêter de travailler pour lui, sinon cette mystérieuse fille continuerait à harceler. Ne voulant pas se laisser marcher dessus, Ririko continue à travailler chez Minato avec des consignes strictes venant de son frère qui a insisté au spectacle. Mis en garde, Minato promet qu’il protégera son employé. Sauf que cette dégénérée réussie également à s’en prendre à la meilleure amie de Ririko… Une affaire à suivre qui ne sera pas sans peine !
Après ce couac, la routine est lancée. Lycée, boulot, dodo… Une vie normale mais très fatigante pour Ririko qui s’inquiète beaucoup pour son père. Malgré les bons résultats de ce dernier, elle semble encore angoissée et elle fait tout son possible pour apporter de l’argent. Quitte à accepter un autre travail ? En effet, un ami de Minato a besoin d’elle pour garder sa sœur la nuit, un travail où Ririko serait payer triple ! L’occasion rêvée pour subvenir aux besoins de la famille, notre protagoniste se doit d’accepter même si elle pourrait légèrement perdre Minato de vue.
Chargé mais très doux, le scénario se corse en insérant un tas d’éléments perturbateurs. Prenant un compte les soucis financiers, la mystérieuse fille,un nouveau travail, un frère qui s’occupe de près de la vie de sa sœur… Le tome là est un amas d’informations à prendre en compte pour la suite. La relecture de ce volume est donc indispensable si l’écart est important entre celui-ci et la lecture du troisième volume.
Les jeux sont faits et sont très intéressants ! Des rapprochements avec Minato, ou peu être un nouveau garçon à ses trousses, on peut penser à une certaine suite avec la rencontre entre Ririko et son nouvel employeur, Koizumi. Notre imagination est donc mise au travail jusqu’à la suite des chapitres, mais il est vrai qu’un peu de piment ne ferai pas de mal pour la relation de nos protagonistes !
C’est sans doute que ce tome est de qualité. L’histoire se poursuit, excellemment bien construise, sans quiproquos apparent au niveau du scénario. Le petit point négatif se trouve ici au niveau de l’édition : un sommaire qui affiche jute deux catégories (l’histoire et le bonus) donc qui n’affiche pas les chapitres, alors qu’il en comporte quatre ! Bref, une simple erreur pour Delcourt mais sans plus. L’édition se rattrape largement sur la couverture et la qualité d’impression !
Un manga à croquer. C’est une très bonne douceur qu’on a là.
20/06/2018 